La Fin Justifie Machiavel

Sujet : Quelle est la raison de l’Etat ? Le mot Etat vient du latin status qui signifie « se tenir debout ». Ce mot n’apparaît qu’au 16° siècle chez Machiavel notamment, il désigne alors « une physionomie historique » du politique. La Cité antique n’est pas un Etat, elle se définit, selon Hegel comme une belle totalité vivante où les citoyens ne sont ce qu’ils sont que parce qu’ils font corps avec la Cité. La Cité romaine constitue « la res publica », c'est-à-dire une chose publique. Comme la

par exemple). Le pays désigne une entité géographique tandis que le gouvernement est l’institution qui dirige l’État ; la nation quant-à-elle ne se confond pas avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation. {draw:a} {draw:a} Nicolas Machiavel fut un des premiers à faire usage du mot stato dans le sens d'« unité politique d’un peuple qui le double et peut survivre aux allées et venues non seulement des gouvernements mais aussi des formes de gouvernement ». Il y en a trois : Territoire

Aristote, Ethique à Nicomaque I, 1 – Si donc il y a, de nos activités, quelque fin que nous souhaitons par elle-même, et les autres seulement à cause d’elle, et si nous ne choisissons pas indéfiniment une chose en vue d’une autre (car on procéderait ainsi à l’infini, de sorte que le désir serait futile et vain), il est clair que cette fin-là ne saurait être que le bien, le Souverain Bien. N’est-il pas vrai dès lors que, pour la conduite de la vie, la connaissance de ce bien est d’un grand poids

cérémonies de pouvoir, des fonctions de l’autorité monarchique. Lorsque le roi meurt, il faut éviter que la continuité monarchique meure avec lui. On observe l’apparition de la théorie des deux corps du roi. L’influence anglaise semble être à l’origine à la fin du 14ème siècle en Angleterre et au début 15ème en France voit se développer des pratiques sur l’idée de l’existence de deux corps du roi. 1) Le corps mystique de la monarchie : lieu de la souveraineté, le corps du royaume, la souveraineté ne disparaît

est moins jugée sur les intentions qu'elle proclame que sur les résultats qu'elle obtient. Cette observation conduit MACHIAVEL à affirmer que la politique est un ordre des réalités humaines absolument irréductible à tout autre. Elle est une lutte agonique pour la prise et la conservation du pouvoir, obéissant à une logique quasi autonome. Il s'agit de vaincre et ici la fin justifie les moyens. Il montre que la conquête et l'exercice du pouvoir sont l'enjeu de luttes féroces dans lesquelles m'homme

Ils ne risquent absolument rien. Il leur semble donc normal de heurter un piéton parce qu'ils sont presses ou de rouler a 150km/h sur une autoroute ou la vitesse maximale permise est de 80km/h. Ils suivent sans honte aucune la pensée de Machiavel : « la fin justifie les moyens » et peu importe s'ils mettent la vie d'autres personnes en danger. D'une part leur comportement non seulement ils augmentent les risques dans un secteur ou ceux-ci sont déjà assez importants, mais de plus en créent des supplémentaires

l’instruction l’écrit commence à se banaliser. * Niveau local : de + en + de manifestations écrites (acte de la pratique, charte, doc jurisp) * Mais cependant : portée modeste des docs pour l’essentiel la coutume reste orale. * Fin 12e : début de la rédac des coutumes ac celle des coutumiers normands : 2 grands : 1190 et 13e * 13 et 14e : multiplication des coutumiers privés encouragé par le roi. * Ce sont des compilations privés réalisées par des praticiens. * Ces

relations interpersonnelles difficiles, il se réfugie plusieurs fois dans la solitude, séjournant de nouveau en Suisse en 1762 après la condamnation de ses ouvrages par le Parlement de Paris. Il entreprend alors d'écrire son autobiographie pour se justifier et multiplie les lieux de résidence, pour finalement retourner à Paris en 1770 et vivre en copiant de la musique. Il meurt à 66 ans en 1778 et sa dépouille sera transférée au Panthéon par la Convention au moment de la Révolution française en 1794

conviction de Lucien, il tient un discours légaliste (relatif à la loi) mais ce qu’il énonce est illégal : « En France donc… ». Il dresse un tableau d’immoralité de la société (l. 18 » : « Ayez chez vous le succès.. ». Il paraphrase la fin justifie les moyens de Nicolas Machiavel. Il lui pose comme une loi sociale. De cette loi en découle une seconde qu’il énonce également (l. 17-19) : « Ayez de beaux dehors ». Dès lors, il critique l’attitude de Lucien qui n’aurait pas suivi ces préceptes (l. 24) : « vous

c’est le roi, et ses décisions, lois et règlement sont indiscutables. Il est souverain de tous en général et de chacun en particulier. La notion de souveraineté royale trouve racine dans le concept « d’auctoritas » (familier du Moyen Age). Dès la fin du XIIIème siècle, on rencontre l’adjectif « souverain », dont l’utilisation sera à son apogée au XVIème siècle. Aussi il convient de relater la progression de la notion de souveraineté royale à travers ces siècles riches en influence et en réformes