La Fin Justifie Machiavel

glorifie de faire disparaître les écriteaux qui désignaient toutes les terres à vendre pour motif de dette. Mais il y a un mécontentement des riches créanciers et des pauvres aussi car ces derniers espéraient plus comme le partage des terres. Solon justifie en disant qu’il faut toujours faire des réformes avec modérations. Si elles sont trop radicales cela jette le trouble dans la cité.   Les athéniens reconnaîtront plus tard le bien fondé de la politique de Solon.  Il créa un jour de fête = le sacrifice

synonyme d’Etat. Le mot « Etat » est un mot issu du latin, il vient du mot status, ce qui tient debout. Le terme « Etat » renvoi à la mise en place d’une certaine organisation de la vie en société. Le mot Etat apparaît au 16ème avec Machiavel, et ce terme se généralise à la fin du 18ème, début de la rédaction des 1ères constitutions écrites. L’Etat est une abstraction, c’est une personne morale au sens juridique du terme. Section 1 : La naissance de l’Etat moderne : phénomène politico-juridique.

lui donnent corps ? Le mot Etat s’impose dans le vocabulaire politique français au XVII eme siècle voire à la fin du XIXe siècle. Tocqueville dans L’Ancien Régime et la Révolution ne distingue que des institutions politiques pas d’Etat. Pourtant au XVI e siècle Machiavel utilise le terme stato dans le Prince pour désigner les entités politiques. Pour Jacob Burckhardt l’Etat chez Machiavel renvoie à la pensée de Nietzsche qui le considère comme une œuvre d’art c'est-à-dire l’imposition d’une forme

semble être une action mauvaise et montrant son caractère dangereux puisqu’il tue un être vivant) il n’est pas mauvais puisqu’il fait cela dans le but de subvenir à ses besoins vitaux. Il préserve donc sa vie. Ce geste mortel est alors tout à fait justifié par un besoin naturel. C’est la chaîne alimentaire de base qui se dessine. L’homme peut alors se défaire de sa dangerosité s’il se maintient à son état de nature, qui est forcément un état de paix avec son prochain et avec la nature. L’homme est

ou pour d’autres. Je dois plutôt examiner si je puis vouloir un monde dans lequel on pourrait mentir à son gré. Si par exemple ma conduite est guidée par un principe qui me permet de mentir toutes les fois que ça m’arrange, en ce cas mon principe justifie les mensonges de n’importe qui d’autre, mais alors, une fois que tout le monde est en droit de mentir, on ne croit plus personne et aucun menteur n’arrive à ses fins. Par conséquent, le principe se sape lui-même. Il appelle cette formulation

comme thème de réflexion ce qui suit : la question de la soumission à l’autorité, une relecture du «Discours de la servitude volontaire » de Etienne de la Boetie. De ce thème nous dégageons comme question fondamentale : la légitimité de l’autorité justifie-t-elle la servitude du peuple ? Avec le problème précédemment posé, nous pouvons dégager quelques questions subsidiaires qui peuvent nous aider dans notre réflexion. Elles s’énoncent comme suit : Quelles peuvent être les raisons de la servitude volontaire

représentation rationnelle du pouvoir étatique. L'essor de la notion de raison d'Etat à la Renaissance correspond à cette mutation. En tant que production d'une rupture sociale particulière, la souveraineté imprègne de facto, la pensée de la Renaissance. Machiavel y fait ainsi allusion dans son œuvre - sans l'expliquer ouvertement toutefois. Chez Bodin, la souveraineté sert de pilier à l'analyse de 'l'État : « La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d’une République (…) c'est-à-dire la plus

y avoir des facteurs contingents. Remarque 2: jusqu'au 19ème siècle on s'est préoccupé des ouvrages techniques (ex: traité de comptabilité, Italie XVème siècle), militaires (ex: "l'art de la guerre" de Sun Tsu) ou politiques (ex: "le prince de Machiavel"). Domaine militaire: avant lors de délits => peine reliée pour pacifier, discipliner (ex: galère). On a le même problème en entreprise. Sun Tsu explique à quel moment c'est le collaborateur qui a commis une erreur ou le "manager". Le monarque

sans avoir à justifier leur acte. MOSHE dit MOÏSE : et Dieu descendit du paradis et dit au poulet : "Tu dois traverser la route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon. Richard NIXON : le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a JAMAIS traversé la route. Niccolo Machivelli dit MACHIAVEL : l'événement important, c'est que le poulet n'ait jamais traversé la route. Peu importe de savoir pourquoi. La fin en soi de traverser la route justifie tout motif tel

pourquoi il ne veut pas s’en fuir. 1) Parce que cela met en péril la stabilité de l’état. Désobéir c’est détruire la loi, or, la loi n’est pas injuste par elle-même, elle vise, au contraire, l’intérêt de tous, le bien commun. Aucune raison valable ne justifie une telle désobéissant. Aucun individu ne peut se soustraire à une décision de justice pour son propre Pour autant, il existe des moyen légaux de lutter contre les lois injustes : - Au moment