La Theatralisation De La Mort

nuit et du jour : la nuit prend la place du jour aussi certainement que la mort prend la place de la vie. Tragique = mène à la mort : « mortel », « meurs », « oh ! La dernière auberge » Le temps a envahit ce poème et rappelle à l’homme son destin tragique : le temps passe et il mourra. Mais le temps apparait d’autant plus tragique qu’il est présenté comme une réelle menace. II/ Le Temps, une force menaçante 1. La mort, présentée comme une fin horrible Adjectifs négatifs : « sinistre, effrayant

la « movida madrilena ». « La Movida (ou Movida madrileña) est le nom donné au mouvement culturel créatif qui a touché l'ensemble de l'Espagne pendant la fin de la période de la transition démocratique espagnole, au début des années 1980, après la mort du général Franco. Portée par le désir de renouveau de la jeunesse espagnole et l'émergence de nouveaux acteurs sur le plan artistique et culturel, elle a contribué à la modernisation et à l'intégration de la société espagnole dans l'Europe démocratique

personnage désigné entièrement par sa beauté - hyperboles - termes mélioratifs → ELOGE - réaction de spectateurs : effet de théâtralisation de l’auteur qui met en valeur la perso B. Une éducation à la vertu : a] Donnée à Mlle de Chartres - très bonne image : énumération → ELOGE → modèle pour sa fille, comme si la vertu était héréditaire - elle a quitté la cour après la mort de son mari → + d’importance dans le bien de sa fille b] Une éducation complète - elle cultive son esprit et sa beauté → VERTU :

l’attitude de l’avocat général qui « bondissait sur son siège ». Il tend donc à donner raison à Julien. L’avocat et le juré sont les mêmes. Ironie du narrateur se fait sentir : « qui aspirait […] l’aristocratie. ». Le cadre est renforcé par la théâtralisation du passage. Il est minuit, c'est-à-dire l’heure du crime. C’est donc un passage solennel à une heure symbolique. Auparavant, Julien s’est demandé s’il parviendrait à fait pleurer Mme de Derville : comme un acteur, il se demande s’il va émouvoir

deviner le trône, uniquement indentifiable à l'aide des fleurs de lys qui le parsèment. La vie du roi fut une perpétuelle représentation, de son lever à sept heures précises à son coucher vers vingt-trois heures... Arme de gouvernement, cette théâtralisation de la vie à Versailles contribua à la domestication de la noblesse et à la glorification de la personne royale. - la confusion des styles: la couronne, incarnation de la majesté, est ainsi posée sur un simple tabouret (fût-il royal); de même

humaine, et sur le petit nombre d'élus face à la masse des réprouvés, lors du jugement dernier ; c'est le motif de la prédestination. Au terme d'une longue querelle théologique, l'abbaye fut détruite et ses membres dispersés ; peu de temps avant la mort de Louis XIV, la bulle papale Unigenitus condamne irrémédiablement le jansénisme. III / Baroque et classicisme. L'esthétique baroque : Elle est née dans les pays où la Contre-réforme s'est imposée ( Portugal, Espagne, Italie, mais aussi France

classique mais fuite du temps « La vie/S’écoule » v.22, le poète impuissant face à la fin de l’automne et passage à l’hiver · Rhénane d‘automne  : thème funèbre = référence à la saison du poète l’automne, le passage de la vie à la mort, la mort est conviviale Contrairement aux autres poèmes, ici le thème principal est funeste mais traite d’un sentiment de réconfort et de convivialité, « les enfants des morts vont jouer » v.1, « le cimetière est un beau jardin » v

il voit l'absurdite de cette attitude: _finesse et ruse ne servent de rien[^18]. Il voit aussi combien ses peches ont blesse Dieu-meme (...)pour moi il [le Christ] a voulu subir la mort[^19]. _ Il commence a penser aux choses definitives comme l'inevitabilite de la mort:_Que puis je, sinon attendre la mort? La mort n'epargne ni les durs ni les tendres(...)[^20] ._ La question de la vie eternelle devient pour lui primordiale, il prie Dieu avec zele qu'il ne soit pas trop tard [pour aller au paradis][^21]

désespéré car il comprend que l’absurde de l’Homme est sans remède… ( dégoût de l’homme qui a besoin d’impossible mais qui ne peut y accéder = absurde il attend le « grand vide où le cœur s’apaise » = la mort Caligula réhabilite les hommes Il est en proie à la souffrance «  douleur humaine » la mort apparaît comme une délivrance la violence sonore : bruits d’armes + « criant », « hurlant » « râlant » « riant » ( crescendo de la violence sonore + il s’accuse : « Caligula, toi aussi tu es coupable »

loup et l'agneau (Fable) I. Le statue des protagonistesII. Les arguments et la mauvaise foisIII. La double dimension de la fable (des efforts pour séduire le lecteur)Les animaux malades de la peste (Fable) I. Les personnages stéréotypésII. Théâtralisation d'un procès a un simulâtre de justiceIII. Un enseignement pessimiste Les loups et les brebis (Fable) I. L'énoncée des causes nécessaire du pacifismeII. La cruauté des massacresIII. Egalité des pertes ____________________________________