La Compassion

demander si elle a eu tord ou raison de faire cet aveu. Dans une première partie nous montrerons en quoi cette scène engendre une grande souffrance chez les deux personnages. Dans une seconde partie nous montrerons que bien qu'ils s'inspirent la compassion, ils ne nous inspirent jamais de pitié et s'élève au nom de héros. Voyons dans une première partie en quoi cette scène est pathétique, en quoi la princesse a peut être eu tord de faire cet aveu qui va la plonger elle

interdire, espérant ainsi éloigner son souvenir. Ainsi elle reporte deux fois sur elle la responsabilité de son aveu au v 28 « tu le veux, lève-toi » et au v 49 « c’est toi qui l’as nommé ». II. Un chant douloureux 1) Horreur et compassion En effet, horreur et compassion pour elle-même sont les sentiments contradictoires qui agitent Phèdre devant une faute dont elle se sent à la fois coupable et innocente :  Son horreur d’elle-même la pousse à écourter sa vie et à nommer deux fois sa passion

qui fait preuve d’une vertu exceptionnelle »)  « La pauvre recluse avait pitié du président ». Alors qu’elle inspire la pitié au narrateur par sa condition sociale (« recluse ») et sentimentale, elle-même éprouve de la compassion pour son époux calculateur et immoral. Cette compassion la place au-dessus de tout le monde, y compris du narrateur, car elle prouve son abnégation (= sacrifice de soi au bénéfice d’autrui) et son indulgence, son absence totale de rancune. Elle accepte et tolère les fautes

irrésistible. Ensuite nous analyserons l’aspect visuel de cette description, comment cette scène violente et choquante si bien imagée caractérise la tragédie de la mort. Enfin, nous aborderons les développements concernant la pitié ainsi que la compassion éprouvées à la lecture de ce texte. Nous assistons dans cette scène à l’accomplissement du destin d’Hippolyte. Son père ayant imploré les dieux de lui donner la mort. Nous comprenons donc qu’il fait fasse a des forces surnaturelles, il ne peut

des sentiments de Bérénice Champ lexical de l’amour, de la colère, de la souffrance et du désespoir. Figures d’amplification, d’insistance (gradations, hyperboles, répétitions, oxymores, antithèses, parallélismes, chiasmes…) Effet produit : compassion → pathétique. elle tente ensuite de rentrer sur un terrain politique mais voyant qu'elle ne tient pas assez d'arguments elle revient à sa premiere stratégie; la culpabilisation. Le registre tragique Sphère noble. Fatalité et rôle des dieux

• S'efforcer de s'abstenir d'alcool et de tous les intoxicants. Les dix préceptes se retrouvent dans plusieurs textes canoniques (par exemple le Kûtadana Sutta, dans le Dīgha Nikāya). Les dix préceptes sont : Kannon Bosatsu, bodhisattva de la compassion • S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants, ni retirer la vie, • S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné, • S'efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte ─ plus généralement garder la maîtrise des sens, • S'efforcer

succomber le lecteur ressent une certaine pitié et tristesse pour ce personnage. De plus, quand Ruy Blas dit : « Vivant, par son amour, mourant par sa pitié ! » (v.49), ce parallélisme de construction fait encore une fois ressentir aux lecteurs de la compassion pour cette hommes qui se sacrifie dans l’unique but de sauver celle qu’il aime. L’apostrophe finale avec le dialogue entre la Reine est Ruy Blas qui est sur le point de mourir renforce ce côtés pathétique de la scène. D’autres parts, les plaintes

tragique dans cette pièce? Dans une première partie que le tragique naît du tourment que ressent le personnage devant le choix auquel il est confronté, dans un deuxième temps nous verrons que se sont les personnages et les sentiments de pitié et de compassion qu'ils suscitent chez l'auteur qui témoignent de la tragédie de la pièce, et pour finir, nous verrons dans une dernière partie que la forme est le vocabulaire sont propre à une écriture théâtrale tragique. Dans cette première partie nous pouvons

de qui tu viens de te moquer parce qu'il pleure, est en train de perdre sa mère d'un cancer." *Beaucoup jugent, mais très peu savent.* Maman toi qui ma portée 9 mois dans tes entrailles , oui c'est du temps mais je sais que tes pleines de compassion ,aucune femme sur terre ne pourra m'apporté autant d'attention , des ma naissance tu ma donné une potion venus de ton corps magique qui a sut me protéger des poison , de tes bisous j'ai sus etre puissant , de ton amour j'ai su dire maman et rendre

je purifie ma parole, Avec des paroles utiles et harmonieuses, je purifie ma parole, Avec des mots bienveillants et gracieux, je purifie ma parole, Abandonnant la convoitise pour la tranquillité, je purifie mon esprit, Changeant la haine en compassion, je purifie mon esprit, Transformant l’ignorance en sagesse, je purifie mon esprit.