La Relation Salaire Emploi

CHAPITRE 3 TRAVAIL, EMPLOI, CHOMAGE Le travail occupe une place majeure dans les sociétés industrielles. Il devient un élément de classification d'individus et d'identification sociale. Dans les sociétés modernes, le travail se différencie des autres activités sociales (temps travail, temps loisir) : c'est que qui conduit à évaluer le travail. De même, le fait que les sociétés modernes deviennent des sociétés salariales (90% population environs) → phénomène majeur. I. Le marché du travail

5. Relations entre diverses sources de la croissance économique : le modèle de Solow 6. La théorie de la croissance endogène Titre 2. Le progrès technique 1. Progrès technique et taux de croissance 2. les déterminants du progrès technique Partie IV: la théorie des fluctuations économiques : l'économie dans le court et moyen terme Titre 1. Les fluctuations économiques Titre 2. Arbitrage entre inflation et chômage 1. Evolution du chômage 2. Détermination des salaires

succession plus ou moins régulière de phases de l’activité économique dans le temps. PHASES DE CYCLES ÉCONOMIQUES LES FLUCTUATIONS ÉCONOMIQUES La croissance est rarement stable, les fluctuations cycliques se faisant autour du PIB potentiel (plein emploi) La position du PIB réel par rapport à sa tendance permet d'identifier les phases et les points de retournement du cycle économique. ÉVOLUTION DU PIB CANADIEN(19602009) Crise 19801981 Crise 19901992 Crise2008 Source des données : Banque mondiale

dépasse la demande : chômage involontaire. L’inefficacité d’une baisse des salaires nominaux Salariés défendent le niveau de salaire nominal Si baisse des salaires nominaux, baisse du revenu national car pas de débouchés à la production. Agents victimes de l’illusion monétaire (tolérance à l’égard d’une baisse du salaire réel via l’inflation) qui tend à disparaître qd l’éco s’installe durablement au voisinage du plein emploi. Une éco de la demande La critique de la loi de Say Loi de Say : Production

Virville ( DRH du groupe Renault ), in Le petit économiste illustré, Laurence Bagot (2002) Paris, Bréal, p.45) DOCUMENT 2 – Emplois précaires* (en milliers) et croissance du PIB en France (en %) 3000 2500 2000 2 1500 1 1000 0 500 0 -1 -2 5 4 3 Emplois précaires (échelle de gauche) Taux de croissance du PIB en volume (échelle de droite) Source : INSEE, Enquêtes emploi * Emplois précaires = Intérim + Contrats à Durée Déterminée + Contrats aidés et stages DOCUMENT 3 – Les deux supermarchés que

Un niveau élevé de diplôme favorise-t-il toujours l'accès à l'emploi ? L'évolution de la qualification des emplois. Le document 1, nous montre, en 20 ans, l'évolution de la qualification des emplois par rapport aux diplôme ( C'est à dire en fonction du niveau du diplôme. ) On constate qu'il y a eu inversement des qualifications attendus en 2008 par rapport aux années 80. Aujourd'hui, les employeurs sont plus exigent et demande un niveau minimum pour pouvoir embaucher. En 1982,

•le travail n’est pas un acte simple, il est « médié » par la technologie qui le rend plus efficace,... et donc permet quantitativement de le réduire. Ces deux raisons font que croissance et emploi ne se situent pas dans la relation simple de cause à effet. Pour bien comprendre la complexité de cette relation, il faut revenir au statut marchand de la croissance et à celui du travail. LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE L’accroissement de la production dans le système marchand est soumis à des conditions

avant qu'après la fusion des deux entreprises. Pour ne pas déséquilibrer les comptes, les soldes sont introduits dans le système à la fois en ressources et en emplois. Chaque introduction d'un solde correspond à la décomposition d'un Francis Malherbe www.comptanat.fr 1 compte en deux sous-comptes, le solde est introduit en emplois du premier sous-compte et en ressources du second sous-compte. C'est le principe des comptes en cascade. Ainsi, l'introduction de la valeur ajoutée correspond

L’objectif principal est le maintien d’un taux d’inflation faible. Les autorités monétaires considèrent que la croissance et l’emploi ne relèvent pas de leur responsabilité. Cet objectif étant désormais atteint (moins de 2 % depuis 1998), le plein-emploi est redevenu la priorité. Cependant, depuis la création de la BCE et l’instauration de l’Euro, la France, ainsi que les autres pays de l’Euroland, ne disposent plus de l’arme monétaire. En effet, en abandonnant leur monnaie nationale, les pays « in

C’est la situation à laquelle nous avons assisté récemment. • Il nous faut approfondir la relation entre production, emploi et chômage en prenant en compte la productivité du travail et les phénomènes de thésaurisation de main d’œuvre (gestion dans le temps dans un cadre incertain de l’emploi). • Analyse de la loi d’Okun 3 1. La courbe de Phillips EU 1900-1960 En 1958, Phillips a présenté une relation empirique décroissante entre taux d’inflation et taux de chômage entre 1861 et 1957 sur données