La Compassion

sûrement comprendre des expressions comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ». « Juste un cheval » apporte à ma vie l’essence même de l’amitié, de la confiance et de l’amour. « Juste un cheval » m’apporte la compassion et la patience qui font de moi une meilleure personne. A cause de « juste un cheval », je me lèverai tôt et regarderai le futur pleine d’envie. Donc pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un cheval » mais une incarnation de tous

adéquates pour qualifier son amant. De fait, elle dit « Le pauvre enfant » et « mon fils » au lieu de « mon amour » ou de « mon cher amant ». Elle s'expriment comme une mère à son fils et non comme une maîtresse à son amant : elle éprouverait de la compassion plutôt que de l'amour et une certaine retenue à l'égard d'Arlequin. Ce qui vient appuyer ces deux points c'est le fait qu'elle évoque le passé alors que son amant, lui, vit dans le présent : «J'ai bien soupiré, mon cher Arlequin » ( sa troisième

« cinglait les jarrets » ; « jeter des pierres ». III- Visée du récit et vision de la société : -visée du récit : Ce récit a pour visée de dénoncer les violences de notre société ; qu'il existe des hommes qui pense comme lui, sans aucune compassion ou aucune pitié et avec une rage et une violence aussi poussées. -vision de la société : Cette vision de la société est la vision de la société violente, idiote, rageuse, sans pitié. Il montre qu'il existe bon nombre de gens comme ce goujat

la sensation naissante qu’éprouve l’auditeur à l’ouïe fine percevant le vrombissement de la femelle. Cependant, il est important de remarquer que sous ses airs innocents, le criquet est un être barbare et dévoreur, épris d’aucune pitié, d’aucune compassion pour les infortunés qu’il dépouille avidement. Certes, me direz-vous, nous ne pouvons guère lui en vouloir, considérant la petitesse de son semblant de « boîte crânienne », et par conséquent la limite intellectuelle si rapidement atteinte par ce

classe et je vous en remercie. L’ambiance était au rendez-vous tout au long de la soirée, j’ai particulièrement apprécié cette pièce, les comédiens jouaient si bien leurs rôles que s’en était à se demander s’ils en étaient ; ils avaient une telle compassion dans leurs regards, ainsi que dans leurs paroles (le baiser échangé entre Arlequin et Silvia était si romantique). Les idées que vous avez choisies pour le décor étaient fabuleuses, ce jeu de lumières et toutes ces ampoules qui parcouraient la

merveille”, contrairement à la méchanceté qu'il peut transmettre par ailleurs. Deuxièmement il ressent les émotions de ces vielles il “vis vos jours perdus”, “ resplendit de toutes vos vertus”, il les comprend, il est dans leur monde, a de la compassion et veut les aider. Enfin il émet une certaine méchanceté envers ces femmes, il “ jouit de tous vos vices”, “ Nul ne vous reconnaît! un ivrogne incivil”. Il met une distance qui traduit une ironie et par là même une supériorité. C'est une méchanceté

de cette énumération, nous pouvons remarquer que même si Cyprien est à bout de force, il prend le peu d’énergie qu’il lui reste afin de démontrer toute l’amour qu’il a envers Georgina et avec ceci certains lecteurs peuvent avoir des sentiment de compassion avec les personnages. Nous pouvons remarquer que l’amour entre Cyprien et Georgina peuvent bouleverser certain lecteurs dû aux sentiments que leur amour peuvent apporter aux lecteurs. Finalement, nous pouvons démontrer la tonalité pathétique du

physique.Texte C : le lecteur a pitié de Mangeclous car il est malade. Son apparence physique estsymptomatique de sa maladie, la Tubercolose : « maigre », « osseux », « toux vibrante ».L'anecdote expliquant son surnom vise également à susciter la compassion du lecteur : il s'appelleainsi car, enfant, torturé par la faim, il a dû manger des clous.Texte D : le texte est écrit de façon à ce que le lecteur s'identifie au personnage (usage de lapremière personne du singulier). Le lecteur découvre en même

honnête et respectueux. Le lecteur à d'autant moins de peine à passer du monde animal au monde humain que La Fontaine nous y prépare. Quand l'agneau s'adresse au loup comme un modeste sujet à son roi "Sire"(vers.10), "Votre Majesté"(vers.10).  La compassion du lecteur est pitié envers l’agneau. 4) Relevez un mensonge du loup. Sous les apparences d’une logique implacable, l'argumentation du loup est en fait de mauvaise foi. Il finit par "On me l'a dit : il faut que je me venge." (vers.26) -> Mensonge

Tiberge réprimande entièrement les multiples frasques de Des de G., mais à force, il se met à avoir une sorte de pitié pour la « faiblesse » de son ami au sujet de Manon. Il le réprouve totalement sur son comportement, mais finalement c’est sa compassion qui l’emporte et il finit toujours par lui pardonner et l’aider. De Des G. est conscient de cela et il n’hésite pas à recourir aux services de Tiberge lorsqu’il est dans un mauvais pas et que toutes ses ressources sont épuisées. Il a beaucoup