La Rétroactivité De La Jurisprudence Pénale

D’autres st simplement plus commodes et connaîtront une contrainte plus limitée ce qui n’affaiblit en rien la force obligatoire de la règle. B)LA SANCT° ETATIQUE DE LA REGLE DE DRT Il ne faut pas confondre le droit pénal d’une part et le drt civil de l’autre. Il existe en drt pénal une hiérarchie des peines allant de la contravent° au délit crime. Il y aura tjr une peine pr sanctionner. Par cntre en drt civil dire qu’une règle de drt va ê sanctionnée ne signifie pas q l’autorité publique prononcera

ne peut valoir que pour l’avenir. Cependant, ce principe est quand même atténué, il ne s’agit plus d’un impératif absolu. Il y a donc des exceptions à ce principe de non rétroactivité. B) Portée du principe : Cette règle, n’a pas une valeur constitutionnelle, il est seulement prévu dans le code civil et dans le code pénal. Comme il garantit des libertés publiques, il n’y a que le législateur qui peut déroger à cette règle. C) Exceptions au principe : Certaines lois ont un effet rétroactif

vigueur par la date qu'elle fixe ou à défaut le lendemain de sa publication au journal officiel. Le principe de non-rétroactivité apparu avec l'influence de Beccaria (Des Délits et des peines, 1764), il a énoncé également d'autres principes tel que la nécessité de la peine, l'égalité des citoyens devant la justice pénale, le principe de légalité, de non-rétroactivité de la loi pénale, de la proportionnalité des peines aux délits. Mais c'est durant la Révolution Française que furent déclarés universels

Droit pénal I Ouvrage de référence : Philippe Comte et Patrick Maistre du Chambon, Droit Pénal général, Bernard Boullok droit pénal général Dalloz et Jean Travel Droit pénal général. INTRODUCTION • Définition et fondement du Droit pénal Le droit pénal a pour objet de réprimer au moyen d’une peine les actions et les omissions qui peuvent causer un trouble à l’ordre public. Selon la définition très classique, il recherche le maintien de l’ordre extérieur et l’organisation pacifique des

القوانين المكملة أو المفسرة+les lois supplétives ou interprétatives: *les lois impératives ou l'ordre public:elle s'impose d'une façon absolue à tous les particulières comme les tribunaux ne peuvent écarter, c'est le cas de la plupart des droit pénal, c'est une règle impérative que les particulières ne peuvent se disposent d'applique. En droit civil les lois impératives sont plus rares. On peut relever quelque exemples comme les conditions du mariage, si une dote n'a pas était prévue dans le contrat

INTRODUCTION I. Définition et fondement du droit pénal Il a pour objet au moyen d’une peine, les actions et les omissions qui peuvent cause un trouve à l’ordre publique ; Selon une définition très classique, il recherche le maintien de l’ordre extérieur et l’organisation pacifique du rapport entre les hommes. C’est la société que le droit pénal cherche à protéger des comportements antisociaux ou inadmissible dans une société donnée. Ainsi le droit pénal sanctionne le meurtre, le vol, le viol… autant

fautif.Lorsque l’état punit une personne on parle de sanction étatique, elle peut conduire à l’exécution du droit qui a été enfreint ou à une réparation, être en nature (TIG, remise en état,…) ou d’équilibre monétaire. En matière pénale il peut y avoir une sanction pénale et civile, la sanction va porter sur le patrimoine ou sur la personne auteur de l’infraction.Mais le plus important dans la sanction, plus encore que la sanction, est la menace, la force comminatoire. On respecte la règle de droit

C’est sous cette forme que l’on exprime généralement le principe de la légalité des délits et des peines. L’adage doit, toutefois être précisé. D’abord l’exigence d’un texte ne concerne pas que les crimes (catégorie la plus grave d’infractions pénales) mais toutes les infractions : crimes, délits et contraventions. En effet, le principe étant la liberté (art 1 et 5 DDH), il faut nécessairement un texte pour la limiter. C’est le principe de la légalité des incriminations. Ensuite l’exigence d’un

de sources ( voire 3 ) : il y a la jurisprudence d'un coté, la doctrine ( les auteurs qui écrivent sur le droit et qui l'enseignent ) et éventuellement la pratique. La jurisprudence La jurisprudence vient du latin « Juris Prudencia » qui signifie la science du droit. Mais ce n'est pas aujourd'hui l'acception ( le sens ) qui est retenu. Aujourd'hui, on retient 2 sens principaux : un sens large et un sens restreint. Dans un sens large, la jurisprudence correspond à l'ensemble des décisions

arrêté notamment parce qu’il méconnaît le PGD : égalité entre l'usager du service public et non-rétroactivité des actes administratifs. Procédure : - décision du conseil d'État saisi en premier et dernier ressort - contentieux de l'annulation Problèmes juridiques : l'administration peut-elle violer le principe de l'égalité des usagers ? Les actes administratifs ont-ils une valeur de rétroactivité ? (Effets sur le passé ou sur l'avenir) Portée : cet arrêt pose le principe en vertu duquel