La Rochefoucauld La Conversation

François de La Rochefoucauld ( 1613-1680) qui a cree les Maximes . Henriette-Julie de Castelnau de Murat ( 1670 – 1716) est une romanciere ou une femmes de letrres francaise de la perdiode classqiue . SS Henriette-Julie de Castelnau de Murat. Les Caracteres est une œuvre écrite par  Jean de la Bruyère et dont la première édition paraît en 1688. Cet œuvre est ecrite sous formes de maximes, de reflexions et de portaits . Cette œuvre compte 16 chapitres tels que : « De la conversation », « Du cœur »

ébauche du texte définitif. Comme il est aussi l’imprimeur de la première édition des Maximes du Duc de La Rochefoucauld, l'attribution de l'œuvre fait aussitôt polémique. Ainsi, bien avant la parution, Madame de Scudéry persifle que Monsieur de La Rochefoucauld et Madame de Lafayette préparent une histoire ensemble. Pour preuve de ses dires, il est bien connu que La Rochefoucauld comme Madame de La Fayette fréquentent à l’hôtel de Nevers le salon des Plessis Guénégaud. C'est le centre

soumise à l'étiquette Versailles et au système des courtisans. De même que Molière dans ses comédies les moralistes français dans leurs œuvres se font les observateurs de leur temps et raillent leur contemporain. Les recueils de maximes de La Rochefoucauld, de fables de La Fontaine, des Caractères de La Bruyère ou encore des Satires de Boileau dressent un portrait inédit tour à tour sérieux et léger de la nature humaine. L’œuvre du moraliste au XVIIe siècle n'a t-elle qu'une visée instructive

fille, une fois libérée des carcans des règles, que Mme de Sévigné peut déployer tout le talent de « [sa] plume qui va comme une étourdie ». Mais si le but premier de la lettre était de communiquer avec un absent, elle remplaçait bien souvent la conversation et devenait un moyen d’apprécier des qualités littéraires. La volonté de Mme de Sévigné de faire partager ses lettres à un cercle mondain, même restreint, demeure cependant fortement ambivalente. L'expérience de publicité de ses écrits est

→ Madame de Sully c) L'hôtel de Rambouillet, la référence des salons mondains : - Phare aristocratique et littéraire qui vit passer entre 1620 et 1655 des hôtes de marque : Richelieu, la princesse de Conti, le chevalier Marin, le duc La Rochefoucauld, Corneille, Voiture, le futur Grand Condé, Madame de Sévigné et Madame de La Fayette. - Un salon tenu par la marquise de Rambouillet : sa santé fragile ne lui permettant pas de fréquenter la Cour, elle fit de son hôtel un pôle d'attraction

En 1660, Mme de La Fayette noue une relation d’amitié avec La Rochefoucauld, qui durera jusqu’à la mort de ce dernier. Elle rencontrera Racine, Corneille, Boileau, ainsi que d’autres auteurs grâce à lui.       Elle publie en 1662 la Princesse de Montpensier, puis Zaïde, le dernier est un livre en deux tomes qui a connu un très grand succès. Paraît en 1678 la Princesse de Clèves, qui connaît aussi un immense succès. La Rochefoucauld meurt deux ans après la parution de la Princesse de Clèves, en

développement considérable : la grande majorité des 1500 lettres qu'elle écrit entre 1671 et 1696 sont envoyées à sa fille, les autres sont envoyées à son fils Charles, à son cousin Bussy-Rabutin, à ses amis Madame de Pomponne, le cardinal de Retz, La Rochefoucauld, le philosophe Corbinelli, qui fut son lecteur, Madame de La Fayette, Madame Scarron... Mme de Sévigné et sa fille ont peine à s'entendre; la fille, froide et soucieuse du monde, est gênée par la tendresse expansive de la mère, qui se dépite

cherchant à obtenir le maximum de revenus directs de leurs écrits. Les écrivains au sens étroit sont d’abord des nobles qui attirent à eux les petits et moyens bourgeois qui cherchent à s’élever par les lettres ; des aristocrates nantis type La Rochefoucauld ; des bourgeois et nobles moyens type Chapelain ; des petits bourgeois et petits nobles, bien instruits, type Corneille ; des héritiers de vieille noblesse en porte-à-faux, marqués par le ressentiment, type Tristan. 3-A quelles conditions les

le cercle janséniste de l'Hôtel de Nevers et rencontre vers 1660 le philosophe Arnauld et François de La Rochefoucauld, avec qui elle se lie d'amitié. Grâce à son amitié avec Henriette d'Angleterre qui épouse le frère du roi, elle pénètre l'intimité de la cour. En 1662, elle publie anonymement 'La Princesse de Montpensier' et en 1670, 'Zaïde' qu'elle écrit en collaboration avec La Rochefoucauld et le poète Segrais. En 1678 parait son roman le plus célèbre qui passe pour être une anticipation du roman

l’abbé Cotin ou encore Madeleine de Scudéry ont transcrit dans des ouvrages-manuels ce souci de plaire, instruire et divertir tout à la fois en rejetant « tout ce qui tient de l’étude car cela est presque toujours mal reçu » (Anthologie, L’art de la conversation, éd. de Jacqueline Hellegouarc’h, Paris, Dunod, coll. « Classiques Garnier », 1997, p. 65). Toutes ces notions esthétiques nous les retrouvons volontiers dans les lettres de Madame de Sévigné, qui a le souci de rappeler fièrement ses origines nobiliaires