La Modalisation

d’écriture employés par l’auteur.CorrigéMéthodologie du commentaire. Rappel. : les procédés les plus fréquents : Champ lexical/Figures de style : métaphore/comparaison. Hyperbole excès exagération/métonymie /Oxymore, antithèse/périphrases/Repérez la modalisation, analysez la syntaxe négative/phrases brèves : rythme etc…Je réponds à la question posée : quel est l’état d’esprit de Jeanne ? Mon hypothèse : Elle est en état de choc/elle est bouleversée. Je passe à la démonstration

attaqué (« désolé par »). L'énergie du départ, symbolisée par la périphrase assez précieuse « l'adieu suprême des mouchoirs », nous fait peut-être comprendre que le désir initial du voyage n'est déjà plus présent face aux difficultés de celui-ci. La modalisation du verbe « croit encore » nous indique que la pensée est confuse, trompeuse. 13-15. Le rythme est encore une fois très sectionné mais cette fois-ci par de plus nombreuses virgules, pour nous montrer dans la sonorité même les parcours

« obsédait » toujours issue du même extrait et qui respectent l'utilisation des temps du récit comme l'imparfait, le passé simple et le plus-que-parfait : C'est le discours indirect. Il permet une mise à distance des propos des personnages grâce à des modalisations maintenues et des formes de phrases telles que les phrases interrogatives ou exclamatives nous permettant de nous faire ressentir l'état de la personne lors de ces propos. Une autre forme de discours est également utilisée dans les extraits présentés

de coeur. Rapide et court, long et ample : rythme cardiaque sous l'émotion ! ("rythme des marées, rythmes des saisons") Tonalité lyrique : présence du "je", implication du locuteur mais peu exprimée dans la longueur du texte. Utilisation de la modalisation : expression des sentiments, des doutes et des opinions du narrateur : il est sensible à ce qu'il énonce et le fait savoir au lecteur. Il fait part de son émotion. 9 ) Champs lexicaux : la nature : "saisons", "marées", "jour", "nuit", "heures"

simplement nommé par son rang administratif (l.15 "bourgmestre"). Sa description est peu élogieuse : emploi d'adjectifs dépréciatifs. Ce personnage est présenté de façon de plus en plus laide. Conclusion : Tous ces éléments (jugements de valeurs : modalisations) indique que Valmont éprouve un véritable plaisir à faire ce récit à la Marquise. Il fait le récit de son triomphe en se mettant au centre de la scène. B) La psychologie et les plaisirs du libertin : Le libertinage dans cette lettre s'affirme

différents procédés, dont la métaphore l-38 : «hommes domptés, éteints »; qui compare les prisonniers à des animaux ce qui peut suggérer que les allemands les ont transformés en animaux. Ainsi les prisonniers perdent leur humanité. On perçoit une modalisation de la certitude par la présence du présent de vérité général l-34/35 : « il n’y a plus d’hommes forts parmi nous ; le dernier pend maintenant au-dessus de nos têtes » qui renvoie à la condamnation, les prisonniers sont faibles et désespérés. Primo

que disent les personnages, ce qu’ils font. Les dialogues, les monologues sont tous des textes conçus par un dramaturge pendant des mois et des mois. Le texte, peut être en vers, en prose, avec des figures de styles, des imageries, des signes de modalisation. L’auteur, mais aussi les acteurs on tout le pouvoir sur les répliques, comment elles sont dites et comment elles sont présentées. Aussi, il y a la situation, l’action. Tout cela est le produit de l’esprit d’un homme « quelconque ». Cette histoire

Le corbeau et le renard), de la flatterie ; ne répond pas réellement à l’injonction du roi, en détourne habilement le propos et atténue les crimes perpétrés par le lion royal. Importance de l’attitude royale et des attitudes : « trop bon roi » > modalisation par l’adverbe et l’adjectif antéposés et dc mis en relief, « délicatesse », « honneur » (termes/noms outranciers vu les faits cités). Les crimes sont annihilés par l’expression « Vos scrupules », et l’énumération qui réduit à rien les victimes

leur spécificité didactique. Cet article contient donc a priori la légitimité et le crédit qu'on peut accorder à un ouvrage de vulgarisation des connaissances. Mais sa particularité est d'être subjectif : La présence d'adjectifs traduisant une modalisation ( = prise de position du locuteur visible dans son discours par les indices de son jugement ) le montre. On relève par exemple les mots « malheureux » ; « atroce ». Voltaire, quand à lui, choisit la forme du Conte Philosophique pour dénoncer

sur divers registres, du comique au lyrique, suivant la situation que l’argumentateur a identifiée. Il doit provoquer un phénomène d’identification à ses vues. L’adhésion recherchée est plus viscérale que réfléchie. Nous assistons alors à une modalisation forte. Le locuteur s’implique fortement dans son énoncé, il amplifie ses jugements par le recours à des termes mélioratifs ou péjoratifs, à des adverbes d’intensité, à des images qui heurtent ou font rêver. Il spécule le plus souvent sur des réactions