La Littérature Maghrébine

soit-elle, mais avec un regard effronté qui désire, tout simplement, réhabiliter un théâtre minorisé, oublié à tort. Réhabilitation nécessaire, parce qu’en dépit de tout, la production littéraire de ces deux écrivains fait partie de l’histoire de la littérature algérienne. C’est seulement en luttant contre l’oubli et en nourrissant la mémoire, que les générations successives peuvent s’enrichir de leur passé. Pour le dépasser, encore faut-il le connaître, dans le domaine du théâtre comme dans tant

romancières les plus importantes de la littérature féminine africaine. Ce qui frappe le lecteur qui aborde pour la première fois ses romans, c’est, entre autres, la présence d’une subjectivité féminine cherchant à se dire (souvent au prix d’un viol des codes sociaux et langagiers) ; la permanence du féminin, de la femme et du corps. Par cette manière d’écrire, proche de ce à quoi nous ont habitués les grandes écrivaines et théoriciennes de la littérature féminine, elle illustre ce qu’est une

cultiver chez les jeunes des compétences humaines pourtant indispensables aujourd’hui à la survie de la démocratie et à la bonne gouvernance cognitive. Les humanités (histoire, sociologie, littérature, art, culture générale etc.) ne cessent de perdre du terrain dans le système éducatif et de la recherche(SER) maghrébin. Considérées par les politiques comme des accessoires inutiles, à un moment où les pays cherchent à être compétitifs1 . En fait, nos étudiants ignorent entre outre Socrate , Descartes,

attentat). Le 6 juin 1936, Viala dénonce un « gouvernement juif ». Le journalisme antisémite se développe : L’Anti-Juif (Darquier de Pellepoix), L’Ami du Peuple, Gringoire, Je Suis Partout, La Nouvelle Aurore, La France Réelle. Il en est de même de la littérature : Céline (Bagatelle pour un Massacre), Drieu La Rochelle (Gilles, nazi convaincu, soutenu par Vichy). En 1938, le décret Marchandeau qui condamnait l’incitation à la haine raciale est promulgué. Très peu appliqué, il sera aboli par Vichy. Dès le

vaishyas (commerçants) et en dernier lieu les shudras (artisans, travailleurs agricoles, serviteurs des autres castes). Les hindous attribuent à leur nourriture une certaine forme de vie qui transmet ses qualités propres. Dans un texte de la littérature sacrée hindou, les « upanishads » on trouve cette phrase : « dis moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es ». Trois qualités fondamentales constituent l’univers du minéral à l’humain :    sattva, la lumière, l’harmonie et la joie

 BELGIQUELettres françaises Comment se présente le problème même d'une littérature française en Belgique ? Si des éléments comme la race, le peuple, le climat ou le décor de la vie ont leur importance dans la formation de l'esprit des écrivains et, par là, dans l'aspect de leurs produits, il n'en reste pas moins que ce qui les crée écrivains, ce qui les fait entrer en littérature, c'est le fait que cet esprit se donne un moule de langage. En se coulant dans ce moule l'esprit s'achève, et surtout

série puis celle de ses téléspectateurs. Pour les amoureux de la littérature plus classique et de Balzac nous pouvons ici nous référer au célèbre "lire c'est créer a deux " ou bien encore à la leçon que Blondet, dans " Illusions perdues", donne à Lucien de Rubempré. Pour le convaincre d’écrire un article "pour" le livre de Nathan, après en avoir écrit un "contre", Blondet lui dit : " Mon petit, en littérature, chaque idée a son envers et son endroit ; personne ne peut prendre sur lui d’affirmer

investies de la responsabilité de s’occuper des enfants, peuvent-elles encore assumer ce rôle?Sinon, qui s’en charge?La famille recomposée est parfois la seule structure sociale restante…L’immigrationDans les années 1960, ce sont les communautés maghrébines s’installent en France.On lit: « Mme Rosa était née en Pologne comme Juive mais elle s’était défendue au Maroc et en Algérie »Voir tableau des Indépendances La société multiethniquedésigne la coexistence de différentes cultures (ethniques, religieuses

tous, elle participe pleinement du système de normes qui régit la « culture de rue » et qu’apprennent nolens volens tous les jeunes de ces quartiers au moins à partir de la préadolescence 9. Le discours sur le rajeunissement, qui trouve dans la littérature policière une de ses principales sources, a très probablement partie liée avec cette situation. 3- La sortie de la délinquance Cela étant, cette question de l’âge auquel un jeune commence à délinquer n’est pas la seule importante pour une société

Nadeau, critique littéraire, normalien et professeur, écrit dans Le Mercure de France que Dib est de tous les romanciers nord-africain, « celui qui risque de nous toucher le plus ».             La Grande Maison a obtenue le Grand Prix Fénéon de la littérature.  Ancrage historique : Dib situe l’action du roman en 1939. Ce dernier a été publié en 1953, dans l’immédiate avant-guerre, au moment où les bruits de sirène des exercices d’alerte emplissent déjà Tlemcen, où l’on parle de Hitler comme d’un sauveur