La Logique De Performance De La Lolf

institutionnelles de l'outre-mer constituent aussi des dossiers majeurs. Ce dossier, qui présente cette réforme, s'articule autour de trois thèmes : la France et la décentralisation ; la réforme en cours des collectivités territoriales : quelles logiques ? ; les grands enjeux de la décentralisation. Sites internet  Direction générale des collectivités locales http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/ Propose des informations sur l’organisation des collectivités territoriales, les textes législatifs,

gestion est un outil de pilotage pour l’ensemble des acteurs de la LOLF, en particulier pour les responsables de programme et les responsables de budgets opérationnels de programme. Sa mise en place, adaptée aux nouvelles règles de gestion publique, permet d’optimiser la mise en œuvre de la stratégie des politiques publiques, de vérifier l’adéquation entre les moyens déployés et les objectifs poursuivis en matière de performance notamment. Le contrôle de gestion améliore ainsi le pilotage opérationnel

soumettre à un système de contrôle très cher aux entreprises : le contrôle de gestion. Ceci permet aux musées « d’avoir un langage commun avec les entreprises ». -Responsabilisation des musées : Une autre raison à l’implémentation d’un contrôle de la performance aux seins des institutions muséales est l’autonomie acquise par la loi du 4 janvier 2002. Les musées avaient alors milités pour rompre les cadres administratif et juridiques traditionnels trop contraignants au regard de leurs nouvelles activités

gestion, les modes d'organisation des autres entreprises afin de s'en inspirer et d'en retirer le meilleur. C'est un processus continu de recherche, d'analyse comparative, d'adaptation et d'implantation des meilleures pratiques pour améliorer la performance des processus dans une organisation). C’est également une modalité de pensée universelle (les indiens comparaient eux-mêmes leurs villages avant des les classer à des fins organisationnels). La comparaison en est le fondement, on cherche à savoir

supérieur de l’évaluation (CSE) est créé en 1990. Il sera remplacé par un Conseil national de l’évaluation (CNE) en 1998, aujourd’hui disparu. Institutionnellement, un changement important est introduit avec la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) votée en 2001, qui engage profondément la France dans un mouvement de réforme affectant le cœur de l’administration. Cette loi bouleverse les règles de présentation, d’adoption et d’exécution du budget de l’État. Sa mise en œuvre progressive doit

fonctionnement (dépense de personnel) - intervention (transfert) - investissement (bibliothèque, école…) - subvention d’investissement - dommage de guerre Jusqu’à la LOLF, la plupart des votes étaient des votes bloqués c'est-à-dire des votes reconduit d’une année sur l’autre (environ 90% des crédits votés). Avec la LOLF c’est fini, on vote dès le début, que ce soit nouveau ou pas. Il y a plusieurs documents : la REF (rapport économique et financier), les documents bleus (dépense par ministère)

matière de fonction publique (cf. annexe 2) contribuent à créer un climat tendu. La gauche a fait la preuve de sa capacité à apporter des réponses en la matière : développement de la société de l’information avec le PAGSI du gouvernement Jospin, la LOLF et plus loin dans le temps la décentralisation, la réforme de la régulation dans de nombreux domaines (secteur bancaire, énergie). Il faut sur ces sujets éviter l’idéologie, de part et d’autre. La plupart des objectifs sont consensuels et peuvent être

l’exception de cela, toutes ont été créées au XIXème siècle. REMARQUE : * La création des IFP n’a pas été déterminée : c’est en fonction des circonstances ou de la conjoncture sociale et économique. Ce qui veut dire qu’il y a une absence de logique prédéterminée à leur création. * Il peut y avoir des idées de travaux réglementaires par un régime particulier qui inspire. * Il est difficile de distinguer les différentes étapes de création de ses investissements financiers. Cela signifie

Université Lumière Lyon 2 Le manager territorial comme levier de performance de l’organisation ? Mémoire pour le master professionnel Management du Secteur Public : Collectivités et Partenaires Sylvie FREY-GAUTIER Le 6 septembre 2007 Soutenu par JURY : Anne BLANC-BOGE Maître de conférences de sciences de Gestion à l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon Président du jury, Directeur de mémoire, Pascal FORTOUL Directeur Général Adjoint du Pays Voironnais Maître de stage Norbert HEKIMIAN

systèmes d’information dans les trois fonctions publiques (cf. partie 3 : « La gestion des connaissances sur l’emploi public : un enjeu majeur de modernisation »). Pour la fonction publique de l’État, la loi organique relative aux lois de finances (Lolf) du 1 er août 2001, mise en œuvre pour la première fois en 2006, tend à modifier profondément la répartition des rôles et les pratiques en matière de GRH au sein de l’État. Dans ce nouveau contexte, une nou-velle approche de gestion des ressources