La Stratégie Lidl

j’ai travaillé sur le parcours de Coca Cola depuis sa conception jusqu'à nos jours. Il est en effet essentiel de se rendre compte des étapes traversées par cette entreprise depuis sa création jusqu’à nos jours, afin de comprendre ses méthodes, ses stratégies et bien entendu l’impact qu’elle produit sur le consommateur. J’ai repris différents points concernant la gamme de produit, la publicité et la concurrence du leader mondial sur le marché des soft drinks. Pour une raison de clarté, j’ai mis en annexe

types de magasins : HYPER U, SUPER U, MARCHE U. Ces magasins offrent à la fois le choix et les prix d’un grand distributeur, le service et l’accueil d’un commerçant traditionnel. En 2010, Système U place plus que jamais le magasin au cœur de sa stratégie de communication. Concrètement, des questions sont posées dans les médias et les réponses se trouvent en magasin. Pour traduire ce nouveau discourt ambitieux et différents, les changements sont nombreux, sur le fond comme sur la forme. Mais l’objectif

de ces yaourts est de 3 canaux. Choix du mode de sollicitation des consommateurs : Stratégie "Push" ou stratégie "Pull" * La stratégie "Push" a pour objectif de pousser le produit efficacement dans le canal. Pour cela, le fabricant stimule son réseau de distribution en offrant de bonnes conditions d'achat (remises, ristournes...) et/ou une assistance technique (merchandising par exemple) * la stratégie "Pull" vise à tirer la vente du produit par la demande du consommateur. Face à cette

concurrents, ce que dément le fabricant. Mais 2008 à été difficile pour tous les lessiviers, dont les positions ont été effritées par les MDD, et surtout par le hard-discount ; Sur ce point, P&G dispose d'un amortissement, Ariel ayant fait son entrée chez Lidl depuis quelques mois. b) Unilever Unilever continue de soutenir sa grande innovation, le triple concentré. Après son lancement en 2007, la gamme « Petit & Puissant » compte désormais 9 références (Skip, Omo et Persil). Pour faire entrer dans les

La politique de communication principalement axée à travers la télévision, l’échantillonnage, les spots publicitaires afin de toucher un maximum de consommateurs. Politique de prix : concernant la politique de prix, on a décidé d’adopter une stratégie d’alignement qui permettrait de s’aligner par rapport à ceux des concurrents. Poids des MDD  Les hypermarchés progressent de 4,9% à 5,6 % en 2010. La grande distribution a su marquer la contre-offensive contre le hard discount qui perd en volume

Parmi-eux on peut notamment relever les bijoux, le carburant, la parapharmacie, la librairie ...Etc. L’entreprise c’est également lancé depuis 1992 dans l’européanisation de son mouvement. E.LECLERC se différencie de ses concurrents par sa stratégie de fonctionnement. Contrairement aux grands réseaux de distribution, E.LECLERC ne fonctionne pas par de grandes ouvertures de succursales à l’étranger et n’est pas formé d’un siège général. E.LECLERC est le seul groupe européen qui à pour vocation

marchés-cibles : Ici le choix des critères de segmentation va jouer un rôle important. c) Phase du ciblage, attractivité/compétitivité : Interviennent les stratégies de développement, et la sélection de l’un ou l’autre segment attractif. d) Positionnement : On identifie la différenciation.+ les stratégies de positionnement la question est de savoir comment se différencier des autres e) Marketing mix : Avec les 4 P : Produit, Prix, Pomotion (Communication),

d’anticipation sur le marché. Pourtant, une entreprise de grande consommation utilise peu le Marketing Direct et gagne des parts de marché depuis plusieurs années : il s’agit de BRICODEPOT. Leurs ventes ont progressé de 7,1% au 1er semestre 2011. Une stratégie de prospection uniquement, pas de carte de fidélité, mais un positionnement clair et reconnu : le low-cost du bricolage. Alain SOUILLARD, P.DG explique cette forte progression ainsi* : « D’abord, l’offre. Des gammes plus courtes, plus lisibles

commerciale (90 boutiques) génèrent du trafic. Indirecte Les concurrents indirects sont les enseignes de hard discount présents sur le secteur qui connaissent une forte progression de leurs parts de marché dans l'alimentaire (+1% entre 2007 et 2008): • LIDL • LEADER PRICE Leur avantage concurrentiel réside avant tout dans leurs prix très compétitifs. • Les artisans traiteurs et les marchés qui proposent des produits de qualité issus des filières locales. Ils attirent une clientèle soucieuse de son

des niveaux les plus faibles d’Europe. La loi a également freiné les créations de surfaces classiques, cassant un moteur de modernisation et donc de croissance économique. Malgré une clarification du droit par le Conseil d’État et de multiples stratégies de contournement de la loi qui ont suscité, depuis cinq ans, une reprise modérée de l’augmentation des surfaces de vente, les groupes français en place ont conforté leurs positions monopolistiques. Ces dernières, conjuguées à la loi Galland (assouplie