La Démocratie Georges Burdeau

vitalité souterraine, comme attente d’une démocratie toujours plus radicale et participative reste, elle, féconde et rien n’interdit de penser que le mot puisse connaître dès lors une nouvelle jeunesse dans un avenir plus ou moins proche »[4]. De même, pour Patrick Vivret, « l’autogestion n’est pas morte et sa prospérité peut se lire aujourd’hui dans les mouvements contemporains en faveur d’une autre mondialisation essayant d’articuler les échelles de la démocratie, du local au global, nécessitant un haut

l'approbation du peuple sur le gouvernement. Si on voit la légitimité du pouvoir, il est possible de le rendre plus difficile. On peut chercher à multiplier les élections, mais il faut choisir les élections car elles restent très couteuses : la démocratie a un prix. La légitimité de l'égalité devient le pivot de la légitimité. Pourtant la légitimité peut être rapprochée du droit : le droit de ne pas être contraint de subir une politique qui n'a pas la majorité. Dans un régime constitutionnel, la

de celles de l’état. Ces entités locales sont dirigées par des organes démocratiquement élus au suffrage universel. Un principe de liberté au niveau local qui va se traduire dans un principe d’auto administration au bénéfice du principe de démocratie locale. Pour qu’il y est décentralisation il faut qu’il existe des collectivités territoriales, en France il en existe 3 : - La commune : 5 avril 1884 - Le département : crée par la loi du 2 mars 1982 - La région : crée par une loi du 5 juillet

vitrine que l’on veut bien nous présenter, montrent toutes les ambiguïtés de ce projet (qu’il s’agisse des programmes de démobilisation et de réintégration des ex-combattants, de l’économie politique du passage à la paix ou encore des aspirations à la démocratie et à la justice). La nature de l’action à mener dans le pays d’intervention renvoie, de fait, à une très grande diversité de conceptions. Des notions aux sens multiples Les notions de « paix » ou d’« environnement sûr et stable » auxquelles se

Démocratie et Pouvoir Support de cours Orientations bibliographiques Pierre Pactet et Ferdinand Mélin-Soucramanien, Droit constitutionnel, Sirey Philippe Ardant et Bertrand Mathieu, Institutions politiques et droit constitutionnel, LGDJ Francis Hamon et Michel Troper, Droit constitutionnel, LGDJ Isabelle Thumerel et Gilles Toulemonde, L’essentiel des principes fondamentaux de droit constitutionnel, Gualino François Borella, Eléments de droit constitutionnel, Presses de Sciences

principe du gouvernement représentatif II ] Le concept de représentation A) La notion de représentation B) Critiques de la théorie de la représentation III ] Signification de la démocratie représentative A) Le mandat représentatif B) Les implications modernes de la démocratie représentative Section 2. SOUVERAINETE NATIONALE ET SOUVERAINETE POPULAIRE I ] La notion de souveraineté A) La souveraineté comme caractère B) La souveraineté comme expression d’un

à globalement 3 avantages : 1er  avantage : association des administrés par l’intermédiaire de leurs représentants à la prise de décisions qui les touchent le plus immédiatement. 2ème avantage : la décentralisation est l’application de la démocratie à l’organisation administrative. 3ème avantage : la décentralisation apparaît comme une modalité efficace de l’organisation et de la division du travail dans l’Etat. La décentralisation du pouvoir de décision est une condition d’efficacité pour

globale Le pouvoir politique vise à définir les règles de la société globale. C’est un pouvoir parmi d’autre, mais qui concerne l’ensemble de la société globale. Sous-système : analyse systémique en politique 2 grands sociologues : Gabriel Almond et Georges Powell. > cette analyse s’applique à un état, une collectivité territoriale. Un système c’est un Ensemble d’élément en interaction, cohérence des systèmes. L’idée des sociologues est d’analyser l’ensemble des phénomènes sociaux à travers les systèmes

est essentiellement tourné vers les institutions. Le professeur marcel Prélot peut ainsi en 1948 définit le DC comme « la science des règles juridiques suivant lesquelles s’établit, se transmet et s’exerce l’autorité politique » de même le doyen Georges Vedel en 1949 précise que « le DC est constitué par l’E des règles qui forment le statut juridique des gouvernants » la place du DC dans le vaste champ juridique est alors fonction de cette approche. En effet le DC apparait alors comme (GV) « une

Démocratie et Pouvoir Support de cours Orientations bibliographiquesPierre Pactet et Ferdinand Mélin-Soucramanien, Droit constitutionnel, Sirey Philippe Ardant et Bertrand Mathieu, Institutions politiques et droit constitutionnel, LGDJ Francis Hamon et Michel Troper, Droit constitutionnel, LGDJ Isabelle Thumerel et Gilles Toulemonde, L’essentiel des principes fondamentaux de droit constitutionnel, Gualino François Borella, Eléments de droit constitutionnel, Presses de Sciences Po, 2008 Pierre