Le Business Model Danone

l’environnement.Macroenvironnement : PESTELFacteurs externes BERTHAULT !NS!GHT © 2014-2022 5 ▪ Facteurs externes = facteurs ayant une influence sur la structure et les dynamiques de l’industrie (secteur d’activité) dans laquelle opère le DAS analysé. ▪ Modèle PESTEL : 6 catégories de facteurs - Politiques - Economiques - Sociologiques - Technologiques - Écologiques - LégalesFacteurs externes BERTHAULT !NS!GHT © 2014-2022 6 ▪ Difficultés fréquentes d’analyse propres à l’interprétation des données - Noyés

Un produit est une offre présentée sur un marché, qu’elle soit un service ou un bien, qu’elle soit vendue ou non. Ainsi, les produits ne se résument pas uniquement à la grande consommation, mais concernent aussi les produits industriels, ou business to business. “Le produit est un bien ou un service offert sur le marché de façon à y être remarqué, acquis ou consommé en vue de satisfaire un besoin.” D’après “Marketing Management” Kotler et Dubois Ed. Publi Union “Le produit est une offre

Quelles sont les réponses apportées par les éditeurs et les agences médias ? D’ores et déjà un enseignement : les éditeurs qui réussissent sur le marché digital sont ceux qui ont une marque média forte et qui ont été capables de s’ouvrir à de nouveaux business (commerce en ligne, etc.). On n’arrête pas de le rappeler. Durant cette présentation, on parlera donc beaucoup d’adaptation : des comportements, des métiers, des profils humains à privilégier dans les nouvelles organisations… Encore faut-il ne pas

grande efficacité mais très vite va se poser le problème de la contradiction du fordisme (limites). En effet, il va se développer au moment où les individus vont avoir de nouveaux besoins. Il ne se contente plus de la simple productivité et le modèle ne peut fonctionner que si l'augmentation des salaires est accompagnée d'une hausse de la productivité (cas contraire = plafond à la hausse des salaires sinon cela se répercute sur les prix des produits). De plus le travail à la chaîne a été crée

franco-françaises puisque les filiales de sociétés étrangères étaient conduites à appliquer un certain nombre de dispositions en matière de gestion des risques, mais il y avait peu de sociétés françaises qui faisaient des choses et qui les faisaient bien, comme Danone, qui était véritablement un précurseur. De plus, un point important de ce projet de loi, c’est que le contrôle interne n’était pas quelque chose d’aussi obligatoire dans les entreprises. Or, du point de vue de l’auditeur, dans son rôle légal de commissaire

et de nombreuses PME, sont aujourd’hui fortement internationalisées. Cette internationalisation se traduit par l’importance du chiffre d’affaires réalisé à l’étranger ou des effectifs hors de France. C’est ainsi que des entreprises comme Arcelor, Danone, Schneider Electric, Cap Gemini, l’Oreal, Sodexho, Chantelle, et bien d’autres, réalisent plus des deux tiers de leur chiffre d’affaires à l’étranger ou ont un effectif en majorité hors de France. Autre facteur qui atteste de cette évolution, de nombreuses

Aubey, Médéric Viviane Baudry, La Poste Bruno Brocheton, Euro Disney Patrick Brunel, Danone Jean Buffet, Axa Marc Coffy, Générale des Eaux Philippe Crosnier, CNCE Patrick Dailhé, Unedic Michel Delsaux, Air France Pierre Dichamp, Altadis Benoît Faller, Winterthur Philippe Galas, Alstom Marie-Claire Gobillot, Axa France Assurance Chantal Leveque, Retraites Unies Patrice Lohard, Dassault Aviation Mohamed Marfouk, Danone Olivier Maupaté, Essilor Gilles Mawas, BNP Paribas Bernard Molland Jacques Mougenot

économies d’échelle et de synergies intra-groupes. Par filiale, cela se présente de la manière suivante: a. Cosumar ¾ ¾ Poursuivre le déploiement du projet Indimaje 2012; Mettre en place un schéma directeur en vue d’organiser le groupe autour de trois business units: Amont agricole, Raffinage et Conditionnement. b. Bimo ¾ ¾ ¾ Consolider les parts de marché et maintenir la croissance actuelle des ventes à travers l’innovation et la fidélisation des consommateurs; Adapter la stratégie marketing et commerciale

facteur anti-zapping 7 1.3. Autres fondements du celebrity marketing 8 1.3.1. Le transfert de notoriété 8 1.3.2. La caution de la célébrité 8 1.3.3. La mise à profit d’une adéquation stratégique 8 1.3.4. L’identification au modèle 9 1.3.5. La normalisation de la consommation du produit 9 1.3.6. La personnification du produit 10 1.4. Conclusion 10 2. Retombées positives ou négatives pour la marque en terme de notoriété 11 2.1. Des scandales et dérives… 12

représentent 90 % des bouteilles vendues, les eaux pétillantes 10 % (attention, contribution à la marge plus importante) En 1994, Nestlé détenait 39 % du marché français de l'eau en bouteille, Danone 33 %. Les autres producteurs détenaient 28 % dudit marché. Dix ans plus tard,en 2004, Nestlé n'en détenait plus que 25,6 %, Danone 22,7 %. Un troisième larron avait réussi à s'imposer: Castel Neptune, avec 21,3 %. Les autres producteurs détenant 30,4 % du marché. Côté prix, "à raison de deux litres par jour