La Dénonciation Des Horreurs De Notre Temps

absurde au combat », mais s’attache également à saisir l’essence de la guerre, intemporelle et universelle, qu’il qualifie de « couche la plus profonde de notre temps historique ». L’écoulement du temps est une des préoccupations majeurs de Simon : son récit est un flux interrompu de mots, une accumulation de précisions, à l’image du temps qui fuit inexorablement … Sa production écrite semble être immédiate : les pensées du narrateur sont retranscrites en cours de récit, comme si ce dernier n’avait

ingénieurs Maurice Koechlin et Emile Nouguier, est choisi pour représenter le savoir-faire industriel et technique de la France lors de l’exposition universelle. Le document étudié est une lettre ouverte, une protestation, publiée dans le journal Le Temps le 14 février 1887. C’est un journal à fort tirage qui s’impose même comme étant le plus important sous la IIIème République et qui est principalement lu par une grande partie des élites. Cette lettre est signée par un certain nombre de grands noms

guerre une maladie et de la paix un état d'équilibre et de bonne santé, opposition hypothèse/réalité dans le second. Dans les deux cas, sont longuement étudiées les conséquences catastrophiques de la guerre sur les pays engagés dans des conflits. La dénonciation de la guerre s'inscrit dans une réflexion générale sur la politique mise au service du bonheur des nations et des individus. STRUCTURE DU TEXTE La division de l'extrait en deux paragraphes correspond à une double approche des problèmes posés

parvient-il à dénoncer les injustices et le fanatisme ? Dans quelle mesure expliquer logiquement un acte inacceptable est un moyen très efficace pour dénoncer l’inacceptable ? Nous étudierons, dans un premier temps, les différentes formes de l’intolérance du Bénéficier, puis, dans un second temps, les procédés de l’ironie voltairienne. 1 Plan du cours I) Les différentes formes de l’intolérance L’objectif du Bénéficier est clairement indiqué en ouverture de la lettre (1er paragraphe) : il

Jean-Jacques Rousseau écrit dans la Lettre à Monsieur d'Alembert sur les spectacles : "Le vrai misanthrope est un monstre. S'il pouvait exister, il ne ferait pas rire, il ferait horreur (...)" Dans quelle mesure ce jugement vous paraît-il pouvoir s'appliquer au Bourru de Ménandre et au Misanthrope de Molière? Ce qui frappe au premier abord dans cette sentence de Rousseau, quand il s’agit d’étudier la misanthropie, c’est que de misanthropie il n’est pas question. Ou plutôt, le vrai misanthrope

peuvent-ils agir face à ce que l'on pourrait caractériser de génocide ? Alors, nous verrons dans un premier temps que la situation des Ouïgours en Chine est aujourd'hui critique en nous penchant sur leur identité et les raisons de ces persécutions mais aussi sur des témoignages révélant le degré d'atrocité de ce que l'on pourrait définir comme de la torture. Nous verrons dans un second temps l'action des conventions internationales de protection des droits de l'Homme en réponse à cette crise en

des traditions a impact sur leur vie, un impact sur la France elle-même. C’est comme si la guerre et la vie n’avait plus de sens, le sacrifice, la guerre, l’horreur, tout cela s’efface en même temps que les traditions dans la tête de ces nouveaux visiteurs. Si la tradition disparaît, l’histoire et ces horreurs peuvent recommencer, le souvenir n’a plus son utilité, au lieu du recueil traditionnel, on oppose un manque de considération qui plonge tout une partie de la France dans l’oubli. Oublier les

la verve subversive qu’elle adopte chez Voltaire. Éveilleur de consciences, l’auteur en appelle à des lecteurs critiques sachant goûter le plaisir de cette joyeuse destruction des systèmes suspects et des fanatismes religieux, à l’écoute de la dénonciation de ces aberrations politiques et de la misère humaine : Candide apparaît, plus que jamais, comme un texte d’une modernité criante et comme un texte de plaisir. ÉTUDIER CANDIDE EN CLASSE DE PREMIÈRE Candide se situe à la croisée de plusieurs

camps d’externalisation des juifs, vécue par l’auteur, pendant la seconde guerre mondiale. Il explique, à partir de son quotidien dans les camps, la lutte et l’organisation de tous les jours pour la survie des prisonniers. Ce roman nous montre les horreurs de la déshumanisation des camps. Primo Levi est arrêté en février 1944, en Italie, alors qu’il débutait des activités de résistant, il était alors âgé de 24 ans. Au travers son récit, on peut percevoir toute l’humiliation, la perte de dignité et

argumente-t-elle, et être bonne dans son ensemble, pour le but général. » (Lettre du 5novembre 1757) Voltaire, lui, était au contraire, atterré par cette barbarie : « Que d’horreurs, et que le meilleur des mondes est affreux ! » (5 novembre 1757). (Les horreurs de la guerre brillent d’un éclat sinistre dans le miroir du « tout est bien ». Elles rendent insupportables le « tout est pour le mieux » de Leibniz. Or, la guerre occupe une place tout à fait particulière dans l’œuvre de Voltaire et plus précisément