La Liberté Chez Aristote

serait-ce donc dangereux pour l’homme ? Faut-il donc toujours s’étonner ? Ou cela peut-il être nuisible ? Pouvons-nous savoir, dans quelles conditions est-il mieux ou non de s’étonner ? S’étonner est la première qualité d’un philosophe. En effet, Aristote affirme que « c’est l'étonnement qui poussa, comme aujourd'hui, les premiers penseurs aux spéculations philosophiques » L’être humain s’étonne de faits inhabituels, exceptionnels ou rares, or il est également possible de s’étonner de ce qui nous

romaine qui va obéir essentiellement à la loi. Le courant musulman a redécouvert Aristote, le concept du libre arbitre a été mis en évidence par les mo3tazilites. Cette pensée musulmane est liée à la révélation. QUEL SONT LES LEGUES DE L’ANTIQUITE ? - La réflexion pratique, en effet nous devons aux grecques la Science politique. C’est-à-dire le comment de construire un état et comment y vivre. Selon Aristote, l’état ne pouvait pas demeurer dans le temps et l’espace. - LA REPUBLIQUE de Platon

Constantin Dmitriévitch Levine, l’un des protagonistes du roman de Tolstoï Anna Karénine, est l’homme inquiet de la vie. Si elle lui est une évidence chez les autres, la sienne l’étonne, le panique même. Il est agriculteur et sait tout des cycles des saisons, de la saillie des femelles ou du moment de rentrer les foins. Il projette de publier un grand ouvrage sur les techniques agricoles, afin de faire partager ses vues progressistes au plus grand nombre. Pourtant, en ce qui le concerne, « la vie

modélisation de ce que l'esprit peut produire comme pensées ? Les différentes conceptions philosophiques : Le fait est que les philosophes ont défini diversement le concept de "matière." Pour Aristote, elle est ce qui peut recevoir une forme. La matière est alors opposée à la forme, c'est-à-dire à l'idée pour Aristote ; et elle se définit comme puissance, c'est-à-dire comme virtualité. Pour Epicure, la matière et la réalité fondamentale, elle est constituée d'atomes discontinus se combinant diversement

Introduction   La société est un bien vilain mot, ou plutôt une bien dure réalité pour l’individu ; elle est en effet souvent perçue comme une aliénation, une atteinte à la liberté, et même une corruption. On oppose ainsi l’état social à l’état de nature, qui serait, lui, le règne de la liberté et du bonheur. La société, c’est un obstacle à la nature (humaine). Cette identification de la société à un démon corrupteur, semble bien faire abstraction de notre nature humaine. En effet, " l’homme n’est

sexualité Dans son best-seller, Des eunuques pour le royaume des cieux1, Uta Ranke-Heinemann, une théologienne allemande un tantinet acerbe, présente Thomas d’Aquin comme un ennemi du plaisir et de la sexualité : « Saint Thomas se sent soutenu par Aristote […] dans son hostilité au plaisir et à la sexualité. […] Nous ne pouvons plus aujourd’hui imaginer le fanatisme avec lequel saint Thomas (et toute la théologie de tradition augustinienne à sa suite) refuse l’acte sexuel sous prétexte qu’il “ obscurcit

politique est une forme de rencontre entre les grands textes, les grands auteurs. C’est la rencontre entre la pensée et de l’autre côté un objet qui semble essentiel, la politique. Bien des auteurs ont défini l’Homme comme un « animal politique » (Aristote). En général, ces auteurs se sont définis contre les anciens. La politique n’est pas le naturel de l’Homme. La perspective que prendra Machiavel est anti-aristotélicienne. Nous allons travailler des textes assez abstraits, mais qui traiteront

Esquisse d’une genèse de la sociologie * Aristote : (Stagire, Macédoine, 384 av. JC - Chalcis, 322 av. JC). Il propose une distinction entre les sciences théoriques qui porte sur la nature et les sciences de l’action qui portent sur le monde humain. A l’intérieur des sciences de l’action, il relève une contradiction :   ces sciences reposent sur l’idée de nature (des lois inflexibles)   La notion d’action repose sur l’idée de choix Aristote part du Holisme et tend vers le déterminisme

Peut-on vivre sans les autres? → autrui → perception → société → langage → culture → sujet → société → liberté Intro: Claudel (dans l'animal) raconte l'histoire d'un solitaire donc la bascule tout d'un coup, son train-train habituel est soudainement rompu par une image au JT. Tout le bel ordre se déglingue progressivement. C'est l'histoire d'un homme qui a oublié qu'il y a des autres alors qu'il les côtoie tous les jours. Nous avons ici un personnage solipsiste et auto

d’une société donnée : les préjugés, les habitudes sociales, les passions, les religions, … L’homme qu’on a libéré de ses chaînes= le philosophe. * Le philosophe doit revenir dans sa société pour éclairer ses compatriotes. * Exemples : - Aristote remet en question une pratique considérée de son temps comme allant de soi : l’esclavage. Il se demande : l’esclavage est-il légitime ? En d’autres termes, est-il juste qu’il y ait des esclaves ? - Les philosophes des Lumières se proposent, conformément