La Theocratie Royale

province. La division de l’empire romain : occidentale et orientale. La partie orientale (Constantinople), plus tard l’Empire Byzantin fin en 1453 mauvaise division entre la religion et la politique = mise en place d’un régime « Césaropapiste » / Théocratie (gouvernement de Dieu) La partie occidentale (Rome), respect de la division et les évêques n’hésitent pas à rappeler les Empereurs à l’ordre. Mise en place d’autorités religieuses = évêque de Rome devient pape et se considère comme le chef de l’église

PATRICIENS) qui aboutit à un changement de régime avec l’installation de la république romaine. Cette révolution est un phénomène complexe et double révolutions : Celle que mène l’aristocratie romaine contre la dynastie royale qui est au pouvoir à l’époque. Depuis un siècle, le trône royal est occupé par des rois Etrusques. Ces rois dirigent un accord avec le peuple pour se faire accepter. Cet accord s’appelle « la tyrannie » (pas un mot péjoratif). Révolution populaire, c’est la plèbe qui va mener

des lois fondamentales et fixes, dites lois fondamentales du royaume, lesquelles se ramènent à un corps de règles constitutionnelles non écrites (principes de primogéniture, de masculinité, de légitimité, de catholicité, d’inaliénabilité du domaine royal, etc.) régissant aussi bien la transmission que l’exercice du pouvoir et destinées à en empêcher la dérive arbitraire. Lorsqu’il s’agit d’une monarchie limitée, ou monarchie constitutionnelle, le pouvoir est borné par une constitution (généralement

projet comme une pure nostalgie passéiste. Il s’agit en réalité d’une fidélité à une éthique qui porte dans son esprit intemporel l’aptitude à éclairer les hommes de tous les temps. Il ne faut pas confondre non plus le projet réformiste avec la théocratie. Aucun réformiste n’a jamais prétendu parler au nom du divin. Il s’agit d’un effort humain, donc faillible, qui s’efforce de prolonger l’épopée des prophètes. Il s’y prend par la méditation du Coran et l’étude du modèle prophétique. L’approche est

CHAPITRE I : LE DROIT À L’ÉPOQUE ROYALE Section 1 : Les structures de la royauté (repères) § 1 - La désignation du Roi : l’intervention des augures § 2 - Les pouvoirs du Roi : religieux, militaire, politique § 3 - Les auxiliaires du Roi : des assemblées mal définies   Section 2 : Les sources du droit à l’époque royale § 1 - La coutume : une source présumée - importance des coutumes en droit privé - difficulté de vérifier les sources § 2 - Les « lois royales » : une source discutée - Numa Pompilius

évêques soutiennent le développement des villes, en créant de nouvelles paroisses et en reconstruisant les cathédrales selon les techniques de l'architecture gothique. La papauté cherche à affirmer son autorité suprême sur toute la chrétienté. La théocratie pontificale prétend que le pape est supérieur à tous les pouvoirs, même dans le domaine temporel. Au XIIe siècle, le pape est élu par les cadirnaux. L'église à un rôle sociale en accompagnant la personne de la naissance à la mort en denant les

Histoire juridique de la construction de l’ÉtatCe cour s’intègre à l'étude de l'histoire du droit, assister à ce cour, c'est s'intéresser à une partie de l'histoire du droitl'histoire du droit est à côté du droit privé et du droit public, l'un des trois secteurs de la science du droitla science du droit est divisée en 3 secteurs ; l'histoire du droit, le droit privé et le droit publicl'histoire du droit comporte de nombreuses matières dont en seront abordé un certain nombre cette année : l'histoire

1er est sous sa tutelle. Désormais, plus aucun pape ne pourra être élu sans lui prêter serment. Tout aussi grave la féodalisation des charges épiscopales et abbatiales. Les nouveaux capétiens ne se privés pas de vendre au plus offrant les évêchés royaux dont ils disposaient. Ainsi à tous les niveaux, s’opère une confusion entre la fonction ecclésiastique et le bénéfice temporel. Cela engendre chez les clercs une grave crise morale qui se manifeste de deux façons, par la simonie et le nicolaïsme.

l’absolutisme :ils sont admis à la Cour certains ont même des fonctions publiques Ils sont pour un pouvoir fort. C’est un absolutisme de conjoncture et de principe De conjoncture ils sont pour une monarchie forte De Principe : pour eux la souveraineté royale est unique et supérieur a tout cat le souverain défend une cause juste parce que générale alors que les intérêts particuliers sont souvent injustes. Ils pensent que le roi veille a l’harmonie de son royaume (influence de Pufendorf). L’idéal est

« usufruit » (définition). Cette idée de bénéficiaire préfigure au nom du fief, les fidèles n'en ont que le bénéfice. D'où la réconciliation avec l’Église en 761. Dès 750, Pépin a adressé une question au Pape «  En France les rois n’exerce plus le pouvoir royal, est-ce un bien ? Est-ce un mal ? ». Même si la réponse du Pape est plus dente mais qu'il est en accord avec Pépin «Il vaut mieux appeler roi celui qui exerce le pouvoir.». Un roi qui renonce à son pouvoir renonce à sa dignité. Aussi ce pouvoir étant