La Vengeance Est Une Justice Sauvage

l’ensemble de son œuvre |-le paysan corse est à l'opposé du Normand | | | |-caractère sauvage et archaïque | | | |Démontrer la réalité de l’époque

accusation/accusé = déséquilibre naturel entre carnivore et herbivore // déséquilibre naturel entre forces physiques différentes -> où est le juge ? où est la Justice, qui permet de protéger le faible et de lui permettre d’être à égalité avec le fort ? => enjeu du texte argumentatif qu’est la fable = faire réfléchir le lecteur sur la justice des hommes 2.la valeur argumentative de la fable : une parodie de délibération judiciaire - une parodie de procès : cf dernier vers Un procureur général

adaptée) T16Prot Personne, en effet, ne châtie ( kolazei ) un coupable en ne tenant compte, pour tout motif, que de la faute commise, à moins de s’abandonner, comme une bête sauvage ( hôsper thêrion ), à la vengeance de manière totalement irrationnelle ( alogistôs ) ; celui qui entreprend de châtier rationnellement ( meta logou ) ne se venge pas d’une injustice

bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas “punir pour se venger” ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous y adhérons. Reste la troisième

« des criminalistes » Dans la première formulation on remarque l'association entre les verbes « juger » et « condamner », ils sont reliés par la conjonction de coordination « et ». Victor Hugo assimile l'exercice de la justice et la condamnation, cela souligne la sévérité de la justice.  De + le texte est construit sur un schéma simple, Victor Hugo évoque les arguments des partisans de la peine de mort puis immédiatement après il dit des contre-arguments. Les thermes qui soulignent l'opposition st nombreux :

bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas “punir pour se venger” ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous y adhérons. Reste la troisième

bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas “punir pour se venger” ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous y adhérons. Reste la troisième

réparation indispensable de l’ordre des choses. La société en la personne de l’Etat, a-t-elle le droit de supprimer la vie comme ultime sanction d’un crime impardonnable ? La justice n’a t’elle pas aussi comme rôle de donner une nouvelle chance réparatrice à ceux qui ont violé ses lois ? « Le sang de la victime crie vengeance contre celui qui l’a versé. » Mais en agissant ainsi, est-elle une légitime justicière ou devient-elle une abusive vengeresse ? Déjà en 1764, Cesare Beccaria remettait en

réussit à traverser son enfance frileuse et confinée en extériorisant ses ardeurs au contact de la terre, des arbres et de l’eau, elle parvient à maîtriser les emportements de son corps. A l’adolescence, elle est déjà double : visage indifférent, cœur sauvage. Après la décision de son cousin égoïste, qui déteste les soins de sa mère, de s’installer à Paris, Mme Raquin prend peur pour son fils et déniche une boutique dans l’ombre gluante d’un passage parisien. Thérèse accepte le mariage avec Camille. Ce

exemple de mère-infanticide connu, a en effet agit ainsi du fait de la folie qu’Héra lui avait inspirée en guise de châtiment. Au contraire, Médée se conduit sans être dirigée par une volonté divine et elle n’hésite pas à invoquer Zeus pour réclamer justice, ou en tant que témoin des malheurs que Jason lui a causés, justifiant ainsi sa conduite : « J’en aurais long à dire pour répliquer à ton éloquence, si Zeus, notre père, ne savait fort bien ce que j’ai fait pour toi, et ce que tu m’as fait. » De