La Perfection Physique

plaisir. En effet, ce plaisir appartient « à l’homme » (l.2), donc à sa conscience et à son corps : c’est donc un plaisir véritable, il est possible de le ressentir, et peut être même de le voir. On pourrait le considérer comme un plaisir plutôt « physique », car il appartient à l’homme et à son corps. Descartes, par la suite de sa phrase, avoue qu’il parle d’un plaisir « à l’esprit » (l.2) et « uni au corps » (l.2), ce qui montre que ce plaisir touche pleinement l’homme, que ce soit par sa conscience

doit être une philosophie de vie, que le but est bel et bien d’opérer un changement dans notre façon d’être, d’interagir avec le monde, au-delà des mots ou des déclarations d’intention, dans l’action et la mise en œuvre au quotidien. Ce travail physique commence lors de notre Initiation par 3 coups sur la Pierre brute à l’aide du maillet et du ciseau, sur les marches de l’autel du Vénérable, sur la colonne du Septentrion. Nous ne faisons qu’un avec notre Pierre, un tout indissociable, objet et

la durée, moment, instant, temps. Sens général philosophique : milieu homogène et indéfini, dans lequel se déroulent les évènements. Il est analogue à l'espace. Mort: du latin mors, la mort. Au sens courant, c'est la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Au sens clinique, c'est la fin des fonctions du cerveau, définie par un électro-encéphalogramme plat. Au sens philosophique, c'est selon Platon le terme d'une vie terrestre et l'accès à un monde idéal, c'est selon Heidegger, la forme même

l’homme est « programmé pour apprendre sans limite ». En étudiant l’ADN de l’homme, il serait alors possible d’expliquer scientifiquement sa perfectibilité. Transition : L’homme ne devient homme qu’en apprenant. C’est cette capacité qu’il a de se perfectionner d’acquérir de la culture, qui fait de lui l’être qu’il est. La nature de l’homme semble alors être sa capacité de se distinguer de la nature. III-L’homme reste pourtant un animal, c’est la nature qui lui a conféré ses caractéristiques… En

des propositions. La perfection de ce monde se marque par la présence de nombreux superlatifs : « le plus plaisir », « fit meilleure chère », « plus d’esprit » ; il y a également des hyperboles : « toute la grâce imaginable ». Ces expressions décrivent à la fois l’exquise courtoisie qui règne dans le pays de l’Eldorado, l’équilibre idéal entre les satisfactions matérielles (nourriture) et spirituelles et le bonheur de Candide qui découvre autant de merveilles. Cette perfection est enfin d’ordre esthétique :

grec Aristote avança – dans son ouvrage Du ciel – des arguments solides expliquant sa théorie qui porte sur la sphéricité et l’immobilité de la terre , que cette dernière est le centre de l’univers et que le mouvement circulaire représentait la perfection. Développant cette idée au IIe siècle avant Jésus-Christ, Ptolémée aboutit à un système cosmologique achevé. La Terre occupait la position centrale, entourée de huit sphères qui portaient respectivement la lune, le Soleil, les étoiles et les cinq

(sa cause finale, sa fonction). L'art est définie comme une activité participant à a fin de l'homme (la réalisation de la nature humaine). L'art est réalisé en temps que fait anthropologique et ses réalisations concrètes sont autant de façon de perfectionner des oeuvres propres à la nature humaine. Nécessité éthique : neutraliser l'individualité lorsqu'elle s'oppose ou se revendique au détriment de la généralité. 2. L'Art comme production réglée : - Définition générale : l'art est désigné un

comme en étant en perpétuelle transformation, le classicisme le ressent comme figé, fixé et est hypnotisé par l’absolu et la vérité. De plus le classicisme est souvent connu pour la simplicité de sa beauté. L’idéal classique, se soucier de la perfection: Il doit y avoir une autorité de la raison, de l’ordre et des règles qui en découlent, c'est-à-dire le respect de la vraisemblance et des bienséances ; souci d’éternel et d’universel. * La vraisemblance (théâtre) : on ne joue que ce que l’on

sociale C) Principes physiques D) Utilisations diverses II- Symbolique A) Le miroir métaphorique B) Piège du regard C) Connaissance de soi D) Quête d'adéquation BIBLIOGRAPHIE • « Le miroir, essai sur une légende scientifique, révélations, science fiction » de Jurgis Baltrusaitis • « On reflection » de Jonathan Miller • « Histoire du miroir » de Sabine Melchior-Bonnet • « Le miroir, symbole des symboles » de Régor-Robert Mougeot • Cours de physique de MANAA sur la

Preuve par l’idée de Dieu, le concept de Dieu, dt on montre qu’il implique l’existence : - Saint Anselme au 11ème siècle, Descartes ds la Méditation V : si idée de Dieu = idée de suprême perfection, cette idée doit comporter l’existence sans quoi manquerait de la perfection ; c’est une plus grande perfection d’être que de n’être pas. L’existence de Dieu est contenue ds son essence de même façon que « /ds la nature du triangle il est contenu que ses 3 angles sont égaux à 2 droits/ » ( Descartes