La Concurrence Mercedes

General Motors Allemagne Peugeot PSA Peugeot Citroën France Page 11 Création 1919 1899 1899 1889 Segment Généraliste, Sport Généraliste, urbaines Généraliste Généraliste, Sport Renault Seat Vauxhall Volkswagen Alfa Romeo Audi BMW Ferrari Mercedes-Benz Mini Porsche Saab Volvo Renault-Nissan Volkswagen AG GM Volkswagen AG Fiat Volkswagen AG BMW Fiat Daimler AG BMW Volkswagen AG Koenigsegg Ford France Espagne Royaume-Uni Allemagne Italie Allemagne Allemagne Italie Allemagne Royaume-Uni

gêner la concurrence. • Stratégie de gamme • Une marque par produit : un produit haut de gamme porte un nom et un produit bas de gamme un autre. • Une marque par ligne : Tous les produits d'1 même ligne portent le même nom • Une marque unique désigne tous les produits de la société même s'il s'agit de produits totalement différents La marque sert de vecteur de réputation. • Stratégie d'évolution d'une gamme • Extension : Elargissement de la gamme par l'ajout de nouveaux modèles (Mercedes classe A)

pas encore prête ou, transition entre une technologie en cours de banalisation et une technologie innovante pour laquelle le marché n‘est pas encore prêt ou entre deux cycles d‘un produit à ventes saisonnière. ? Rôle tactique : gêner la concurrence. 2. Stratégie de gamme ? Une marque par produit: un produit haut de gamme porte un nom et un produit bas de gamme un autre. ? Une marque par ligne: Tous les produits d‘1 même ligne portent le même nom ? Une marque

Historique A/ Avant XXe Peu de marché – économie de marché – pas de concurrence – peu producteurs et peu de consommateurs. B/ Début XXe De plus en plus de concurrents – augmentation du nombre de marchés – théorie commerciale pour vendre plus – logique quantitative. C/ Années 50-60 La demande dépasse l’offre – économie de marché. Objectif : être efficace de la vente ( but être plus efficace que les concurrents. D/ 30 Glorieuses « La consommateur pense »

cosmétiques mais pas pour le « vrai luxe » sinon il est nuisible. En luxe, il n’existe pas de positionnement, que de l’unique (pas davantage par rapport à la concurrence). La marque de luxe doit avoir une identité créative, une expression d’un goût, mais pas un positionnement. Le luxe ne part pas du client et ne se soucie pas de sa concurrence. * La marque de luxe est avant tout hédoniste et symbolique. * La perfection n’est pas luxe (les objets étant fait main, chaque produit aura une touche

pays sous-développés ont hésité sur leur stratégie de développement, aujourd’hui, le libéralisme paraît s’imposer à tous et les « pays émergents » semblent montrer la voie à suivre. Les entreprises doivent s’adapter à cette nouvelle donne. La concurrence n’a pas disparu et la pression des grands équilibres se fait sentir. Les taux de change des monnaies sont le reflet de ces rapports de forces. La création de l’euro et l’intégration européenne s’inscrivent dans ce cadre et deviennent des enjeux

automobile mondiale, terreau privilégié pour les alliances stratégiques. Nos principales conclusions confirment que, le recours croissant à la coopétition dans le secteur automobile, s’explique par la volonté de se regrouper, et ce, dans l’objectif de concurrencer d’autres groupements de firmes concurrentes, d’une part, et par le fait qu’elle constitue le moyen efficace qui leur permet de se positionner à l’intérieur des réseaux, d’autre part. Mots clés : Réseaux d’alliances, Alliances stratégiques

consommateur. Les besoins sont souvent préexistants. Marketing va susciter les besoins. Désirs : faire correspondre des objets spécifiques à des besoins. Des marques censées répondre à un besoin. Exemple : besoin d’estime. Pour une marque comme Mercedes, le fait de vouloir satisfaire ce besoin va se traduire par un type de produit, une communication particulière. Demande : se caractérise par un pouvoir d’achat et par un vouloir d’achat. Pourvoir d’achat => apprécier la part du revenu dispo

dessin ou toute combinaison de ces éléments, servant à identifier un produit et à le différencier de ceux des concurrents » b. La marque en milieu B to B: quel est l’intérêt?  Faciliter l’identification des produits de l’entreprise: B to B= Concurrence forte + en général des produits répondants au même besoin Un nom de marque correctement choisi permet au client de mémoriser, identifier et repérer facilement votre produit.  Donner une dimension symbolique et émotionnelle à des produits parfois

maintenue depuis 150 ans car le Rhin facilite les exportations de produits finis et les importations de minerais et de charbon (maintien de la sidérurgie allemande). R/ Malgré sa puissance maintenue, région frappée par les délocalisations et la concurrence internationale = taux de chômage important, nombreux licenciements dans certaines industries depuis les années 1980. 3 – Un axe majeur de transport. Dossier p. 188 – 190 – le Rhin Voir notes prises en cours - Contrairement à l’image française