La Science Détient Elle Le Monopole De La Vérité

millénaires les tentatives pour définir le droit se sont multipliées. Toutes ces tentatives se sont révélées décevantes car souvent inexactes, réductrices voir trop partielles. Aujourd’hui le droit est considéré essentiellement comme une science, on parle de « sciences juridiques ». Le droit se réclame de l’expérience scientifique. Certains considèrent le droit comme l’expression de la volonté du législateur ou de celle du juge. Pour ces auteurs le droit se cofonderait avec ses sources. Pour d’autres

de concurrence suffisante, et ne sont pas du tout d’accord entre eux. Il faut cependant, au moins trois conditions : * Un nombre suffisant d’opérateurs sur le marché en cause. Qu’entend-t-on par « suffisant » ? Cela sous-entend l’absence de monopole * Une élasticité au niveau de la demande. C'est-à-dire la liberté pour les clients de choisir leur fournisseur. * Une élasticité au niveau de l’offre. C'est-à-dire la possibilité que de nouveaux offreurs interviennent rapidement et à faible

va nous intéresser, c'est la qualification d'une fonction alors régalienne, le service postal. La Poste deviennent un moyen de communiquer (premier moyen de communication interpersonnel). Dès le règne de Louis XI, c'est une fonction régalienne, un monopole de la puissance publique (et il sera démantelé en 2009). Dès le XVIIIe et la Révolution, la communication va désigner de manière prévalante les diverses modalités de transmission et de réception (transmission de signes de différentes natures), mettant

l’abstention, déclin des mobilisation collectives, affaiblissement de l’autorité, triomphe du calcul intéressé, hyper concurrence généralisée, culte du moi. En un mot, on l’assimile à un « chacun pour soi », fatal à la cohésion sociale. Les sciences sociales invitent pourtant à ne pas réduire l’individualisme à un simple égoïsme. D’un point de vue anthropologique, l’individualisme n’est pas un travers psychologique : c’est la valeur caractéristique des sociétés qui reconnaissent à leurs membres

vision manichéenne entre un droit du collectif et un droit du particulier n’est pas bonne car toutes les règles qu’elle quelle soient ont pour vocation d’organiser la société et de protéger le bien commun. Jean Luc Aubert: « Le droit public n’a pas le monopole du service de l’intérêt général ». 
 Si les règles du droit public comme du droit privé poursuivent la même fin sociale car elles traduisent un projet politique à une époque donnée, elle se distinguent sous l’angle de la finalité pour cette raison

c’est-à-dire les pouvoirs qu’avait le régent, le monarque sous l’Ancien Régime, à savoir : la police, qui assure la sécurité publique, la justice qui tranche les différends, la défense nationale qui assure l’intégrité du territoire, l’émission de monnaie, monopole de l’Etat, de la Banque centrale de l’Etat. Tous ces pouvoirs étant à la disposition de l’Etat comme des instruments au service de certaines fins politiques. Que l'Etat réponde à deux définitions dont l'une isole un élément de l'autre doit nous

y avoir de confiance et de croissance économique sans société pacifiée. I. APPROCHE TERMINOLOGIQUE 1) La notion d’institutions Pour définir la notion d’institutions qui appartient aux champs disciplinaires du droit et de la science politique par extension, il faut évoquer un célèbre juriste français du nom de Maurice HAUVIOU. C’est à lui qu’on doit l’élaboration d’une théorie d’élaboration. HAUVIOU s’est intéressé à la philosophie, la sociologie, l’économie, l’histoire et la

historiens, Hachette supérieur, Carré Histoire, 1995. Caire-Jabinet, Cl., L’histoire en France du Moyen Âge à nos jours. Introduction à l’historiographie, Champs-université Flammarion, 2002. Carbonnel, Ch.-O. et J. Walch, (sous la dir.), Les sciences historiques de l’Antiquité à nos jours, Larousse, col. Textes essentiels, Paris, 1994. 2 Guenée, B., Histoire et culture historique dans l’Occident médiéval, Aubier, collection historique, Paris, 1980. Guenée, B., « Histoires, annales, chroniques

produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole,professeur de sociologie au Cégep de ChicoutimiCourriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca[->0] Site web: http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales"Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/Une collection développée en collaboration avec la BibliothèquePaul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à ChicoutimiSite web: http://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm|

d'information, de propagande, spams) Les grandes périodes historiques des médias français 30 Mai 1631 : Création de « La Gazette », premier média papier français Le médecin du roi Théophraste Renaudot obtient du ministre Richelieu le monopole de la presse. Il lance la feuille d'information hebdomadaire La Gazette qui sera l'organe officieux du pouvoir, Louis XIII y écrira régulièrement. 1er Janvier 1777 : Parution du premier quotidien en France Imprimé sur quatre pages, « le Journal