La Modalisation

pathétique, ironique, épique -Quel est son intérêt historique, philosophique, sociologique ? -Quelles résonances éveille-t-il chez le lecteur (émotion, intérêt, passion, réflexion, interrogation…)? 2electure: étude du niveau lexical et de la modalisation -Classer les mots, examiner si on peut les regrouper en champs lexicaux -Etudier les formes, couleurs, mouvements, l'organisation de l'espace, les valeurs symboliques ou affectives de ces éléments. -Etudier l'organisation de ces éléments

Repérer 1. les moyens de modalisation mis en œuvre par l’auteur; 2. le réseau de cohésion de la notion de “faim”; 3. le plan du raisonnement de l’auteur. L'éditorial de PIERRE-ANTOINE DELHOMMAIS La fin de la faim Le Point- Publié le 10/10/2013 Malgré la gravité de la crise actuelle, le fléau de la faim n'est pas revenu. Merci la mondialisation. "Sur les grand-routes, les gens erraient comme des fourmis à la recherche de travail, de pain", écrit John Steinbeck dans Les raisins de la colère

qui indique le changement de voix (l.98 - l'épisode du voisin). La voix narrative n'est pas sûre de ce qu'elle raconte et elle brouille les choses pour le lecteur. Beaucoup de phrases sont formulées dans un mode particulier (conditionnel l.6; modalisation l.2; questions l.65). La voix narrative n’est pas sure de ce qu’elle raconte. Cette incertitude par rapport à/quant à son objet (qui est de raconter l'histoire) est renforcée par un problème de perception auditive (l.30,47,61,129,165) et de vision

"la lueur tremblotante de la mèche flottant sur l'huile dans un verre de cuisine". Il ne favorise pas la reconnaissance de Jeanne qui doit faire un effort pour voir la femme: "elle cherchait pour bien distinguer ses traits." On le voit aussi aux modalisations nombreuses qui montrent ses hésitations: "il lui semblait"; "Elle pouvait avoir quarante ou cinquante ans"; "ou bien la croyait-elle reconnaître seulement...". • Cette absence de lumière la contraint à s'approcher pour mieux voir: "Elle se leva

monde dans lequel il avait voulu pénétrer » (L.54) → Difficultés financières de sa famille lui donne envie d'en sortir, de s'élever à un rang social encore plus haut, stabilité financière enviable. - « la comparaison qu'il fut forcé → modalisation, verbe « sembler » d'établir entre ses sœurs, qui lui s'oppose au verbe « réaliser », semblaient si belles dans son apparence /réalité enfance, et les femmes de Paris, qui lui avaient réalisé le type d'une beauté rêvée » (l. 25) → Le

règles de la poésie. La perfection n'est accessible que lorsque sont réunis le génie et le respect des règles. Il recommande ensuite l'exactitude, la clarté, le respect de la langue, la fidélité aux règles de l'harmonie, l'unité de composition. Sans modalisation et par une succession d'impératifs, Boileau édicte les règles impératives qu'un auteur classique doit suivre pour faire une oeuvre de poète. Il souligne l'importance du travail et recherche la simplicité. Nicolas Boileau a une vision bien définie

font les hommes ! » phrase de forme exclamative : « Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! » ; « Petits comme nous sommes, / Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » modalisation qui marque l'incertitude du poète : «  semblent  » Autres procédés remarquables :apparition d'un nouveau thème : Dieu mise en relief en tête de phrase de l'adjectif «

personnages. Le discours indirect libre se reconnaît surtout par le contexte. Pas de verbe introducteur, pas de marque de subordination ( ni « que » ni « si » ), respect de la concordance des temps, mais maintien de la ponctuation et marques de modalisation ( présence du jugement du narrateur ) par le biais de certains termes : adverbes, adjectifs. Le discours indirect libre exprime un contenu de pensée du personnage et permet au lecteur de se sentir au plus près des pensées du personnage, créant

prêtre (destinataire fictif) * Captatio Benevolentiae= chercher à capter l’intérêt du lecteur (ex : voir paragraphe du début 117; C’est une histoire SINGULIÈRE et TERRIBLE…) * Dualité du personnage, aspect romantique, aspect fantastique, MODALISATION(Ex : je ne puis croire que…/ diabolique) * Le narrateur reconstruit le récit en fonction du dénouement qu’il a choisi (ex : il affirme dès le début que c’était lui qui a choisi d’être prêtre, doit donner un sens à cette réalité qui le fait

le commentaire. C’est presque toujours un discours délibératif où il convient de repérer les positions propres à l’auteur, celles qui l’ont conduit à entreprendre la rédaction de l’œuvre, en étant attentif aux marques de l’énonciation7 et à la modalisation, aux discours rapportés et aux diverses formes de citation (citation directe, références, allusion, commentaire…), d’identifier les concessions aux thèses adverses, d’examiner le passage au registre polémique quand la critique se fait virulente