Le Cid Metaphore

l’auteur : Pierre Corneille  Titre de l’œuvre : Le Cid  Titre de l’extrait : « Un débat intérieur »  Lieu et date de création ou de publication : Paris, composée en 1636  Courant littéraire : Baroque assagi ou préclassicisme  Genre et forme littéraires : Genre dramatique, tragédie  Propos ou mise en situation : Valorisation d’une morale héroïque, caractère exceptionnel du héros  Lien avec le contexte : Espagnolisme ; querelle du Cid Sujet pose : Démontrez que le monologue

Le Cid Le Cid, de Corneille a été publié en 1637, pendant la période du classicisme (XVIIème siècle) et du règne de Louis XIV. Cet extrait relève de la comédie tragique car Rodrigue se voit remettre un dilemme par son propre père car celui-ci veut qu'il se batte contre le père de sa bien-aimée, Chimène. Le père de Rodrigue, Don Diègue a été nommé gouverneur du prince de Castille mais le Comte, père de Chimène jaloux et déçu tape Don Diègue au cours d'une dispute. Celui-ci étant trop vieux pour

|Allégorie: l’allégorie est un type particulier de métaphore qui consiste à |Mon beau navire ô ma mémoire/ Avons-nous assez navigué/ Dans une onde | |représenter une idée abstraite de façon imagée en recourant à des éléments |mauvaise à boire/ Avons nous assez navigué/ De la belle aube au triste soir.| |concrets. |(Apollinaire) | |Personnification: la personnification

terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). Métaphore La métaphore est une figure qui consiste à désigner un objet ou une idée par un mot qui convient pour un autre objet ou une autre idée, liés aux précédents par une analogie. La métaphore fusionne donc en un seul les deux termes de la comparaison.
 « Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits » (Eluard) La métaphore filée est un procédé qui consiste à développer une métaphore en complétant le comparant par plusieurs mots qui

Commentaire composé sur le Cid, acte I, scène 6. INTRODUCTION C’est de la comédie « Jeunesses du Cid », de Guillem de Castro, que Pierre Corneille s’inspire pour écrire la tragi-comédie pathétique « Le Cid », où il retrace l’histoire de Rodrigue, un seigneur qui a amassé des grands succès. Dans la scène 5 de l’Acte I, le père du Cid demande à son fils de le venger de l’offense que le père de son amoureuse, Chimène, lui a fait en lui donnant un soufflet. Dans ce monologue consacré à l’expression

Figures de style Comparaison : établit donc une comparaison entre deux choses à l’aide de « comme… », « tel que… », etc. Métaphore : même principe que pour la comparaison sans « comme… », etc. Ex : « Il pleut des cordes » (on compare la pluie à des cordes sans passer par l’outil de comparaison) Personnification : représente une chose ou une idée sous les traits d’une personne. Allégorie : même principe que pour la personnification, cependant ne représente concrètement qu’une idée abstraite

cœurs ; j’ai vingt bras… ” ANADIPLOSE “ Je saurai parler seul ! Et, de par tous les diables, /Je saurai bien toujours la prendre dans mes bras ! ”  « saurai » + infinitif “ Rodrigue, qui l’eût cru ? / Chimène, qui l’eût dit ? ” Corneille, Le Cid.  apostrophe + « qui l’eût » + participe passé C’est un parallélisme inversé (a-b/b-a) “ Entre cet homme fauve et ce tragique enfant ” Hugo  nom + adjectif / adjectif + nom Longue phrase, rythmée par des pauses “ […] le navigateur, abandonnant pour

Le premier extrait est tiré de Le Cid ( acte III, scène4) écrit par Pierre Corneille en 1637,le second extrait issu de Ruy Blas ( ActeV,scèneIV) de Victor Hugo en 1838. Pour finir, le troisième extrait de la pièce de théâtre Les Justes (Acte III) d’Albert Camus écrit en 1949. Nous allons étudier en quoi ces scènes d’amour sont pathétiques. Dans ces trois pièces de théâtres les auteurs ont introduit une scène d’amour à résonnance pathétique. Dans le Cid, Don Rodrigue ayant assassiné le père

qui renvoie à une instruction de qualité, que le discours se doit de refléter ; (ii)la clarté (explanatio), qui suppose que l' orateur emploie une langue correcte, le mot propre et le vocabulaire usuel, et qu' évite les phrases trop longues et les métaphores ; il (iii)l' ornementation (ornatio), qui suppose de recourir à tout un ensemble de procédés techniques pour embellir le discours. C' à ce niveau qu' est interviennent les notions de tropes, de figures et de rythme, qui constituent la « rhétorique

moins que, mieux que (locutions) / semblable à, pareil à (adjectifs) / on dirait, ressembler à, sembler à faire penser à (verbes). 2. La métaphore : Jacques est un vrai singe ! ou : Jacques, ce singe ! Il s’agit d’une comparaison SANS outil comparatif, voire sans point commun explicite (il est sous-entendu). On parle de « métaphore filée » lorsque la métaphore est développée de manière significative dans un texte. LES FIGURES D’INSISTANCE 3. L’hyperbole est une exagération du type : Il va mettre