La Modalisation

cherche à mettre en évidence qu’il y a des unités grammaticales dans la langue, qui ont pour charge de marquer les phénomènes de modalité (adverbe, structure syntaxique, verbes modaux, etc.). Il faut être attentif aux marquages des phénomènes de modalisation des énoncés. RACINE : Bajazetm Acte II, scène 5 : Cette scène comporte deux répliques. Une de douze vers et une de quatre vers. La tragédie est écrite comme de la poésie. La rime plate signifie que l’unité métrique est un groupe de deux vers :

 Synecdoque : " les doigts curieux " : renvoient à l'activité de l'homme Personnification : " peu franc ", " leur gosier de nacre " |  Le verre d'eau |  - Présence nette de " je " : " j'aime assez " : le poète apparaît de façon explicite. - Modalisation : " serait " = conditionnel Ceci implique le jugement du poète - Modalisateurs : " en quelque sorte ", " assez ", " parfaitement ". |  Jeu sur la forme des lettres = calligramme Ex : V, U, ER/RE,L'évocation du verrre d'eau est un prétexte pour

rapelle cette parole caché , on voit le pathétique ici car contenu des sentiments de Cyrano il est prisonnier de la situation. b) Un amour inassouvi - déjà dans la déclaration, Cyrano est conscient du drame de sa situation: système hypothétique, modalisation « un peu », « parfois », souhait empreint de lucidité - " Rire un peu le bonheur né de mon sacrifice" le don de soi qu'il fait en aidant Christian devient un sacrifice = apparition du pathétique. -le manque de tact de la réclamation de Christian

fausses questions sont simplement destinées à animer le discours et à varier le mode de l’affirmation. Il doit provoquer un phénomène d’identification à ses vues. L’adhésion recherchée est plus viscérale que réfléchie. Nous assistons alors à une modalisation forte. Le locuteur s’implique fortement dans son énoncé, il amplifie ses jugements par le recours à des termes mélioratifs ou péjoratifs, à des adverbes d’intensité, à des images qui heurtent ou font rêver. Il spécule le plus souvent sur des réactions

discrétion sur l’identité de l’amant ou tradition allégorisante ou analyse des états provoqués par la passion ? Sans doute les trois aspects …   Les deux tercets expriment l’illusion causée par l’amour : en témoignent tous les verbes et adjectifs de modalisation : « penser, croire, certaine, désiré ». Un seul thème parcourt le poème qui insiste sur les désordres et les contradictions de la passion d’amour, au sens étymologique de souffrance. Le registre lyrique est donc bien présent même si le corps participe

l’égard de la ville. Ainsi est-on fondé à parler d’un ton lyrique. Les indices en sont nombreux : présence de la première personne (implicite du fait du tutoiement), présence abondante de termes appartenant au registre des sentiments et des affects, modalisation constante et très marquée, ponctuation dense et expressive rythmant des phrases complexes et marquées par des procédés d’anaphore et de répétition. Située dans l’incipit du roman, cette description de Paris ne joue pas qu’un rôle descriptif

guerre. L'imparfait, essentiel, indique qu'il n'y a pas contradiction entre les deux, ni reniement dans l'évolution.  2. Des termes d'argumentation La tournure "voilà que" (v. 1 et 3) met en relief, à des fins de démonstration. Au vers 5, la modalisation "Et qu'il n'est pas possible que" exprime l'espoir du poète. On remarque aux vers 13 et 14 une structure de concession ("Pourtant", "Mais"), et au dernier vers un connecteur logique de cause, pour introduire le principal argument. 3. L'espoir

o Quel est son intérêt (historique, philosophique, sociologique…) ? o Quelles résonances éveille-t-il chez le lecteur (émotion, intérêt, passion, réflexion, interrogation…) ? * 2e lecture : étude du niveau lexical et de la modalisation o Classer les mots suivant des familles, examiner si on peut les regrouper en champs lexicaux ou sémantiques remarquables. o Étudier les formes, couleurs, mouvements, l’organisation de l’espace, les valeurs symboliques ou

l’affirmation. Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/argumentation.php#ixzz2TZ2ewO6c Il doit provoquer un phénomène d’identification à ses vues. L’adhésion recherchée est plus viscérale que réfléchie. Nous assistons alors à une modalisation forte. Le locuteur s’implique fortement dans son énoncé, il amplifie ses jugements par le recours à des termes mélioratifs ou péjoratifs, à des adverbes d’intensité (Adverbes de quantité (intensité), ex: Beaucoup, combien, environ, moins, fort

au passé composé « j'ai pensé que » répétée trois fois dans le passage. Cette expression montre que le narrateur réfléchit à distance et revient sur ses propres pensées. Il analyse la situation de sa conscience à postériori. Il y a aussi une modalisation des énoncés (expressions qui manifestent la subjectivité du locuteur) avec des verbes d'appréciation « je crois », « j'ai trouvé », « j'ai cru » et l'adverbe d'insistance « c'était vraiment dimanche ». On voit percer un petit peu la personnalité