Le Bannum

château seron appele des chatelerie ou seigneuries. Dans un rayon de 5 a 10 km autour du chateua, le seigneur va exercer sonr pouvoir sur les populations de ce ressors. Il va exercer les prerogatives publiques en son nom et notamment le puvoir de ban (bannum). Le pouvoir de commander et de juger. C’est pour cela qu’on les designera sous l’appelation de seigneurie banales. Cette appropriation des prerogatives publique, on peut les trouves dans des instituion carolingiennes : l’immunite qui est une concession

économiques, démographiques mais le résultat est que l’Europe occidentale se couvre de châteaux forts, construits par des brigands qui construisent autour de leur forteresse un pouvoir qui s’étend sur un territoire qui forme la seigneurie banale. Pouvoir de bannum : pouvoir de commandement que détenait le roi des francs. Seigneur dit l’avoir. Il va lever l’impôt, rendre la justice. Pour gouverner sa seigneurie il peut aussi prendre des règlements. Au départ il a installé son pouvoir par la force. Au départ

multitude de seigneuries. Ce phénomène est du à des facteurs économiques, politiques et démographiques. Au 11ème siècle, l’Europe occidentale se couvre de châteaux forts que l’on appelle des seigneuries banales. Chaque seigneur prétend alors détenir le bannum, qui est le pouvoir de commandement. Les seigneurs, pour gouverner leur seigneurie, peuvent aussi prendre des règlements. Au départ, ils s’installent par la force, puis, avec le temps, ils s’assagissent et la seigneurie banale devient peu à peu un

serment C’est un lien personnel calqué sur la discipline de la vie militaire. Les sujets du Roi sont avant tout des compagnons qui lui prêtent fidélité dans un contexte d’oralité. Le maintien de la parole du chef est obligatoire. -    le droit de ban (bannum) est le droit de commander, d’ordonner ou d’interdire, droit qui n’appartient qu’au Roi. Cela lui permet d’exprimer son pouvoir de contrainte. Celui qui désobéit au Roi peut être puni, sachant que la punition la plus sévère est le forbannissement

détenteurs, tirant de ces forteresses une force accrue et utilisant la noblesse de leur sang ou d’une alliance opportune, parviennent à acquérir une légitimité et à mêler à leurs pouvoirs privés quelques droits de commandement d’origine publique (le bannum par exemple, d’où le terme de seigneurie banale souvent utilisé pour désigner ce précipité d’exaction et d’autorité légale). En outre, l’essentiel, autant que d’acquérir une pleine indépendance par rapport aux princes et aux comtes, consiste à s’assurer

est germanique, dans les signes ( les cheveux longs, l’élévation sur le pavois ). Elle est également germanique dans son vocabulaire et son contenu : le bannum, pouvoir sans limite de commandement, et le mundium, autorité qui a pour contrepartie un devoir de protection. Le roi dispose du pouvoir de « ban ». Le bannum est un pouvoir de commander, d’ordonner et d’interdire, sous la menace d’une peine. Ce pouvoir n’a pas de limite, même pas l’intérêt général, l’utilité