Le Comportement Du Consommateur Industriel

recettes selon les ingrédients utilisés : farine, sucre, matières grasses, œufs, lait, fruits, fruits secs, chocolat. ► Plus de 800 recettes 2 Des marques ancrées dans notre patrimoine alimentaire  Le marché des Biscuits et Gâteaux industriels fait intervenir un grand nombre d’entreprises.  Les 5 plus gros acteurs représentent près de 60% du marché : LU, BN, DELACRE, BAHLSEN ST MICHEL, BROSSARD  De nombreuses PME régionales (Plus d’une soixantaine au syndicat) : BISCUITERIE

cycles du marché et de la conjoncture * Des facteurs industriels spécifiques * Les canaux et les possibilités de distribution * L'approvisionnement des clients / consommateur final * Les taux d'intérêts et le cours du taux de change Social Voici des raisons courantes aux changements dans l'environnement socio-économique: * Les tendances dans les styles de vie * La démographie * Le comportement et l'opinion du consommateur * L'exploitation des médias * Les amendements

dans un premier temps à l’offre : les différents producteurs, le poids de chaque enseigne, les différents produits, les distributeurs. Dans un second temps, nous nous sommes intéressés à la demande au niveau qualitatif avec les motivations, les comportements d’achat puis au niveau quantitatif avec les tendances de ces différents segments du marché. Enfin nous nous sommes s’interrogés sur l’environnement avec la concurrence, la réglementation. Sommaire : I. L’offre - 4 -  A Les producteurs

MARKETING ET SES MYTHES PLAN I. CONTEXTE II. LES ENJEUX DU MARKETING a) LES ENJEUX DU MARKETING POUR L’ENTREPRISE b) LES ENJEUX DU MARKETING POUR LE CONSOMMATEUR III. LES DOUZES MYTHES MYTHE 1 : LA MONDIALISATION IMPLIQUE UN MARKETING DE MASSE MYTHE 2 : IL FAUT REPONDRE AUX BESOINS EXPRIMES DES CLIENTS MYTHE 3 : L’ETUDE DE MARCHE EST PRIMORDIALE MYTHE 4 : UNE MARQUE DOIT RESTER FIDELE A SON METIER DE BASE MYTHE 5 : LA DISTRIBUTION N’A PAS D’INFLUENCE SUR LE MARKETING MYTHE 6 : UNE MARQUE

et soumises à des variantes selon l'âge et le milieu professionnel. Bien que les Français portent une attention croissante à l'alimentation, de mauvaises habitudes persistent et certaines erreurs nutritionnelles sont apparues depuis peu. Nos comportements alimentaires changent Notre société ne se nourrit plus comme hier. L'évolution des modes de vie et des technologies, le mélange des cultures, l'influence du marketing sont autant de facteurs qui ont considérablement modifié nos habitudes alimentaires

la vision de cette relation commence à se modifier car, malgré tout, le producteur comme le distributeur sont complémentaires. En effet, les ventes des industriels dépendent largement de la qualité de leur référencement par la grande distribution, et les enseignes de leur côté, ont besoin des marques pour offrir un choix suffisant aux consommateurs. Vient s’ajouter à ces raisons, les phénomènes de concentration de la distribution et d’érosion des marques au profit des hard discounters (entreprises

les contraintes et ses raisons mais aussi des libertés octroyées aux entreprises en seconde partie. I- LES CONTRAINTES L'exercice de ces libertés peut engendrer des tensions entre les acteurs économiques et sociaux (entreprises, salariés, consommateurs…). Pour protéger l'intérêt général, prendre en compte l'éventuelle inégalité des parties en présence et assurer les grands équilibres économiques, le droit encadre ces libertés par des dispositions d'ordre public. Il existe un ordre public de direction

des ménages. / Diminution Croissance de la productivité des entreprises. / Baisse Augmentation des profits Exemples : _Possibilités de ré-investir dans la R&D pour créer un nouveau besoin (Apple) ou répondre à une attente des consommateurs. _Dividende aux actionnaires ( Numéraire ou sous formes d’actions). Baisse des profits Exemples : _Offres non renouvelées _ Difficultés économiques -> suppressions de postes, salaires atones... C’est pourquoi dans une économie de ce type

des fins non alimentaires (pharmaceutiques, chimiques, textiles, énergétiques) bien que liées à des filières agro-industrielles spécifiques, restent regroupées dans cette branche générale d'activité. 1. Vision sur le secteur agroalimentaire au maroc L'industrie agro-alimentaire (IAA) est la deuxième branche industrielle du pays avec près de 30% de la production industrielle totale (juste après celle de la chimie avec 40%). Il est à noter que 16 à 17% de la production de cette branche est

on est passé, pour la majorité des grandes structures, d’une culture production à une culture vente, puis à une culture marketing.  La culture production Processus Dans les entreprises nées au XIXe siècle, au cours de la Révolution industrielle, l’activité essentielle des dirigeants consiste à aménager les taches de production de manière à améliorer l’efficacité de la firme. Le problème n’est pas de vendre, mais de produire et d’acheminer la production vers les lieux de consommation