La Compassion

péris » : - cf. sa mère Pasiphaë v.249-250 - cf. sa soeur Ariane v.253-254 II. Un chant douloureux. a) Horreur et compassion. Horreur : « Tu vas ouïr le comble des horreurs », « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne », « Contre moi-même enfin j'osai me révolter », « crime », « terreur » -> hyperboles, elle se compare à une criminelle, sentiment de dégoût d'elle-même. Compassion : « D'un incurable amour remèdes impuissants ! », « Ô haine de Vénus ! », « Cruelle destinée ! » ->  Phèdre se présente

péris » : - cf. sa mère Pasiphaë v.249-250 - cf. sa soeur Ariane v.253-254 II- Un chant douloureux a) Horreur et compassion Horreur : « Tu vas ouïr le comble des horreurs », « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne », « Contre moi-même enfin j'osai me révolter », « crime », « terreur » -> hyperboles, elle se compare à une criminelle, sentiment de dégoût d'elle-même. Compassion : « D'un incurable amour remèdes impuissants ! », « Ô haine de Vénus ! », « Cruelle destinée ! » ->  Phèdre se

sentiments répugnants chez l’être humain à cause son physique étrange et grotesque. De part leur monstruosité physique, ils dissimulent une monstruosité intérieure et des vices moraux qui suscitent chez l’homme des sentiments de frayeur et de compassion D’ou provient cette exclusion. Malgré cette différence, le monstre occupe une place importante dans l’imaginaire humain et suscite des émotions ambiguës tels que le désir et le plaisir. Dans ce film, le réalisateur canadien joue sur deux tableaux

partager la douleur des jeunes amants. Au contraire, dans le texte de Flaubert, le point de vue est omniscient : le narrateur évoque tantôt les souffrances de l’héroïne qui vient de s’empoisonner, tantôt l’angoisse et l’incompréhension de son mari. La compassion du lecteur est sollicitée mais pas de la même façon. La description de l’agonie et de la mort suscite également l’horreur et la pitié du lecteur. L’Abbé Prevost ne s’attarde pas sur la mort de Manon qui est suggérée par des euphémismes tels que

insulter par les autres élève comme à la page 144 lorsqu'ils lui disent « Petite Crotte ». Hormis la pitié qu'éprouve le lecteur en lisant tout cela il éprouve aussi une certaine compassions pour ces gens qui ne devraient vivre ainsi et une envie de les aider. Si la façon de vivre des gitans nous amène à la pitié, à la compassion et à l'envie de les aider, nous pouvons aussi souligner leur façon d'être. Les Bohémiens, dans cette œuvre, ont un certain caractère. En effet, ils tiennent une grande

des sujets qui se présentent, sans se rapporter à aucune passion. » De là, autrui ne peut être un objet pour moi. II) Autrui ne peut être un objet pour moi a) Autrui cesse d’être un objet pour moi dès lors que j’éprouve de la compassion pour lui. C’est la compassion ou empathie que j’éprouve pour un autre qui me fait prendre conscience que cet autre n’est pas un simple objet mais un sujet. Aussi, lorsque je compatis (cum patum signifiant souffrir avec) à la souffrance d’autrui ou que je partage

exagérer le sentiment dramatique et donc émouvoir (principe de la tragédie) le lecteur, le toucher : « cent sujets… justifier du crime …mille chimères.. » * L’utilisation de métaphores que « peignait innocent » provoque chez le lecteur de la compassion pour cette femme dupée (tragédie évoquée) * Personnifications qui rendent son malheur réel tel une tiers personne et qui par conséquent accentue le coté pathétique du discours. * Indignation de son aveuglement « je m’accuse même … » : ironie

montre la légalité , il fait référence au code noir -Au depart le texte emploie les pronoms personels «je et tu», et passe ensuite a la marque du pluriel avec «nous», qui englobe le gouvernement de Surinam et tout les esclaves. -Candide a de la compassion qu'il exprime par des interjections comme «hélas; mon dieu» accompagné de nombreux point d'exclamation qui marque un sentiment de pitié de la part de celui ci. -Par ailleurs, nous pouvons relever le vocabulaire péjoratif qu’utilise Voltaire, par

de nombreux procédés qui suscite la compassion: « visage couvert de larmes », « beauté si admirable » ,« en se jetant à genoux » , le faite qu'elle soit seul , et qu'elle supplie son mari. Le prince lui apparaît comme quelqu'un de désespéré, il souffre de jalousie on peu le voir à travers une série de questions , ses sentiments sont mentionnés par la narratrice « il pensa mourir de douleur » ( 512). Ses propos suscite la pité , avec l'appel a la compassion de sa femme au début « Ayez pitié

cas, l’enfant ne montre pas son mal être dans le but d’épargner à son parent un surcroît de soucis. * Il éprouve des sentiments contradictoires pour l’auteur et la victime des violences. * Il aime et en veut à son père. * Il a de la compassion et de la colère contre sa mère qui ne fait rien pour sortir de l’enfer. * Le stress permanent qu’il subit influe la sécrétion de cortisol. Sous l’effet de l’augmentation de cortisol, l’enfant est en hyper-vigilance, ce qui a un impact sur