Le Bonheur Selon Freud

qui n’est pas encore (/Nature) Civilisation : ensemble des traditions, normes, valeurs d’une société lui donnant son identité. Rousseau : l’H n’a pas d’instinct naturel contrairement à l’animal, tt ce qui est humain est culturel : enfant sauvage n’a selon celle définition rien d’humain. Levi-Strauss : il n’y a pas une mais des cultures, relativisme culturel admet cette variété, mais tt H est un peu ethnocentriste : réflex primitif qui pousse à établir une hiérarchie entre les cultures qui se se vaudraient

Impuissance relative à l'illusion : Spinoza: l'homme voit le meilleur, l'approuve et fait le pire. Spinoza: les hommes se croient libre car ils sont conscient de leurs désirs et ignorant des causes qui les déterminent. L'inconscient est défini par Freud comme le lieu des désirs et des représentations refoulées, des pulsions innées. Aristote: l'homme est un animal raisonnable. Pour Descartes, l'introspection et la réflexion permettent la connaissance de soi. 3) Question de l'identité

infini. Pour les sceptique si la science reste sur des preuves non prouver alors ces preuves ne peuvent être sur...Pour les sceptique en somme le doute est un état dont on ne peux pas sortir et qu'il faut apprendre à accepté si l'on veux connaître le bonheur: C'est a dire l'absence de trouble. La paix intérieur ne peux pas ce trouver tant que l'homme essais de répondre aux question que lui pose sa raison car il a peur de l'incertitude et doit apprendre a vivre avec. (La raison pousse l'homme à ce poser

doctrine basée sur la recherche de la sagesse mais surtout du bonheur pour atteindre l’ataraxie, état de profondeur quiétude découlant d’une absence de trouble et de douleur. Pour cela, Epicure pense qu’il faut réaliser tous ses désirs, le désir étant le fait de tendre vers un objet dont on pense qu’il nous offrira une satisfaction. Epicure pense donc que la liberté se résume dans le fait d’assouvir tous ses désirs pour atteindre le bonheur car tout homme est né pour chercher à être heureux. Mais Epicure

de bonheur. A mon sens, les deux notions ne signifient pas exactement la même chose, bien qu’elles soient liées en quelque sorte. Le plaisir est un état passager que certaines choses de la vie peuvent procurer, en revanche le bonheur est un état d’esprit plus durable. Plaisir et bonheur sont liés dans le sens où ils sont tous les deux agréables, par contre on peut éprouver du plaisir sans être heureux pour autant. Cependant, il est vrai que les plaisirs de la vie peuvent contribuer au bonheur et

fait préexister un projet par sa conscience avant de travailler. Dans son exemple, il diffère "l'abeille" qui certes travaille, mais qui le fait par instinct.  Il dénonce l'aliénation du travail avec notamment le travail à la chaîne. Michel Serres : selon le principe d'entropie, la nature tente de s'organiser afin de survivre. Ainsi tout être vivant, conscient ou pas, travaille par "le tri" Platon : nous sommes contraint de travailler car nous sommes démunis : nous n'avons pas de caractère spécifique

de l’autre c’est une nécessité. Il est nécessaire de passer par l’autre et donc de s’inscrire dans un lien social. 3) Textes anthropologiques freudiens : Le collectif occupe une place centrale dans l’œuvre de FREUD a) Totem & tabou : interdit de l’inceste & meurtre du père. En 1912, Freud construit sa théorie du fondement du lien social. Il c’était penché sur la réalité psychique du sujet (implique une division car individu dimension illusoire / imaginaire) et s’intéresse à la réalité sociale

humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine

|conduire à la fin de la religion. | | |La preuve par le désir |La religion et la culture – Freud | | |Preuve qui part de l’homme et non plus du monde. La preuve que Dieu |La religion est issue de l’échec de la civilisation

ne peut combler. Seul Dieu est infini, donc le monde désir Dieu. Cette preuve ne nous oblige pas à croire en Dieu, mais nous y autorise. Lorsqu’il aspire au bonheur, l’homme aspire à Dieu, qui est une source de bonheur et d’amour (mais pas la seule). Donc en tant qu’il est homme, l’homme est un être religieux. La religion et la culture – Freud La religion est issue de l’échec de la civilisation Les deux gd désirs de l’homme sont la maîtrise de la nature et la réglementation des relations entre les