La Seigneurie Territorial

L’esclavage proscrit par l’Église engendre l’urgence de trouver d’autres sources d’énergie. Moulin à vent et à eau, et plus tard à chevaux, remplacent donc graduellement les moulins à bras, anciennement activés par les esclaves obtenues lors de guerres territoriales. La popularisation de ces énergies alternatives se réalise principalement entre le VIIIe et le IXe siècle dans les grands domaines, puis un essor significatif a lieu entre le Xe et le XIe siècle. Dans ces années, on compte environ un moulin pour

centralisation du pouvoir sur un territoire déterminé à destination d’une population sédentarisée, selon un schéma autrement plus sophistiqué que toutes les formes de sociétés politiques qui l’ont précédé telles que les cités grecque et romaine, ou la seigneurie de l’âge féodal avec les monarchomaques. Certains considèrent même que l’Etat est un concept qui correspond à une réalité bien différente de ces dernières. Il serait le symbole de ce qu’on appelle depuis le 16eme siècle, « la modernité » : unité

mettre en relation entre elles Il faut expliquer ce que l’on voit par des connaissances précises tirées du cours ou du manuel On peut compléter la carte sur certains points en rapport avec le sujet représenté.   REPONSES : 1. L’évolution territoriale de la chrétienté entre le XI et le XIIIe siècle correspond à une expansion assez importante : vers le Nord en direction de la Scandinavie sur les peuples païens (polythéistes), vers le sud en direction de l’Espagne sur les musulmans (Reconquista)

la croisade. Pas plus que la pression démographique en Europe, d’ailleurs relative à la fin du XIe siècle : l’idée d’une Chrétienté déversant sur l’Orient son trop-plein de chevaliers sans terre et de paysans à présent fixés dans le cadre de la seigneurie est à nuancer. Certes, la chevalerie est une classe prolifique qui fournira les armés de la croisade et la " croisade populaire " a concerné quelques dizaines de milliers de personnes. Mais, dans l’ensemble, les croisades ne fixeront que quelques

la société franque. Charles le Chauve, dans le capitulaire de Mersen en 847, exige que chaque homme libre s’engage auprès d’un puissant (chaîne de haut en bas). Avec l’échec de l’unité politique survient l’échec de l’unité territoriale. §2 : Le morcellement territorial A.Les invasions scandinaves et sarrasines Les scandinaves vont descendre vers le Sud. La motivation de ces invasions serait le désir de piller cet Empire riche et plutôt désarmé. Les vikings descendent du Nord ils ont une

Paragraphe 1 : Les réformes de Servius Tulius Son nom semble indiquer qu’au départ ce n’est pas un homme libre, il serait le gendre du premier roi Tarquin l’Ancien et c’est à lui qu’on doit la création de tribu à caractère territorial. Les tribus à caractère territorial remplacent le système des trois tribus anciennes qui étaient de caractère ethnique, à savoir les latins, les sabins et les étrusques, chacune divisée en 30 curies. Il va répartir les citoyens selon leur lieu de domicile. Les citoyens

Si le vassal ne se soumet pas à la décision du conseil, le seigneur aidé par ses autres vassaux reprend ses terres (soit pendant un certain temps, soit définitivement si la faute était vraiment grave.) 3) L’exercice du pouvoir : les seigneuries. Les seigneuries banales : Le banc est la proclamation solennel qui dit que le seigneur peut donner des ordres. Le seigneur de banc rend la justice dans les cas les plus graves, il est le seul à pouvoir condamner à mort. Le seigneur de banc lève un impôt

Donc se créer une hiérarchie des terres. L’absence d’État. Pas de pouvoir public unifié. Ses prérogatives sont fait par les seigneurs et les vassaux sur leur terre. Section I : Les cadres fondamentaux de la société (XIe – XIIe siècles) § I : Les seigneuries Les pouvoirs sont exercés par les seigneurs. A. Le morcellement de la puissance publique Au milieu du IX Siècles, on a divisé l’empire carolingien en royaume. Il est impossible à un seul homme de dirigé un territoire trop vaste. Pour dirigé un empire

par l’intérêt et le soin porté au patrimoine communal Rodemack est une très vieille commune au patrimoine très riche qui dénote une identité forte : Historique rapide de la commune : Fondé au IXème siècle, 1er château féodal au XIIème siècle, la seigneurie s’est ensuite étendu jusqu’aux frontières de Metz. Puis entre le XVIème et le XVIIème siècle, les Français ont pris puis rendu la ville à l’Espagne à 7 reprises pour finalement l’occuper avant qu’elle ne soit reconnue français un siècle plus tard

seconde moitié du XXème siècle, influencée par les travaux de Georges Duby (concepts de « mutation féodale de l’an mil », de seigneurie « banale » etc), D. Iogna-Prat fait partie de ces historiens qui explorent les rouages d’un « système ecclésial » dans lequel les pratiques sociales sont étroitement articulées aux représentations. - La paroisse : genèse d'une forme territoriale / dossier coordonné par Dominique Iogna-Prat et Elisabeth Zadora-Rio, 2006, PU de Vincennes - Ordonner et exclure : Cluny