La Justice Naturelle

On peut donc se demander si le contrôle social peut à lui seul supprimer la déviance. Pour cela on verra dans une première partie que le contrôle social est une barrière naturelle contre la déviance et dans un second temps nous verrons les limites du contrôle social face à la déviance. I/ Le contrôle social : barrière naturelle contre la déviance A) Les formes de socialisation au service du contrôle social A l’intérieur du contrôle social on trouve différentes formes de socialisations

du mariage) soit illégitime ou dite naturelle (enfant né hors mariage). Cette distinction produisait un certain nombre d’effets d’ordre sociologique. Surtout, elle emportait des effets de droit important : l’enfant naturel n’avait pas les mêmes droits que l’enfant légitime. Cette conception a d’abord été celle retenue par le code civil en 1804. Le code civil opérait une autre distinction au sein de la filiation naturelle. Plusieurs degrés : filiation naturelle simple (les deux parents étaient célibataires)

principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend. Sommaire 1 Histoire des éditions de la République 2 Cadre dramatique 2.1 Personnages du dialogue 2.2 Citations 2.3 Lieu 3 Résumé de l’œuvre 3.1 Livre I 3.2 Livre II 3.3 Livre III 3.4 Livre IV 4 Retour avec Glaucon au problème de la justice[30] 4.1

La justice et le droit Que l'injustice nous indigne montre que la justice est d'abord une exigence, et même une exigence d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance. Mais qu'est-ce qu'une égalité juste ? Suffit-il d'attribuer des parts égales à chacun ? 1. La justice se confond-elle avec la stricte égalité ? • Aristote

valable uniquement pour une situation déterminée. (« La jurisprudence est une décision qui est devenu une règle » Demander un permis de conduire/ construire : administration accorde 1 permis individuel ) Pas compris ce passage Une décision de justice : la règle générale et impersonnelle interdit le vol (= soustraction frauduleuse de la chose d’autrui et passible de 3 ans d’emprisonnement et 45 milles E d’amende). Si on vole, on est jugé, le juge prend la décision de 3 mois avec sursis et 10 milles

comparaisons vont se manifester ressemblances ou dissemblances permettant d’opérer des regroupements. A ces catégories s’attachent des règles propres. Les juristes établissent des ensembles de droits, de choses , de personnes (enfants légitimes/ enfants naturels), de faits, ou d’actes (licites/illicites/ volontaires..) ayant des traits caractéristiques communs. Il ne faut pas confondre les concepts et les principes qu’ils véhiculent ; ne pas confondre les concepts avec les règles qui leurs sont applicables

correspond à une absence de contrainte par rapport aux actions d'un individu. La loi peut prendre, elle, plusieurs sens : elle peut faire écho aux lois juridiques, politiques et sociales, c’est-à-dire les lois appliquées par la Justice, mais on peut aussi entendre les lois naturelles, autrement dit les lois qui régissent la Nature. Ainsi, la question posée est de savoir si la liberté est assurée par la loi ou si, dans le cas contraire, la liberté peut exister en dehors du cadre de la loi, qui, initialement

sophiste Calliclès, imaginé par Platon dans son Gorgias, considère qu’il existe un rapport de force naturel entre les hommes, et que ce rapport doit être respecté. Ainsi, instaurer des lois visant l’égalité en droits des hommes serait contre-nature, et l’inégalité serait parfaitement juste, car conforme à la «loi de la nature». Mais vouloir ainsi rabattre le droit sur des rapports de force naturels est contraire au principe même du droit. En effet, dans une telle conception le droit serait fondé

pouvoir consoler, par exemple, le malheur des parents qui ont perdu leur enfant après que celui-ci a subi les pires tortures d'un violeur ou d'un déséquilibré mental... Il sera difficile dans ce cas d'invoquer un sens de l'existence ou, pire, une justice divine. Et si c'est son propre enfant qui commet le pire des crimes, n'est-ce pas un malheur au moins aussi grand et pour les parents et pour l'enfant ? Par son indignité, le criminel a sali et obscurci à jamais son existence et celle de son entourage

leurs sujets le respect et la terreur parce qu'on ne sépare point dans la pensée leurs personnes d'avec leurs, suites qu'on y voit d'ordinaire jointes. Et le monde qui ne sait pas que cet effet vient de cette coutume, croit qu'il vient d'une force naturelle. Et là viennent ces mots : le caractère de la divinité est empreint sur son visage, etc. 26-330 La puissance des rois est fondée sur la "on et sur la folie du peuple, et bien plus sur la folie. La plus grande et importante chose du monde a pour