La Modalisation

colère de Dieu, comme en témoigne le titre du chapitre : "de l’ire de Dieu". Il dira plus loin (ligne 10) : "Il est certain que le plus souvent ces créatures monstrueuses et prodigieuses procèdent du jugement de Dieu". On appréciera au passage la modalisation "il est certain que", qui fait l’économie de toute réflexion critique. Plus loin encore (lignes 20-21), il est question de "la pure volonté de Dieu". S’appuyant sur le Livre d’Esdras, autrement dit sur la Bible, Ambroise Paré se contente ici d’un

parle ? Et de quelle façon ? Quel est le narrateur ? Sont liées à ces questions les pronoms personnels qui sont des indices de cette présence narratoriale. – La valeur des principaux temps. – La focalisation : externe / interne / zéro. – La modalisation (subjectivité). _ Le registre de la langue peut être courant, familier ou vulgaire, soutenu ou littéraire, etc. – Les champs lexicaux. Les champs lexicaux s'organisent souvent autour des cinq sens, des quatre éléments et de leurs dérivés

l’expérience fictive et sensitive : Avec l’emploi d’un champ lexical sensoriel « vu de ses yeux » ou encore «  la secousse est violente  », à laquelle s’ajoute l’emploi de la modalisation « on peut », « il semble  » qui confère de l’autorité au narrateur, qui interpelle le lecteur sous couvert d’une formule modeste. · Par ailleurs, l’extrait témoigne d’un mouvement crescendo

affirmatif alors que désamour est négatif, privatif)… 4) Entrée rhétorique : figures de styles, type de raisonnement, 5) Entrée énonciative : dichotomie récit/discours, aspect des verbes, deixis (déictiques spatio-temporels, de personne), modalisation… Ces entrées aident le lecteur en lui proposant des entrées qui correspondent à divers aspects du texte. L’application de ces entrées ne doit pas être systématique. Chaque texte se prête plus ou moins à chacune d’elles. Il faut également être

d’attachement à la personne royale lignes 14-15 « On trouve tout consterné ». Il s’agit d’un évènement réel et historique, en l’évoquant Bossuet rend compte de la réalité de l’époque de manière implicite. Le discours officiel se nuance de cette modalisation, de cette irruption du quotidien des personnes concernées. De ce fait ce discours frappe les imaginations mais cela passe aussi par le travail des sentiments. 2) Une oraison funèbre émouvante. a) L’éloge de la défunte L’éloge est la première

lesquels on entend donner plus d'efficacité à un discours, oral ou écrit. INTENTIONS DU LOCUTEUR : c'est le but que se fixe le locuteur pour son argumentation ; il peut s'agir de persuader, convaincre, émouvoir, séduire, provoquer, démontrer MODALISATIONS : ce sont les marques de jugement ou de sentiment du locuteur. MODALISATEURS : ce sont les mots et les procédés grammaticaux qui traduisent l'attitude d'un locuteur par rapport à son énoncé, c'est-à-dire le doute, la certitude, la critique...)

souligné par le temps du verbe principal « je dirais ». « Si j’avais […] esclaves » ® proposition subordonnée circonstancielle à valeur d’hypothèse « voici ce que je dirais » ® Principale Montesquieu indique une distance entre lui et le texte (modalisation) Modalisateur : procédés par lesquels un locuteur traduit sa subjectivité par rapport au contenu de son énoncé Elle inscrit le texte sous le signe d’une double lecture possible et annonce le registre ironique. B. La fausse logique. On

personnage principal que dans la deuxième scène, afin de pouvoir d’abord le faire dépeindre par d’autres personnages, et de créer de ce fait un effet d’attente pour la drôlerie. Il le pousse à l’extrême, il se moque de l’excès, dont il privilégie la modalisation de Madame Jourdain. Acte 2, scènes 4 et 5 : On apprend son motif, donc il est en amour avec Dorimène, afin d’être dine. Le philosophe lui propose d’apprendre la logique, mais Monsieur Jourdain s’y oppose puisqu’il les mots sont trop rébarbatifs

« Raisonnons » fait signe d’une exhortation, ceci ajoute du sarcasme à la scène, comme c’est Argan le malade et c’est lui qui parle. Il rappelle Béralde a la raison, lui qui avait tenté auparavant de le persuader plutôt que de le convaincre. Ensuite, la modalisation « un peu » (l.62) est utilisée pour modérer la demande et l’exhortation du verbe cité. De plus, Argan ne s’en revient pas car pour lui les pensées de son frère ne sont pas normales, « Vous ne croyez donc pas à la médecine ? » (l.62), c’est une

l’expression « ds la crainte de.. » souligne la délicatesse de l’amant. - La mort est d’abord confondue avec le sommeil. L’adverbe “tranquillement” ajoute à la confusion. DG a l’illusion que Manon est en vie comme le montre le verbe introduisant une modalisation (=incertitude) : “croyait”. On voit qu’il est dans le déni. Cela se confirme juste après avec la négation restrictive : “Je ne pris d’abord ce discours que…” - L’indice des mains “froides” et “tremblantes”, le terme “effort” nous mettent sur la