La Compétence En Procédure Civile

avons pris en compte le plan du cours. Dans un premier lieu, nous étudierons la procédure puis la protection en matière de commerce, s’ensuit les contrats commerciaux et la clause compromissoire, nous continuerons par les juges des Tribunaux de commerce et enfin nous avons la compétence du Tribunal de commerce. I. De la procédure devant les tribunaux de Commerce (ou les juridictions en tenant lieu) La procédure commerciale malgache a les mêmes principes que celle en France. Par conséquent,

INSTITUTIONS JUDICIAIRES ET PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA PROCEDURE La justice ? Elle est au cœur de la vie sociale, du contrat social (Rousseau, voir cours T°ES). Elle est donc importante. C’est elle qui est au cœur de nos relations : elle va trancher nos litiges, càd lorsqu’une difficulté de rapport humain apparaît pour le résoudre on a recours à la règle de droit (organiser juridiquement nos rapport) et la justice (application de la règle de droit au litige). Ces litiges résultent de notre

organisation A) le système de la collégialité B) Le commissaire royal de la loi et du droit 2- La compétence des tribunaux administratifs Section2 : Les cours d’appel administratives 1- L’organisation 2- La compétence Section 3 : La cour suprême (La chambre administrative) 1-Organisation de la cour suprême Chapitre 2 : la procédure à suivre devant les juridictions administratives A- La procédure devant le tribunal administratif et la cour d’appel b- Appel devant la cour suprême : CONCLUSION

j’ai le droit de vendre 3 bouteilles d’une boissons nocives , je devrais pouvoir en vendre qu’une seule ( a priori moins nocif ) . La pure logique risquerait de mener le juriste à un résultat désastreux voir de ne le mener nulle part . Art. 1382 C Civil dispose que « tout fait quelconque de l’homme qui cause a autrui un dommage oblige celui duquel il est arrivé à le réparer » . Le législateur oblige l’auteur d’une faute à réparer le préjudice . A contrario , celui qui n’a pas commis de faute n’a pas

que l’évolution du système judiciaire marocain a connu trois grandes étapes à savoir : 1 -2 L’époque d’avant le Protectorat : Le système judiciaire marocain se distinguait par l’application de la CHARIAA par un CADI nommé par le SULTAN. Les procédures judiciaires étaient simples et le domaine d’intervention du cadi était très large et englobait toutes les différentes sortes de litiges. 2-2 L’étape du Protectorat : Cette étape a commencé à la veille du protectorat, période pendant

tranche en faveur d’une des parties déterminant une solution on est alors dans un procédure de contentieux pourtant il arrive que les juridictions soient sollicitées en dehors de tout litige c’est le cas lorsqu’un individu demande la rectification d’un acte d’état civil on est alors dans une procédure gracieuse et elle se caractérisé par l'absence de tout procès même si il y la saisie d’un juge. La majorité des procédures sont contentieuse. Cette intervention de la justice face à un litige c’est-à-dire

communaux sont investis par dahir, pour une durée de trois ans, sur proposition du Conseil Supérieur de la Magistrature. 2. Attributions Les attributions des juridictions communales et d’arrondissement se réduisent aux affaires mineures en matière civile et pénale. Les juges d’arrondissement et les juges communaux  connaissent : de toutes actions personnelles et mobilières intentées contre les personnes résidantes dans la circonscription, si le montant de ces actions n’excède pas la valeur de 1

Fiches DIP PARTIE I. LA COMPÉTENCE INTERNATIONALES DES JURIDICTIONS FRANÇAISES. Cette compétence se pose lorsque le litige présente une nature internationale avec des éléments d’extranéité (1), qu’il y a un lien avec la France (2). ▸ Les juridictions françaises ont-elles le pouvoir de juridiction ? ▸ Les juridictions françaises disposent-elles de la compétence internationale pour trancher de ce litige ? Deux ensembles de règles applicables : ➢ Si le litige est intégré dans l’Union européenne ➢ Si

entraînent une durée objectivement longue des procédures. C'est souvent dans l’intérêt d'une bonne justice que l'affaire semble traîner en longueur : enquête, expertises et aussi recours exercés par une partie concourent à l'allongement de la procédure. II- Les principes de compétence. La compétence d'attribution et la compétence territoriale permettent de déterminer la juridiction à saisir en cas de litige. → La compétence d'attribution : La compétence d'attribution détermine la catégorie de

plus importants qui ont vu le jours concernent l’organisation judiciaire (dahir du 15 juillet 1974 qui fixe l’organisation judiciaire du royaume et dahir du 28 septembre 1994 qui approuvant le code de procédure civile) et visent à améliorer le fonctionnement de la justice et à simplifier la procédure. En plus de ces reformes, bien d’autres de portée limitée ont été adoptées (code de statut personnel 1993, code pénal 1982 et 1994). En effet depuis 1993, un certains nombre de reformes sont intervenues :