La Religion Contre La Modernité

Le commencement d’un monde Vers une modernité métissée Jean-Claude Guillebaud A NOTER : Jean-Claude GUILLEBAUD publie là un livre qui servirait à tous les décideurs politiques, économiques et culturels de la planète, en bref tout ceux qui voudront être acteur de la planète. L'auteur, en quelques mots Jean-Claude Guillebaud est à la fois journaliste, écrivain et essayiste. Il a d’abord été journaliste, grand reporter à Sud-Ouest (1965), au Monde (1972), puis pour le Nouvel Observateur.

Corrigé Le sujet est facile, la réponse à la question est claire. Non, la religion ne suffit pas. La difficulté consiste plutôt dans l’organisation de l’exposé et dans une bonne gestion du temps de travail, car on est tenté de parler de la totalité du programme, on perd facilement le fil et on risque les redites. Les documents : on n’est pas obligé des les utiliser, mais il vaut mieux le faire. Ils concernent tous la période et les sujets que nous avons traités en cours. L’intitulé du sujet

 La philosophie politique contemporaine aux prises avec la Modernité séculière Introduction L'échec de la philosophie hégélienne à déchiffrer le sens de l'histoire s'est manifestée en deux temps, celui de la Première Guerre mondiale au cours de laquelle se sont affrontées les Etats européens, celui de la chute du totalitarisme communiste qui a mis un terme à tout projet d'affranchissement de l'homme par lui-même. Hegel n'en a pas moins légué un lieu commun à la politique moderne, celui de la relation

Plan du cours Introduction : de la permanence des questions philosophiques au cœur de la modernité 1-Analytique de la modernité : cadre conceptuel 2- Quelques courants de la philosophie moderne 2.1- Le tournant galiléen ou la reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question

que les « rimes » qui sont remplacés par de simple assonances. On a dans se poème une véritable envie de rompre avec les formes traditionnelles qui est paradoxale avec la célébration de la religion. Proposition 1 : Ancien : v. 1-4 = rejet de l'ancien Nouveau : v. 5-10 = célébration de la modernité, de la religion v. 11-14 = voit dans les affiches et les journaux la nouvelle littérature v. 15-24 = description rue Proposition 2 : Rupture avec le lyrisme grâce à la mise a distance :

Catilina). Une explication d’ordre religieux : si les ennemis extérieurs demeurent les barbares, les ennemis intérieurs deviennent les péchés : l’idée de décadence s’alourdit de tout le poids d’une faute. Au XVIe siècle, l’Antiquité est valorisée contre la modernité selon Furet. Quevedo parle en 1624 d’une corruption par le luxe d’un idéal originel de frugalité et de moralité. Bruni associe la décadence des Belles-lettres à la dégradation des libertés publiques. Giovanni Botero établit une généalogie de

Islam et modernité Encadrer par : ➢ M.NHAILA Réaliser par : ➢ Hassan el bikam ➢ Mohamed EL Houri ➢ Laila Allam ➢ AZzouz belhaDj ➢ Imad el-attat PALAN Introduction I. Le tort de la modernité est-il de venir d'Occident ? 1. Un mot sur l'attitude identitaire 2. L'Occident comme agresseur : un peu d'histoire a. Les Croisades         b. La colonisation II. La modernité mise en cause dans son principe même Hassan el bikam: |

Introduction La troisième religion la plus répandue, l’Hindouisme compte près de 1 milliard d’adeptes dans le monde, dont le sous-continent indien qui reste son principal foyer de peuplement. Vieille de 4000 ans, ses traditions survivent à travers le temps et s’adaptent aux différentes époques. Un des fondements de base de l’Hindouisme est son système de caste, qui se divise en 4 niveaux : Shudra, Vaishya, Kshatriya, Brahmanes. Chaque hindou naît dans une caste et est prédestiné à celle-ci. Une

données d’une enquête menée au Maroc sur les valeurs dans le cadre du rapport du Cinquantenaire en 2005. On pourrait examiner ces changements de valeurs et ce qu’ils entraînent comme négociation à travers trois entrées à savoir la famille, la religion et la politique. Si, sociologiquement, on s’accorde à considérer que les valeurs ne sont pas immuables et changent avec les changements de la société, la particularité de l’évolution des valeurs réside dans le fait que cette évolution n’a pas le

entre religion et monde moderne. Pourquoi des individus adhèrent ils à des idées absolues et intransigeantes dans des sociétés qui fondent leur légitimité sur leur aptitude à harmoniser le pluralisme et à assurer la tolérance? Ces comportements radicaux nous apprennent ils quelque chose de la société et de la culture dans lesquelles ils se produisent? Quelle est la signification sociale de la radicalisation religieuse dans la modernité? Retour à l'état de barbarie, refus de la modernité, réponse