La Firme Manageriale

apports.  Richard Cyert (1921) Il analyse l’importance des décisions et des processus de décision dans une organisation. Il souligne que la firme est constituée de groupes aux intérêts différents. Les décisions sont le fruit de négociation. Il élabore un modèle explicatif du processus décisionnel. On parle alors de la Théorie du comportement de la firme. Il met en évidence quatre principes : - Quasi-résolution des conflits Pour prendre une décision rationnelle, il faut éviter / résoudre les

l'information. La firme de type A (américain, aussi appelé dans les travaux ultérieurs d'Aoki le modèle H pour hiérarchique) possède une structure rigide. Ses règles et ses fonctions sont préétablies de façon précise. La firme de type J (japonais, aussi appelé modèle horizontal) au contraire possède une organisation du travail souple et sans fonction figée. Chacune possède ses domaines et conditions d'efficacité. Selon Aoki, la firme J est plus efficiente dans un univers incertain que la firme A. L'apport

d'attaque méthodologique le triptyque structures-comportements-performances. A partir de 1980, ce triptyque fait l'objet de critiques et un autre angle d'attaque prend le relais via le recours à de nouvelles conceptions théoriques et analytiques de ta firme, à la théorie des jeux, à la prise en considération de l'asymétrie de l'information…et donc à l'élaboration de nombreux modèles qui vont enrichir l'économie industrielle : on parle dans ce cadre d'une nouvelle économie industrielle dont l'une des figure

* la théorie des coûts de transaction conduit à une conception de la firme qui ne donne pas de statut spécifique ni de position centrale au contrat de travail et au rapport salarial. * certains auteurs soutiennent que l’hypothèse de rationalité limitée n’est pas exploitée. A contrario, pour d’aucun, le rôle de l’opportunisme est surestimé : la conception de l’individu est régressive, l’étendue des comportements managériaux n’est pas totalement appréhendée. * la théorie des coûts de transaction

et générale, 1918, il définit l’administration, qui est reprise comme définition de la gestion au sens large) Définition de Fayol :PO3C= Prévoir, organiser, commander, coordonner er contrôler Prévoir c’est faire des plans sur la croissance de la firme, coordonner les activités et les hommes. Déf la plus utilisée jusqu’aux années 80 et perfectionnée par les américains après la 2e GM. Fayol les a influencés. Les Américains : POSDCORB =Planning, organizing, Staffing, Directing, coordinating, operating

Le dirigeant propriétaire : le dirigeant d’une entreprise privée n’est pas toujours propriétaire de la firme qu’il dirige. Généralement, le dirigeant d’une entreprise individuelle ou d’une TPE est aussi son propriétaire. Pour les PME ou les grandes entreprises, il peut y avoir séparation entre celui qui dirige et celui qui possède le capital. Selon le lien qui l’unit à l’organisation, le statut ainsi que le pouvoir du dirigeant ne seront pas les mêmes. En effet, le dirigeant-propriétaire exerce tout

des mécanismes des prix. La firme ne joue pas un rôle dans ce cadre là. Seuls importent la quantité des ressources qui entre dans la firme (les inputs) et la quantité biens qui en sort (les outputs) directement vendue sur le marché. L’entreprise est alors assimilée à un agent économique individuel, rien n’est dit sur le fonctionnement interne de l’entreprise. Cette vision de la firme a été remise en cause afin de reconnaître les multiples raisons d’existence d’une firme et son essentielle fonction

Sujet : Sans trop entrer dans le contenu détaillé de chacune des théories non classique de la firme décrivez et explicitez les idées et les développements nouveaux que ces théories ont introduites par rapport aux théories traditionnelles de la firme. Dans les théories traditionnelles ou néoclassiques de la firme, la firme n’a pas fait l’objet d’une analyse détaillée. On a une idée simpliste de la firme. La firme est représentée comme un agent économique individuel, doté d’une rationalité parfaite et

durant des décennies d'expansion des espaces de marché doivent être mis à jour et repensés. C'est ce à quoi s'attachent les enseignants-chercheurs en sciences de gestion réunis dans cette table ronde. En explorant les mécanismes de l'idéologie managériale qui préside à l'expansion  de systèmes de gestion mondialisés et financiarisés, et en mettant à jour leurs conséquences en matière de gestion des personnes et des biens publics, ils ouvrent des espaces de réflexion critique sur la production et

ouvrages majeurs ("Strategy and structure" 1962, "The visible hand" 1977 et "Scale and scope" 1990), Chandler présente, comme un historien, l'évolution de l'entreprise industrielle, considérant la firme davantage comme une institution que comme une simple organisation. Il montre la réalité de la firme moderne à travers l'étude des conditions de sa constitution et de ses transformations. Les premiers écrits montrent l'importance des innovations organisationnelles dans le développement du système