La Contradiction Du Relativisme

Doit-on voir dans la pensée que le résultat d'un conditionnement ? Le problème est la tension générée par le fait que la pensée ne peut pas rompre avec les préjugés sans compromettre les conditions de sa formation. Il y a une contradiction. Comment sortir de cette contradiction qui font que les préjugés sont un obstacle ? 1ère partie : La pensée est un acte de jugement, elle ne saurait se rapporter à un processus cérébralement conditionné ou socialement déterminé. Un conditionnement cérébral

l'existence du politique car l'opinion publique est la somme des points de vue individuels (qui ne dit mot consent) ● Hegel : l’histoire est l'œuvre de la raison puisque l'histoire a un sens ,elle est rationnel et accompli un plan malgré toutes les contradictions quelque chose est en train de se réaliser ce quelque chose c'est la raison Le Temps : ● Nietzsche le fardeau du temps l'animal reste dans le temps présent alors que l'homme ne cesse de penser à son passé les erreurs qu'il a commis auparavant et

déjà connus. La vérité du résultat est établie en démontrant que son contraire implique contradiction. La certitude est donc obtenue, comme l’indiquait Leibniz, au terme d’un raisonnement qui ne laisse pas de place à des considérations psychologiques ou à des états physiques. La jaunisse n’a pas de prise sur la vérité d’une proposition mathématique démontrée. Il semble donc que nous puissions dépasser le relativisme sceptique en fondant la certitude sur des procédures invariables car indépendantes des

est fausse ( le vrai et le faux concerne la pense et non le rel.). Les critres de la vrit Le critre de la cohrence logique Pour tre vrai, le discours doit respecter 3 principes (fonds par Aristote, grec, IVme sicle av. J.-C.) Le principe de non-contradiction (une proposition ne doit pas affirmer ce que lautre nie). un autre degr la non-absurdit(si a na pas de sens, on ne peut pas savoir si cest vrai). Le principe du tiers-exclu(si il y a 2 possibilits, cest soit lune, soit lautre, pas les deux). La

société lui donnant son identité. Rousseau : l’H n’a pas d’instinct naturel contrairement à l’animal, tt ce qui est humain est culturel : enfant sauvage n’a selon celle définition rien d’humain. Levi-Strauss : il n’y a pas une mais des cultures, relativisme culturel admet cette variété, mais tt H est un peu ethnocentriste : réflex primitif qui pousse à établir une hiérarchie entre les cultures qui se se vaudraient pas. Arendt : nouvelle forme de société : la société de consommation : loisir de masse

absolue est une fiction . Autre question : le droit pourra-t-il venir à bout de la violence ? N’est-il pas contraint de recourir à une certaine forme de force sinon de violence pour répondre à une violence première et ne se met-il pas alors en contradiction avec lui-même ? Rappelons enfin que le droit est une des formes de la culture humaine et a partie liée avec d’autres aspects de la vie sociale : comme l’art , le droit est, dans les périodes archaïques , issu de la religion et c’est encore vrai

considérés comme rationnelles et vraies car elles souscrivent à une exigence de logique et de cohérence qui souffre difficilement l’erreur. A la base même de la constitution de la science, les principes logiques s’imposent : les principes de non-contradiction, ou encore d’identité sont constitutifs de la rationalité scientifique. Les modèles des démonstrations mathématique et logique sont omniprésents dans l’édification des connaissances scientifiques même lorsqu’il s’agit de sciences expérimentales

méta-plastique à la nécessaire incarnation plastique du beau ; il y a un échec chez Platon inhérent au besoin métaphysique et à la nécessité de la chute dans la matière et cette tension constitue, selon nous, le fil directeur d’Idea. Mieux, il y a une « contradiction » entre l’image incarnée et l’idéal qu’elle porte en elle. Nous ne sommes pas chez Aristote, il n’y a pas d’incarnation sensible des Idées, le Beau ne peut se compromettre avec la sensibilité. Je me permets de noter que Platon rencontre une difficulté

un innocent est mal, tuer un tueur est bien. Il n’y a pas de Vérité avec un grand V. Cette prise de position fonde la pratique sophistique de réduire la vérité à ce qui persuade car l’apparence ne cache rien. C’est la formulation la plus pure du relativisme PARAGRAPHE 3 SOCRATE : Socrate Il est très dur de compléter une biographie effective et sans erreur de Socrate, car celui-ci n’a laissé aucun écrit. C’est grâce à Platon, son disciple, que nous pouvons apprécier ses pensées. Malgré ce détail

signifie dieu. Position philosophique de ceux qui admettent l’existence d’une divinité, sans accepter de religion révélée ni de dogme. Athéisme : Attitude ou doctrine de l’athée. Doctrine des personnes qui nient l’existence d’un Dieu personnel. Relativisme : Doctrine qui admet la relativité de la connaissance humaine. Doctrine d’après laquelle les valeurs (morales et esthétiques) sont relatives aux circonstances (sociales…). Tolérance : Attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de