La Nationalité Dip

REVISION : séance 8 – Reconnaissance (droit commun) CAS N°1 I – La situation et le DIP La situation relève-t-elle du droit international privé ? A) S’agit-il d’une relation internationale ? En l’espèce, les éléments d’extranéité sont en présence nationalité américaine de la société, distribution de la marque en europe, aux usa et canada, et enfin une clause d’election juris en faveur du canada. La situation est internationale et implique les systèmes juridiques français…. B) S’agit-il

DIFFERENTES CATEGORIES STATUTAIRES SELON LE DIP MAROCAIN Catégorie Solution marocaine Statut personnel : 1 – Dispositions communes : - Absence de nationalité Loi du pays de domicile ou loi du pays de résidence Personne avec de multiples nationalités Au juge de trancher selon la nationalité effective Si nationalité marocaine avec une autre : personne soumise à la loi marocaine Litige entre personnes de différentes nationalités 1- Application cumulative des lois en

................................................................... 6 3 I. LES DIFFICULTES COMMUNES A TOUTES LES OPERATIONS DE QUALIFICATIONS A. L’intégration de la question dans une catégorie de rattachement : le conflit de catégories En DIP, qualifier signifie s’interroger sur la nature juridique dominante d’une question de droit et l’intégrer en raison de cette dominante dans la catégorie de rattachement correspondante. Cette opération est parfois si simple qu’elle passe inaperçue (Cf

Cours de droit internationale privé Marocain La première question qui se pose est celle de la qualification pour le mariage polygamique et homosexuel: * polygamique: la jurisprudence dit que c'est un mariage au regard du DIP français. Donc dans un cas pratique on applique Cass, civ, 1re, 3 janvier 1980, Bendeddouche qui affirme que c'est un mariage dans la catégorie française * homosexuel: il n'y a pas de jurisprudence. Il faut reprendre la méthode fonctionnelle et téléologique (Batifoll

CHAPIRTRE 1 : LA COMPETENCE DES TRIBUNAUX FRANÇAIS DANS LORDRE PRIVE INTERNATIONAL. Section 1 : La compétence des tribunaux français par l’extension des règles de compétence interne. Section 2 : La compétence des tribunaux français en raison de la nationalité française d’une des parties. Paragraphe 1 : les conditions d’application des articles 14 et 15 Section 3 : Les textes communautaires. Paragraphe 1 : Le champ d’application de ce règlement A. Les Etats concernés. B. Les règles tenant

droit communautaire par les Etats membres et par les institutions. 2 .2) Le droit international privé DIP Entre particuliers, éléments d’extranéité (élément étranger). -Les principaux domaines du DIP concernent la détermination de la loi applicable à des personnes qui entretiennent des relations alors qu’elles relèvent d’Etats différents. Ex : mariage entre deux personnes de 2 nationalités différentes, Espagnol et Français si le mariage a lieu à Madrid, elle se marie uniquement à l’église, le

Le statut personnel individuel : état et capacité Double nationalité 1ère civile 17 juin 1968 Kasapyan et 1ère civile 13 octobre 1992 Camara Lorsque la nationalité française est en cause mais que l’intéressé possède une double nationalité, seule la nationalité française entre en compte devant le juge français. CJCE 2003 GARCIA AVELLO La Cour écarte le principe de primauté de la nationalité du for en admettant que les parents pouvaient choisir la loi applicable du nom de leurs enfants binationaux

et enfin les jugements prononcés à l’étranger peuvent exécuter en France aux conditions posées par les règles françaises. Le 1er exemple c’est une règle du code civil français dans sa partie nationalité, la règle du jus soli, c’est acquisition de la nationalité par le lien du sol. Le droit de la nationalité est différent dans chaque système juridique. Le 2ème exemple est une règle de la condition des étrangers. Il y a des règles dont l’objet est de définir les conditions d’entrée et de séjour sur

peuvent exercer aucune autre fonction. La Cour ne peut comprendre plus d'un ressortissant d'un même État. Toutefois, les juges de la nationalité de chacune des parties au litige conservent le droit de siéger dans l’affaire dont la cour est saisie. Le statut de la cour prévoit aussi que lorsqu’un Etat partie au différend porté à la cour ne dispose pas d’un juge de sa nationalité, il est en droit de désigner un juge ad-hoc de son choix pour statuer sur le différend. (Article 31µ2-3 du statut de la cour, article

directement sur Rome II, quant aux règles particulières nous sommes partis de la structure du code et appliqué Rome II. En outre, notre législation étant très récente, puisque le règlement Rome II date de 2007, la loi qui à entendu adapter notre code de DIP date quant à elle du 30 décembre 2009, en conséquence nous avons dû procéder par déduction. Déduction évidemment juridique consistant à partir d'une jurisprudence ancienne, appliquer une législation actuelle. De plus, étant des étudiants en droit,