Le Cadavre Encerclé

gaspille les efforts et tue le moment présent. Allah, Exalté soit-Il, a mentionné les nations et leurs œuvres puis a dit : (sens du verset) « voilà une génération bel et bien révolue » (Coran 2/134) ; l’affaire est classée, il est vain d’autopsier le cadavre du temps, et de vouloir faire revenir en arrière la roue de l’histoire. Celui qui revient en arrière est semblable à une personne qui moud la farine déjà moulue, ou scie la sciure de bois. En outre, un vieil adage dit à propos de celui qui pleure

plaines de glace, qui semblaient n’avoir pas de limites.(...) Nous étions, nous semblait-il, à plusieurs centaines de milles de toute terre ; mais cette apparition semblait indiquer un éloignement moins grand que nous ne le supposions. Cependant, encerclés par la glace...etc.» (Lettre IV, p 77) 2 Le récit de Victor Frankenstein. 1ère partie : Chapitres I à II, p 87/99 : Cadre, personnages et données initiales de la tragédie 2.1 Le paradis perdu Le décor initial est celui d’une aimable

de la naissance. Elle permet par son identité double une initiation. d. Leur rôle Les femmes lancent l’action, l’encadrent : l’épopée s’ouvre sur une femme et se clôt par un retour sur cette femme, enchâssant un long récit analeptique. La femme encercle Ulysse, puisque le sens de sa destinée est de revenir vers Pénélope, sa femme qui est le but de sa quête. Pénélope est omniprésente, même chez les autres figures féminines. Les femmes sont autant l’ombre de Pénélope que le reflet du héros lui-même

l’Oural ou en Sibérie. L’horreur avait ici quelque chose de proprement diabolique et dépassait tout ce qu’on pouvait imaginer. Les visages exsangues et d’une horrible couleur jaunâtre des détenus ressemblaient à des masques mortuaires. On eût dit des cadavres ambulants, empoisonnés par les produits chimiques qu’ils manipulaient dans leur affreux purgatoire souterrain. Parmi eux, il y avait des hommes et des femmes qui pouvaient bien avoir cinquante ans et plus, mais aussi des jeunes ayant à peine dépassé

profond de l’abdomen bulbeux du monstre. Un liquide visqueux se déversa sur lui et l’araignée fut parcourue d’un bref frisson avant de mourir. — Oui, chuchota-t-il en essuyant le jus poisseux sur son visage, ce doit être ici. Il tira le cadavre répugnant pour le ramener dans son antre caché et se glissa à côté en espérant que personne n’avait remarqué cette brève lutte. En entendant les rumeurs du combat, il sut que la bataille avait déjà atteint ce niveau. Toutefois, la Maison DeVir

lors de la bataille du Jarama. * 8 février : Prise de Malaga par le corps expéditionnaire italien. * 8 mars : Bataille de Guadalajara, défense des forces italiennes dans le secteur de Madrid (8-18 mars). * 18 mars : Les nationalistes encerclés à Guadalajara. * 19 mars : Le général Mola déclenche son offensive dans le Nord. * 19 avril : Décret transformant la Phalange en parti unique dans la zone nationale. * 26 avril : Bombardement de Guernica, au Pays basque espagnol, par

rivière ne sont pas tous plaisants. La mort fait aussi partie de la cueillette des bons frères. Vaches noyées, daims noyés, charognes de porcs ballonnées au point d’atteindre les dimensions d’un gros poney. Mouais, sans parler des cadavres. ŕ Beaucoup trop de cadavres, ces temps-ci. » Le frère Doyen soupira. « Notre fossoyeur ne connaît pas de répit. Riverains, gens de l’ouest, gens du nord, tous abordent chez nous. Chevaliers autant que canailles. Nous les ensevelissons côte à côte, qu’ils soient

300 000 hommes à Stalingrad, son obsession à maintenir les troupes épuisées dans la ville en ruines n'est cependant pas due qu'à un orgueil insensé de sa part ou qu'à son fanatisme, ainsi qu'il est généralement avancé. Les 100 000 Allemands survivants encerclés fixaient aussi plus de 500 000 Soviétiques, soulageant d'autant le gros de la Wehrmacht, qui pendant ce temps se replie en bon ordre en Ukraine, d'où elle peut vite relancer des contre-offensives. Au demeurant, vu les conditions de vie et la mortalité

deviner ce que c’était exactement. A en juger par sa ._e, peut-être un très gros chien ou un daim qui s’était i~iiuré dans la ville. Quand il l’examina de plus près, il s’aperçut que ce .‘il avait découvert n’était ni un chien, ni un daim. Un cadavre humain! — Hankins, appela-t-il, luttant pour conserver son ~me. J’ai trouvé quelque chose. Pas de réponse. La puanteur le saisit à la gorge et incita son dîner à jj~nonter vers la sortie de secours. — Hankins! Enfin, son partenaire répondit:

mort d’Enkidu est source de chagrin mais aussi d’angoisse pour Gilgamesh car il découvre avec la disparition de son ami son propre destin, comme le traduit l’interrogation « Devrais-je donc mourir moi aussi et, par la mort, devenir pareil à son cadavre ? ». C’est « la peur de la mort qui [lui] fait courir le désert », davantage sans doute que le chagrin. L. 47 à 61, p. 19 23. Les dieux sont à l’origine du Déluge et on les voit sujets de verbes d’action tout au long du paragraphe : « dans laquelle