La Logistique Des Firmes Multinationales

augmenter De plus on voit naître une compétitivité sur les coûts grâce aux délais de livraison. En effet L’une des particularités de Zara, réside dans l’organisation de sa chaîne logistique, qu'elle contrôle d'un bout à l'autre (intégration verticale) exemple : « du design à la production en passant par la logistique et les ventes, Zara s’occupe de tout ». La stratégie développée par Amancio Ortega veut que les étagères des boutiques soient renouvelées tous les quinze jours. L’enseigne se distingue

plan informationnel, le constat sur les pratiques d’externalisation montre d’existence d’un marché avec des métiers potentiellement externalisables : les services généraux, les activités de sous-traitance en maintenance industrielle et la fonction logistique avec toutes ses composantes. La perception des managers à l’égard de l’externalisation n’est pas homogène, et une bonne partie semble restituer la définition globale communément admise à savoir : pour se recentrer sur son métier de base, il s’agit

2012 2 Chapitre 1 Introduction Paul Krugman, prix Nobel d’Economie, 2008 Ouvrage de référence : — Economie Internationale, Krugman Obstfeld, Pearson, 2006, 7ème édition — Partie I : commerce international, chap 1 à 7, sauf chapitre 5, firmes multinationales (Economie géographique : délocalisation, IDE) — pas le temps de traiter des sujets essentiels : politique commerciale, Ouvrages complémentaires : — Economie Internationale, Mucchielli Mayer, Dalloz, 2005 — Le commerce international, Rainelli

une domination excessive du marché. 2eme partie : Le chapitre sept examine les moyens de segmenter un secteur. La segmentation est un point central dans le choix d’une stratégie de concentration et dans l’évaluation des risques encourus par les firmes dont la cible est large. L’auteur montre comment on peut identifier une stratégie de concentration rentable et défendable. Le chapitre huit expose les facteurs déterminants du remplacement et la manière dont une firme peut remplacer un de ses produits

théorie bi-factorielle de F. HERTZBERG * Douglas MAC GREGOR : théorie X et Y ------------------------------------------------- CHAPITRE 2 STRUCTURES ET MODES DE COORDINATION RÉCENTS DE L’ORGANISATION I. La firme globale * Firme multinationale * Globalisation production globale et structure globale * Intégration horizontale transversale * Intégration verticale transversale : organisation en chaine * Intégration verticale horizontale : organisation en grappe * Les

- Stockage et Financement du stockage La capacité financière : - Les investissements - Le risque financier La motivation et l’expérience du dirigeant Les compétences Organisationnelles : - La négociation, les langues étrangères - La logistique - Création d’un service export Les compétences Marketing : - Analyse des marchés (lointains) - Les canaux de Distribution - La communication Expérience de l’internationale - Historique des marchés abordés - Les produits déjà exporter

ESCEM BACHELOR LES FIRMES MULTINATIONALES Le cas des PECO Thomas BIDET Arnaud DAVIET Dimitri KLYMENKO Question 1 : Exemple 6 En prenant cet exemple, on remarque que pour toucher un plus grand nombre de consommateur, Danone à commercialisé ses produits en Angleterre. Cette stratégie, qui aurait normalement dû rapporter des parts de marché à l’enseigne, fut en réalité un échec. En effet, selon beaucoup Danone n’aurait pas su s’adapter aux goûts du consommateur anglo-saxon. Le groupe n’a

| |Les PMI n'ont pas toujours les moyens de disposer d'équipes suffisamment compétentes dans les domaines de la production, de la technologie et de | |l’administration. Les raisons d'un tel choix sont généralement d'ordres financier et logistique, la sous-traitance permettant à l'entreprise donneur | |d'ordre de réduire ses coûts de production (machines, main d'œuvre,...) et d'optimiser sa gestion de trésorerie. | |De plus, la sous-traitance devient

dose importante de protectionnisme de la part des Etats Nations. A partir des années 1960, l'économie des multinationales émerge et supplante l'économie internationale. Les flux d'investissements directs à l'étranger et les opérations de délocalisation se développent à un taux plus rapide que celui du commerce. Les acteurs principaux de ce phénomène sont les groupes industriels multinationaux. Les Etats Nations ne sont donc plus au coeur de la division internationale du travail. A partir des années

Japon en France ne coûtait que FF. 1’500.- par bateau, ce qui est comparable aux frais de transport d’une automobile depuis l’Europe du Nord en Espagne par camion. Les limites de la libéralisation La concurrence entre les firmes nationales et les firmes étrangères est souvent biaisée en faveur des entreprises nationales, notamment par : • Les taxes, • Les normes nationales, • Le droit d’établir des contrats d’exclusivité. Ces facteurs ont donc favorisé l’investissement direct