La Perfection Physique

Cour, y retourne, accompagnée de sa fille. Ainsi, nous étudierons comment ce passage illustre-t-il que la Cour, bien que merveilleuse, est aussi dangereuse? Tout d'abord nous verrons que ce passage met en scène une princesse classique de par sa perfection, puis nous montrerons les tentations de la Cour envers l'éducation et les principes de l'époque. Le début du texte nous livre des informations sur la condition de Mademoiselle de Chartres grâce à un raisonnement de type généalogique. Nous

on trouve plusieurs adjectifs d’approximation. Cette description est donc imprécise. *La présence d’hyperbole et l’emploi de superlatif met en évidence la perfection de ce monde : le plus de plaisir, jamais on ne fit meilleure chère et jamais on n’eut plus d’esprit. b- Un lieu d’abondance : *La présence de grands nombres insiste sur la perfection de ce monde, je cite : vingt belles filles, deux filles chacune de mille musiciens, mille colonnes, une galerie de deux mille pas, la millième partie de l’île

Le corps est l’objet de multiples attentions et va devenir un repère auquel on peut se raccrocher, trouver ses marques. L’individu est alors dominé par son ego et entretient son apparence qu’il gère et sur lequel il va investir. Ce désir de perfection provient des Etats-Unis et en grande majorité des nouveaux médias, notamment de la publicité où l’on nous montre une représentation idéale, sublimée de ce qu’un corps doit ressembler. Cela va jouer sur l’inconscient du spectateur et ce dernier va

être inventées qu’à la ressemblance des choses vraies (ex du peintre qui s’inspire de choses qui existent déjà, si c’est quelque de chose de nouveau ce sera forcément faux et fictif, mais les couleurs seront toujours vraies * Différence entre physique, astronomie, médecine > qui dépendent de la considération des choses composées sont donc douteuses, tandis que arithmétique, géométrie par exemple ne traitent que de choses très simples et très générales = quelque chose de certain et hors de

L’Ile est décrite comme une perfection, toute en harmonie / en symétrie Sa beauté découle en effet de sa géométrie, l’une des sciences remises au gout du jour par les humanistes. More insiste avec le champ lexical de la géométrie : « sa plus grande largeur » qui est « située à la partie moyenne » les adverbes « graduellement et symétriquement » la forme même de l’ile qui est géométrique, puisqu’elle a la « forme d’un croissant » Toujours pour insister sur la perfection de l’ile, il la compare à

dépendaient bien sûr de l'esthétique générale de l'époque, et l'allure était en relation avec la morale publique du moment. La sculpture, art prédominant dans l'Antiquité, est celui qui, pour un contemporain, exprime le mieux le beau idéal et la perfection plastique comme les voyaient les civilisations antérieures. Quelques statuettes, surnommées des Vénus, on été sculptées au paléolithique supérieur. Elles représentent des femmes petites, que les gens de notre époque qualifieraient de grosses

description des « passions naturelles » de l’Homme qui se développent dans cette situation : la rivalité, la méfiance, la fierté/l’honneur/la gloire. L’état de nature est un état d’égalité fondamental des Hommes même s’ils n’ont pas les mêmes facultés physiques ou intellectuelles, la possibilité de ruse, traitrise ou d’alliance, annule ces inégalités de facultés. De cette égalité fondamentale, Hobbes déduit d’abord la méfiance et la rivalité, chaque homme voit ses semblables comme des ennemis potentiels

laquelle arrive Descartes au terme de l'épreuve du doute. C'est un résumé de la formule cogito urgo sum (=je pense donc je suis). La preuve par la perfection selon Descartes: -sur terre je ne fais l'expérience que de choses imparfaites. -je les juge imparfaites en les comparant à l'idée de perfection que j'ai en moi. => d'où vient cette idée de perfection? -elle est la marque de fabrique mise en moi par mon créateur lui-même parfait, unique et bon. La preuve ontologique: la preuve de l'existence

d'oeuvrer au bien de l'humanité. Commentaire de texte :  « La nature a voulu que l'homme tire entièrement de lui-même tout ce qui dépasse l'agencement mécanique de son existence animale et qu'il ne participe à aucun autre bonheur ou à aucune autre perfection que ceux qu'il s'est créé lui-même, libre de l'instinct, par sa propre raison. La nature, en effet, ne fait rien en vain et n'est pas prodigue dans l'usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins. Donner à l'homme la raison et la liberté

l'amélioration des techniques nécessaires à l'art pour se peaufiner, s'améliorer, tendre vers la conception communautaire du beau, un progrès des savoir-faire. Elle occupe par conséquent un rôle de développement dans le souci unique de se rapprocher de la perfection divine. D'autre part, leurs interprétations des écrits religieux instaurent de nombreuses valeurs sociales indispensables pour vivre en communauté ainsi que des valeurs morales. Les valeurs sociales définies comme des droits, des devoirs avec