La Représentation Du Monstre

prothèse a la main il n'a pas de nez et porte une mâchoire en métal, ce personnage as une croix de fer sur sa veste sûrement une médaille de guerre pour rendre honneur au ancien combattant celui ci est fière et la montre Signification de cette représentation Otto dix, exagère sur l’état des blesser de la première guerre mondiale surnomme «gueule cassé», il montre de façon choquante les conséquences physique que cela a provoquer aux soldats, les hommes au tour du guéridon, sont déshumaniser, au première

cinéma en 1895 a permis de mettre des illustrations pour des mots, laissant le cerveau se faire guider au lieu de créer. Plusieurs réalisateurs ont tenté de mettre un livre à l’écran, comme ce fut le cas du roman, Je suis une légende. Est-ce que la représentation de Francis Lawrence en 2007 du roman qu’a écrit Richard Matheson présente les mêmes concepts et les mêmes réalités socio-historiques que ce dernier ? Pour commencer, ces deux œuvres présentent certaines similitudes. C’est le cas du concept de

pas de théâtres de la représentation; l'image n'a aucun effet sur le public. Ce n'est pas une culture de "l'image vraie" comme la nôtre. L'image ne fonctionne que comme point de départ de la parole. Aucune dramatisation de l'image. Cf doc. Entre le public et l'image il y a toujours une médiation sonore. Chez Euripide, c'est le chœur/ le chant. Chez Sénèque c'est la voix des acteurs. 2) La maison de Médée est un hors-scène et détermine le jeu. Ce n'est pas la représentation d'un lieu. Lieu clos

personnage collectif → image de monstre. P. 78-79 = « Monstre complet d'ailleurs ! ... spectacle ! » monstre synthétique, les différences s'incarnent dans cette hétérogénéité Image reprise P.112 « En ce temps-là... d'un jour. », le texte pesne Paris comme un monstre structures binaires → illustrer les contradictions MAIS toujours un Paris acteur P. 195 - « Néanmoins... inamovibles. » monstre avec des pattes, chimère, l'emblème, le blason de Paris (un vaisseau), représentation par l'image de ce qu'est la

Ulysse et ses compagnons croisent les îles des Cyclopes. Cette rencontre est particulièrement détaillée à travers le cas du cyclope Polyphème. Il semble que cet épisode ait particulièrement marqué les Grecs puisque c’est celui qui a donné lieu aux représentations artistiques les plus anciennes. Par ailleurs son interprétation faisait l’objet de débats. Héraclite, dans les Allégories d’Homère, y voyait un passage moral fustigeant l’emportement sauvage, tandis que Sophocle et Euripide voyaient dans l’attitude

paradoxe. On peut le lire comme un discours argumentatif débouchant sur une exhortation au lecteur. Dans ce cadre, le rôle de la poésie est non plus de refabriquer le monde (texte précédent) mais de changer les représentations habituelles et de transformer le regard des hommes sur les monstres et d’ouvrir leur coeur à la compassion par solidarité avec les formes les plus méprisées du vivant. Pistes d’exploitation pour une approche du texte En observant l’énonciation, mettre en évidence l’affirmation

Genre : théâtre, tragédie. Auteur : Jean Racine, XVIIe siècle. Objets d’étude : tragique et tragédie ; le théâtre : texte et représentation ; le classicisme ; l’argumentation. Registres : tragique et pathétique ; accents lyriques. Structure : cinq actes. Forme : dialogue en alexandrins. Sujet : Britannicus peut s’analyser comme une tragédie du pouvoir. Néron, le jeune empereur de Rome, doit son pouvoir à Agrippine, sa mère, qui a fait assassiner son époux, l’empereur Claudius, après l’avoir

 SQ 4° : Portraits de monstres et de créatures. Objectifs  Approfondir l’étude du discours descriptif : lire, écrire et structurer des portraits.  Etudier la place du narrateur dans la description.  Mener un travail de recherche. Séance 1 (vocabulaire) : Définir ce qu’est un portrait. Oral puis synthèse écrite : Qu’est-ce qu’un portrait ? Un portrait (image, texte, sculpture) représente une personne, réelle ou fictive : on dit qu’on brosse son portrait car le portrait était d’abord

c’était l’endroit consacré aux innocents condamnés à mort. Là des gens sans tête marchaient d’autres sans jambe rampaient. Les créatures qui résidaient là n’avaient pas même une apparence humaine, parfois seul des troncs gisaient au sol et certain monstres ayant une faim insurmontable les mangeaient. Il poursuivi son périple est arriva à l’endroit dédié aux suicidés. L’endroit ressemblait très fortement au précédent. Il arriva peu à peu au champ des pleurs. Le champ des pleurs était différent de tous

compatibilité des différences non des semblables. Or cette ‘compatibilité’ même au niveau de la représentation biologique de la procréation est toute relative. Il est intéressant de voir qu’historiquement les mécanismes de la procréation nous sont restés obscurs jusqu’à la fin du XIXe, l’importance accordée au rôle du mâle et de la femelle n’est apparu donc que très récemment, si l’on se confronte aux représentations dans l’histoire de la biologie on s’aperçoit que le concours des différences n’est jamais