La Loi Est Elle Toujours Juste

cette attitude n'est pas exempts de critique. Une personne morale ayant commis cet acte déloyal est plongée dans une frustration permanente d'une sanction, des remords l'envahisse. Il semble donc plus intéressant de suivre la loi, de se maitrpiser , d'adopter un comportement juste envers autrui. Pourtant l'homme injuste peut ne pas être submergés par ces pensées. De ce faite, il semble intéressant d'aborder la question de la légitimité. Que fait on du comportement injuste d'un homme n'ayant pas de conscience

L'influence de l'équité Charles Caleb Colton a écrit : « La loi et l'équité sont deux choses que Dieu a unies, mais que l'homme a séparées. » Selon cette citation loi et équité sont deux notions à l'origine liées mais que les réformes judiciaires opérées par les hommes ont fini par rendre distinctes. Une des définitions que donne Cornu de l'équité est que celle-ci est une manière de résoudre les litiges en dehors des règles du droit – les lois donc – selon des critères tels que la raison, l'utilité

2 de République se demande si l’occasion fait le larron, tandis que Montaigne dans les Essais réfléchit à notre rapport à la vertu, lorsque Jankélévitch subodore un certain cynisme dans notre conception et usage de cette même vertu … Ce qui semble juste à l’un l’est-il pour tous ? Ceci nous amène à nous poser la question essentielle : à quel critère peut-on apprécier un acte ? *** Dans Ethique à Nicomaque (V, 1, §17) Aristote posait comme principe que «Dans la mesure où elle a un rapport

former le droit applicable en France aujourd’hui : La loi La coutume La jurisprudence La doctrine Paragraphe 1 : La loi La loi est un terme intéressant, fondamental car on entend un commandement voire même un accent religieux : l’ordre de Dieu qui édicte à Moise. La loi renvoie à une verticalité, en religion c’est la transcendance. Elle correspond à un mouvement qui va du haut vers le bas avec quelqu’un qui commande et quelqu’un qui obéit. La loi qui nous intéresse n’est pas une prescription religieuse

caractères de la règle de droit Section 2 - Le fondement de la règle de droit Conception idéaliste du droit Conception positiviste du droit Qu’est ce que le droit ? Portalis : « L’office de la loi est de fixer par de grandes vues les maximes générales du droit. D’établir des principes féconds et non de descendre dans le détail des questions qui peuvent naitre sur chaque matière. Le juge suffit à cette dernière fonction. » La Règle de droit

LE DROIT ET PLATON Introduction La pensée de Platon est centrée sur l'homme, notamment sur les problèmes éthiques auxquels celui-ci doit faire face. Les questions du Juste, de la Justice et de la place de l'individu dans la société font partie de cette problématique éthique qui le préoccupe. Comme plus tard pour son élève Aristote, l'homme est pour Platon un « animal politique ». Il a consacré deux de ses œuvres les plus importantes - « La République » et « Les Lois » - à la politique dont

quelles mesures la fiscalité est plus ou moins juste ? A-t-elle pour vocation d’être juste ? Techniquement, les prélèvements sont-ils créés pour être justes ? Ce sujet est intéressant car il nous permet d’en apprendre plus sur les notions de fiscalité et de justice, qui sont omniprésentes en France. Nous comparerons les différents impôts, leurs équités si elles existent ou non. Les idées principales reposent sur l’équité de l’impôt, il se doit d’être juste et bien réparti. Dans un premier temps nous

commun. Cependant pour comprendre cette cité, il faut étudier les plus petits éléments qui la composent, c’est-à-dire l’homme est les sous parties de la cité. Ainsi l’homme est un « animal politique » et il ne peut vivre que dans la cité en étant juste. Livre I, Chapitre I-II a. La cité vise le bien suprême 1252a: Toute cité est une communauté et toute communauté est faite en vue d'un bien, et la communauté suprême vise un certain bien. Or, la cité est la communauté suprême, parce qu'elle contient

transgresse, il sera puni.  Le droit positif, qui représente l’ensemble des lois juridiques d’une cité, a un caractère coercitif car il peut contraindre, contraindre par exemple les individus qui n’ont pas respecté les lois. La sanction doit être alors juste, suffisamment forte pour être dissuasive, mais pas non plus trop sévère, car elle serait dans ce cas là considérée comme injuste. La sanction varie en fonction de l’époque et du lieu. Pour faire ce droit positif à caractère coercitif, il faut concevoir

" je suis juste", cela sonne toujours comme "je suis vengé." L'œuvre de Nietzsche est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne et de l'ensemble de ses valeurs morales. Dans cette citation, il est question de justice et de vengeance. La justice est elle vertueuse lorsqu'elle est axée sur l'idée de vengeance ? Tout d’abord, la vertu est une force de caractère qui tend à faire le bien et à éviter le mal. La vertu est donc une qualité humaine qui permet d’être juste. Mais qu’est-ce