La Théocratie Pontificale

est liée à la question religieuse. Un moment décisif est ce que l’on appelle la Réforme, c’est le moment où apparaît le protestantisme, une partie des Etats de l’Europe renonce au catholicisme c à d qu’il s’émancipe de la papauté donc du pouvoir pontifical. Ces choses là se passent en Allemagne avec les réformateurs comme Martin Luther au début du XVI tout un ensemble d’Etats allemands vont se lier au luthéranisme. Et Calvin est un réformateur français qui va se réfugier à Genève. On a des Etats

rencontre Du rêve avec le dogme et Pour avec Contre. L'homme flotte de l'un à l'autre, de cela À ceci, de Babeuf il tombe en Loyola, De Penn en Hildebrand et de Knox en de Maistre ; Sous ses deux poings fermés le Passé le séquestre, Et la Théocratie, au regard de bûcher, L'ayant pris une fois, ne veut plus le lâcher ; L'ombre empêche le jour et l'oeil de se rejoindre Et jette la nuée au rayon qui veut poindre ; Quand viendra l'aube ? Hélas ! la mauvaise saison Est longue pour le vrai

L’Église est aussi un contre-pouvoir royal important (bien que l'on parle d'alliance du trône et de l’hôtel), le roi tire sa légitimé de la religion, s'il n'est pas sacret il est affaiblit (Henri IV). Le souverain n'est pas l'abri d'une sanction Pontifical comme l'excommunication (Henry VIII). Le roi doit respecter un équilibre entre le Gallicanisme et l'autorité de l’Église de Rome. Il est difficile de voyager dans le royaume, se rendre d'une ville à l'autre peu prendre plusieurs jours bien Louis

autorité à l’église. Au 4ème siècle, on lui donne le titre de pape. Il se voit remettre un pouvoir juridictionnel en matière juridique, un pouvoir exécutif (chef de l’église), et un pouvoir législatif. Les lois du pape sont appelées des décrétales pontificales. La présence d’une hiérarchie ecclésiastique est également à noter : les évêques représentent le rouage fondamental de la hiérarchie. Chaque évêque dirige un diocèse ou il est souverain. Il existe aussi un clergé inférieur. 2) Eglise et droit

droit d’émettre des règles obligatoires sur toutes les questions qui intéressent l’église c’est-à-dire décrets et enfin un rôle de surveillance, cette monté en puissance du pape va aboutir au développement d’une théorie qu’on appelle : la théocratie pontificale : le pape aurait un droit de regard et de fonction sur les activités politiques, classiques des rois et des empereurs. B) protéger le patrimoine de l’église : Il s’agit pour l’église d’une part de facilité l’accroissement par des

gouvernement romain », distingué de la « religion catholique romaine »« », ces deux composantes formant l'« Eglise romaine ». Alors que la loi 1901 sur les associations visait uniquement les congrégations religieuses non autorisées, il pourfend la « théocratie » catholique et réclame la « suppression pure et simple au nom de la liberté » des « congrégations religieuses », « législativement » supprimées depuis 1790 : « Retirés du monde, les moines sont partout répandus dans le monde. La congrégation

dans la famille de Pépin » Cette fois, hérédité dans la famille. 16/10/14 III. La renaissance fugitive d’un véritable système politique sous les carolingiens A) Le temps des crises C’est avec Pépin que le système de gouv devient une théocratie royale cad un système dans lequel ceux qui ont pour mission de gouverner sont investis par Dieu, le roi tire son pouvoir de la volonté de Dieu. Cette royauté se réfère souvent à la bible et a partir de Charlemagne les rois se disent roi par la Grace

politique = le fondement religieux. I) Le nouveau fondement théocratique de la monarchie Le monarque va être considéré comme exerçant son pouvoir au nom de Dieu. À partir du VIIIème siècle, on peut dire que l'on se trouve dans le cadre d'une théocratie. Régime dans lequel le chef politique est considéré comme un représentant de Dieu. Cette conception va s'imposer en Europe, au moment où s'installe une nouvelle dynastie chez les Francs = les Carolingiens qui impose cette conception par le sacre

quelque chose d'artificiel crée par les français et de politiquement voulu notamment par l'aile gauche qui voulait détruire tout le symbolisme de l'ancien régime en dissociant la religion du pouvoir. Le roi été l'élu de Dieu : il s'agissait d'une théocratie). Tout commence en 1789 : les expériences constitutionnelles. Avant 1789 le système était simple : le roi était sacré, à sa mort son fils devenait roi, le pouvoir se transmettait sans difficulté. On était en monarchie absolu (il détenait le

laïcs : ainsi, un prince ne peut nommer un évêque, ni un clerc accepter 46 chapitre 3 l La chRÉtientÉ MÉdiÉvale (xie - xiiie siècles) cette charge ainsi confiée par un laïc. Avec le Dictatus papae, Grégoire VII jette les bases de la théocratie pontificale : il proclame l’évêque de Rome souverain absolu de l’Église et affirme son autorité sur les rois. Il se reconnaît donc le droit de déposer les princes et les évêques, de délier les sujets du serment de fidélité (doc. 3) et affirme qu’il