Le Champ Lexical Dominant

devrez vous poser un certain nombre de questions : → Quel est le thème du texte ? (quels champs lexicaux qui le montrent ?) → Quelle est la situation de communication ? (qui parle ? À qui ?...) → Quelle est la structure du texte ? (combien de parties distinctes comporte-t-il ? qu’apporte la comparaison du début et de la fin de votre extrait ?) → Quels sont le(s) registre(s) dominant(s) (registre lyrique, pathétique, réaliste, fantastique, merveilleux, comique, ironique, satirique

sont les registres du texte 3) Commentaire : * Axe 1 : Le naturalisme * Axe 2 : Le Personnage Principal 1) Le passage se situe au tout début du livre Germinal, et nous décrit son arrivé. 2) Le texte est régi par deux registres dominant : le registre tragique, le personnage principal se retrouvant devant une fosse, et le registre réaliste à cause des termes spécifique à l’époque de l’auteur. 3) Commentaire : Cet extrait est tiré du roman publié en 1885, Germinal, écrit

Personnification de la discussion « aimez » « tête a tête » « graces » « galant » « compliment » « aimable » « coquet » « flamme » Champ lexical de la galanterie Montre le jeu/la scene de séduction « Comme le grand monde » Comparaison Il compare l’amour superficiel à l’amour que porte le grand monde au gens. Phrase interrogative et exclamative dominante Phrase expressive Scène animé, active Nous sommes aussi bouffons que nos patrons Comparaison Référence a la séduction des maitres

Acte IV). De plus il tente de s'arrêter lui-même démontrant sa nervosité. Molière décrit également une sorte de perte d'identité perceptible quand Harpagon se questionne et se répond à lui-même. Finalement pour affirmer le sens du monologue, un champ lexical de la mort y est associé. Tel qu'on peut le découvrir dans le texte: « à l'assassin! au meurtrier!.. je suis assassiné, on m'a coupé la gorge... tout est fini pour moi...il m'est impossible de vivre ». En plus il y a une gradation croissante qui

suivant : - Le soleil couchant sur Paris - L’incendie - Une sensation extraordinaire • Les temps verbaux : l’imparfait, temps duratif ; mais aussi le passé-simple • Le champ lexical dominant est celui du feu associé aux couleurs chaudes : « braisillaient , s’embrasaient, flambaient, brûlant ». Il y a aussi le champ lexical de la violence ; « râle des fusillés, saccagés, éventrés, ruines, souffrances »; et en contraste celui de la fête « beau dimanche, gerbe finale ( feu d’artifice ), vol de

ouverte, d’où le titre du poème. L’auteur ne voit pas, ses yeux sont fermés. Il se base uniquement sur son ouïe pour nous décrire le paysage. « J’entends des voix. Lueurs à travers ma paupière. » (v1) Tout au long du poème, on remarque un large champ lexical du bruit : il n’y a pas un vers sans la présence d’un verbe ou d’un mot relatif aux sons et à l’ouïe. « J’entends » (v1), « Une cloche est en branle » (v2), « Cris » (v3), « gazouillent » (v4), « Georges l’appelle. », « Chants », « racle » (v5)

point de-vue avant de revenir au point de vue précédent.5) Quel est finalement le point-de-vue dominant dans ce chapitre IV ? 6) Le réalisme* (et plus encore un peu plus tard le naturalisme*) s’intéresse à la science de la psychologie  : relevez dans ce début de chapitre une dizaine de mots ou de groupes de mots qui relèvent du champ lexical de la pensée (Les « états-d’âme, les humeurs, l’imagination, les jugements

c’est lui-même qui est responsable de tout ce qui est arrivé. III) Champs lexicaux de la nouvelle A/ Champs lexical de la modestie Jamais je n’ai rêvé d’être célèbre, un homme discret, laisser choir ma vie dans les moiteurs de la foule anonyme, ce rien que je suis, monotone, se promener sans but, lire des journaux toujours dans le même café, timide, je ne suis pas curieux de nature, la médiocrité, l’habitude… B/ Champs lexical de l’écriture Histoire, le journal, écrit, un roman, livre, article

quelles rimes s’agit-il ? 4) Ce poème comporte-t-il des strophes ? Quelles remarques pouvez-vous faire sur sa mise en espace ? 5) Divisez le poème en trois parties auxquelles vous donnerez un titre. 6) Quels sont les deux temps dominants de la 1ère partie ? De quels types de discours s’agit-il ? 7) Quel est le temps de référence des deux autres parties ? Pourquoi ?   III Un tableau pathétique    1) L’auteur est-il présent ? Justifiez votre réponse en observant notamment

poète demeure fasciné par la nature : elle est comme un maléfice, un charme (isotopie du regard). Deuxième strophe : le poète s’adresse à la femme. On relève des traits propres au lyrisme, et ce lyrisme est proche du ton élégiaque. On note le champ lexical de la douceur, douceur qui renvoie directement à la figure féminine (qui est perçue comme un ange). Cependant, la féminité est vue globalement comme une figure pâle et morbide. Les assonances en [ã] et en [õ] allongent la strophe tout entière.