La Liberté Chez Aristote

d’insociable sociabilité de Kant. Si nos passions sont si fortes comment arrivons nous à cohabiter? Selon Aristote l’homme est un animal politique, il a une disposition naturelle à habiter avec ses semblables. Pourtant nous arrivons quand même à nous détruire les uns les autres. L’homme est donc méchant par nature, à ce propos Plaute à dit: L’homme est un loup pour l’homme. Kant lui est d’accord avec Aristote, l’homme est un êtrine social, mais, dès qu’il habite en société, cette sociabilité lui devient insupportable

alors que la pensée du droit vient du grec. Une grande partie du voc juridique vient de rome, les grand conceptes viennent de Grece. Les Romains utilisent le ius qu'ils distinguent du fas = le droit divin. Ils le distinguent egalement du mot lex qui chez les romain revient au projet de loi. Projet de loi qui prend sa valeur que lorsqu'il était approuvé par le peuple. iurare : preter serment, prononcer la formule de normalité requise par des règles rituelles. Le ius est marqué par l'oralité. Le droit

d’auteurs tourmentés par un mal de la condition humaine dérivant de deux guerres successives. L’absurdité de situation innée à la guerre et à la société post-guerrière, se transpose aux écrits. Etant donne que le mythe d’Oedipe pose le problème de la liberté de l’homme et du libre arbitre, le choix de camus, d’utiliser ce mythe à l’inverse, est justifié. Jean Onimus, dit à propos du malentendu : «Camus, et c’est son originalité, s’est efforcé de joindre à sa révolte la sagesse nécessaire et d’articuler

succédées (dont la quatrième, celle des demi-dieux). A l’origine, Prométhée « aux pensers fourbes ». * Masculin/Féminin : très importante, s’applique aussi au divin. La biologie construit son interprétation du monde par cette opposition sexuée. Voir Aristote, Histoire des animaux qui applique la distinction à de nombreuses espèces. * L’histoire de Pandore, l’ève Grecque. L’homme, privé de parole par Zeus, ne peut se plaindre d’être contraint à l’indispensabilité de la femme pour procréer, de son

d’Alexandre le Grand Les Grecs ne connaissent pas comme plus tard les Romains la notion d’état unitaire , il n’y a donc pas d’institutions des idées politiques étatiques , ils connaissent uniquement la cité, ce qu’ils appellent la « polis»  Chez les Grecs, la cité est à la fois une structure politique et sociale mais aussi une entité religieuse . C’est ce que l’on appelle le monisme antique c'est-à-dire que les habitants d’une cité sont également membres d’une communauté religieuse .

/ droit naturel Section 2. Le droit positif comme droit naturel objectivé TITRE I. LE DROIT DES ANCIENS Chapitre I. La fondation aristotélicienne du droit et son héritage romain Section 1. Platon et l'idéal de justice Section 2. Aristote et le droit comme mesure du partage des biens Section 3. La fondation romaine de l'art juridique Chapitre II. La philosophie chrétienne du droit Section 1. Le droit chrétien augustinien Section 2. La compréhension thomiste du droit

Apologie et défendit ces treize thèses ; le Pape Innocent VIII rejeta finalement les 900 thèses (dont 45 de D'Aquin). Fuite en 1488 à Paris des suites des persécutions de la curie romaine ; détenu de janvier à mars au donjon de Vincennes. Remise en liberté grâce à l'intercession de puissants bienfaiteurs (au rang desquels Charles VIII -qui portait bien son surnom d'affable) Invité par Laurent le Magnifique, il se retire à Florence qu’il ne quittera plus. Il y mène des travaux dédiés à la construction

(« je pense ce que je veux, même si je ne sais pas très bien ce que je pense ! ») ? Pourquoi défendre des jugements et des représentations excessives, extrêmes, mais aussi des manières de penser particulièrement conventionnelles, qui sacrifient la liberté sur l'autel du « bon ton » ou des « convenances » ? À l'évidence, la question de l'opinion est plus délicate que l'on ne le voit dès l'abord ... 3) L'opinion, comme représentation ou système de représentations, est le fait de juger selon une certaine

modération (toute la philosophie grecque est basée sur la mesure), et la justice. La justice est l'harmonie, c'est la vertu de l'âme, qui a pour fonction d'attribuer a chacun, selon ses mérites, des récompenses et des peines. Chez les modernes, la dignité est la mère des droits de l'Homme, elle est inhérente à la personne humaine et on ne la juge jamais. Elle est ontologique alors qu'elle était juridique pour les anciens.

la nuance. Elle s’affirma comme une manifestation la plus haute et la plus pur de la création littéraire : Elle entra pour sa part en opposition avec le reste de la littérature et, sans tenir compte d’aucune réserve, d’aucune limite, s’arrogea la liberté de dire tout ce qui lui inspiraient une imagination impérieuse, une intériorité élargie aux mesures de l’inconscient et enfin un jeu dans une transcendance qui ne se réfère plus à rien. » Notre corpus, Soir d’hiver, est un poème caractérisé surtout