La Nature Du Pouvoir Franque

ème siècle, Louis XV, héritage de Louis XIV, ordonnances de codification, contexte institutionnel : présenter le texte : l'auteur : Chancelier Henri François d'Aguesso annonce de la problématique : Comment augmenter le pouvoir royal, sans perdre sa nature ? annonce du plan : I – Pourquoi ? : Une ordonnance de codification justifiée par la tradition monarchique. A/ L'harmonisation des coutumes par un roi qui en est traditionnellement le gardien. 1 – La distinction du droit

ravitaillement, la police. Les censeurs (1) chargés de répartir les romains ds différentes classes censitaire, ds différentes classes fiscales, s'occupent également de la vie morale de la cité. Le dictateur est un administrateur qui se voit confié des pouvoirs exceptionnels en cas de crise. Lorsqu'un dictateur est mis en place tous les autres sont suspendus. L'institution majeure c'est le Sénat, il siège dans la curie romaine, c'est vraiment la plus haute autorité de l'état, finance publique, de politique

différentes manières de production nous expliquent les différents rapports entre les institutions politiques. Poser les règles et exercices est essentiel ainsi que savoir : Qui utilise ce pouvoir et comment S’il s’agit d’une seule personne (absolutisme) ou plusieurs (assemblées) Si l’exercice du pouvoir est limité ou pas par des procédures (de majorité par ex) Si la production est limitée ou pas dans son contenu (les démocraties prévoient des limites comme les Droits de l’Homme) Qui sont les

2. Les faits sociaux 3. La méthode II. Délimitation chronologique - PREMIÈRE PARTIE - L’époque franque : le pouvoir personnel et l’anarchie Chapitre I. L’établissement de la monarchie franque Section I – Les données historiques §1 – Les invasions et la constitution du royaume franc I. Les migrations germaniques du Ve siècle II. La conquête franque §2 – Les dynasties franques I. La dynastie mérovingienne (481-751) 1. De Clovis à Dagobert (481-639) 2. Après Dagobert : les rois

nouvelles sources du droit § 1. Des droits privés nationaux : A. Lois germaniques. B. Lois romaines § 2. De la “personnalité” à la territorialité des lois Section 2. Pouvoir et royauté : des royaumes barbares à l’Empire carolingien § 1. La conception du pouvoir à l’époque franque. A. Le temps des rois chevelus ou la conception du pouvoir chez les Méro. B. Théocratie et renaissance de l’Empire aux temps carol. § 2. Le gouvernement et l’administration du regnum Francorum A. Le gouvernement : Palais, maires

question suscite donc des dbats, des interrogations voire mme au XVIIIme des discussions animes qui vont se poursuivre jusqu la priode rvolutionnaire. Un historien pose alors en principe que cest dans la distinction entre lorigine gauloise et lorigine franque quil faut rechercher le fondement de la distinction de la socit entre les ordres qui constituent la population du royaume. Les nobles descendent alors selon lui des francs, peuple vainqueur, ce qui justifie les privilges de la noblesse. Les autres

c’est-à-dire que les terres retournent au Roi si Philippe meurt sans héritier. Ensuite, le roi destine ses autres enfants, nés ou pas encore, à la pratique ecclésiastique. Ce document reflète bien la société féodale issue de la tradition franque qui existe en France à cette époque, l’autorité et les terres royales étant délégués à des comtes, ducs ou encore marquis. Le domaine royal relève de la propriété privée, le roi en dispose comme il veut. La noblesse a une place très forte dans la

barbare détient les pouvoirs de chef de guerre, chef d’Etat et chef de l’Eglise entre ses mains. Ce qui est contraire au catholicisme qui prône le partage des pouvoirs entre le roi, détenteur du pouvoir temporel et le pape, détenteur du pouvoir spirituel. Par conséquent, Clovis ayant besoin du soutien du clergé gallo-romain qui représente dans l’ensemble la population gauloise, se fait baptiser. Ce baptême marque le début de l’alliance entre le clergé et la monarchie franque et accroît également

recherchant des lois et en se plaçant que du point de vue de l’objet qu’il étudie. Nous retrouvons donc notre distinction entre les sciences de la nature et l’histoire. Pour être impartial, l’historien doit se conformer au modèle des sciences de la nature telles la chimie ou la physique,… Il s’agit ici de savoir si cela est possible- le verbe « pouvoir » renvoie ici à la capacité. L’objet donc s’occupe l’historien peut-il être abordé de manière neutre, objective ? Mais les faits que constituent l’histoire

LIBERA (Alain de) et ZINK (Michel) (dir.), Dictionnaire du Moyen Age, PUF, 2002. GUYOT (Olivier), RIGAUDIERE (Albert) et SASSIER (Yves), Pouvoirs et institutions dans la France médiévale, Armand Colin, coll. U, éd. 2003 (deux volumes). HAROUEL (Jean-Louis), BARBEY (Jean), BOURNAZEL (Eric), et THIBAUDPAYEN (Jacqueline), Histoire des institutions de l'époque franque à la révolution, PUF, Droit fondamental, éd. 2006. HUMBERT (Michel), Institutions politiques et sociales de l'Antiquité, Précis Dalloz,