La Sémiotique Littéraire

méritent d’être lu pour eux-mêmes en raison de leurs qualités esthétiques. Les Contes sont aussi un livre qu'on connaît ou qu'on croit connaître depuis la petite enfance 4. Leur étude ne peut se restreindre aux outils habituels de la critique littéraire : par leur forme comme par leur sujet, ils entrent dans le champ des sciences humaines. Ce mémoire consiste à étudier les différents personnages féminins afin de chercher des réponses quant à la représentation de la femme dans les contes

onomastique. Le seuil de l’animalité : Extrait de La Métamorphose de Kafka 1915. Gregor est privé de langage se renferme sur lui-même et fini par mourir. Plan du chapitre : A- Dimensions de la parole B- Parole et langage C- L’espace littéraire : l’écrit, la parole A- Dimensions de la parole 1) La parole constitue une spécificité humaine La parole est l’expression de la pensée. Parole pensée. Dans les régimes totalitaires, on assiste souvent à un muselage de la parole dans le

chiffre d’affaires à la publicité. Le mot “publicité” Ce mot est attesté pour la première fois en 1689 : elle indiquait l’action de porter à la connaissance du public. En 1694 le mot avait le sens de notoriété publique devenu archaïque ou littéraire, mais à partir du 1829 avec le développement de la réclame par voie de presse, d’affiches et prospectus, il prend son acception technique moderne de fait d’exercer une action sur le public à des fins commerciales. Le texte image et l’image

du texte par le langage théâtral 3 - Le renouvellement de la fonction du théâtre par le public, ce qu'il met sous l'expression "théâtre de la cruauté". yII. La critique d'Artaud A) La critique du théâtre-texte (Voir les rappels d'histoire littéraire sur les théories d'Antonin Artaud) Artaud met en valeur les limites du langage qui est trop abstrait (Cf. les théories symbolistes) et qui a perdu de sa charge émotive. Le langage des textes modernes et classiques s'est mis selon lui au service

particulier lorsqu'il parle de Balzac, est celle du bâtisseur, du maçon, de l'architecte. Les années soixante sont pour lui une période d'intense activité intellectuelle. Il lit beaucoup, comme chef de la publicité chez Hachette ou comme critique littéraire. Il a une connaissance approfondie de la littérature de son époque. Il sait ce qu'il ne veut pas. Il dit hautement où vont ses préférences. Les grands textes théoriques des années 1878-1880 sont, non le résultat d'une lecture hâtive, faite alors

Le schéma de la communication de Roman Jakobson Roman Jakobson (1896-1982) Né à Moscou, ce maître majeur de la linguistique, enseignant à Harvard et au MIT, a également eu une influence dans les domaines de la sémiotique, de l’anthropologie, de la psychanalyse, des études littéraires. Son schéma des fonctions du langage s’articule sur la théorie mathématique de l’information, notamment sur la linéarité temporelle du processus codification-décodification. Les fonctions du langage Fonction

d’une parole, non pas sans destinataire, mais en relation différée avec lui. Si Alice au pays des merveilles construit une certaine vision d’un monde britannique définissable en synchronie, si la narration donne un écho transfiguré dans l’univers littéraire d’un certain état social, la critique positiviste ne se pose néanmoins pas comme la seule piste de lecture possible. Et même, on peut peut-être dire que cet échange reste un composant anecdotique du récit, au même titre que la biographie de l’auteur

Envoyé par Myriam. La critique littéraire (Jérôme Roger, collection topos, Dunod) Sommaire Avant propos Chapitre I : Le legs du passé 1) les enjeux de la notion de « critique » * Aristote et les critères de l’œuvre littéraire * la philologie hellénistique 2) l’âge classique : tension et ruptures * apogée et contradictions d’une critique prescriptive * de l’esthétique à la critique créatrice Chapitre II : des certitudes aux mutations 1) la critique, une science en

héros. Cette constatation n'est plus une surprise et a mis fin depuis fort longtemps à toutes les attentes possibles du lecteur.         Effectivement, le personnage principal, en tant que héros trouve ses origines depuis la création des œuvres littéraires : aussi, dès l'antiquité, l'auteur, sous forme de pièce de théâtre, donnait à son personnage principal une constance héroïque qui le transformait en protecteur du lieu et en serviteur dévoué des dieux.         Cette tradition s'est perpétuée jusqu'au

comme l’allié incontournable de l’auteur et dont le rôle est de rappeler à celui-ci que son intention est faillible et qu’elle porte atteinte aux limites de l’interprétation. Quelle belle ouverture alors dans les instructions exhibées par le texte littéraire lequel, d’ailleurs, n’exclue pas l’auteur mais annulerait son autorité au profil de celle du texte.