Le Comportement Organisationnel

culture d’entreprise Avant de commencer à répondre à notre problématique il nous parait judicieux de définir le terme de culture organisationnelle. Cette première partie nous permet aussi d’analyser les composantes de la culture d’entreprise et notamment celle du groupe ErDF afin d’évaluer si il en a une forte ou faible. A) définition de la culture organisationnelle Définitions théoriques : « La Culture est un ensemble complexe qui inclut les connaissances, les croyances, l’art, la loi, la

disciplinaires, ce qui en explique le contenu extrêmement dense. Ce dossier n’exposera que de manière synthétique (et donc incomplète) les principales approches qui sont nécessaires pour bien comprendre les différents niveaux de lecture de la vie organisationnelle. Au delà de l’exercice de synthèse, l’extrême densité et diversité de ces différentes approches rend également très périlleux toute forme de réflexion structurée qui tendrait à faire cohabiter de manière cohérente l’ensemble de ces réflexions

contrôle de gestion un système de régulation des comportements applicable dans les organisations exerçant une activité économique. Le contrôle de gestion, comme l’ensemble des sciences de gestion, se rattache au domaine des sciences humaines. La discipline ne traite donc pas un objet qui s’offrirait objectivement à l’observateur, mais une construction intellectuelle cherchant à décrire des pratiques tout en essayant de prescrire des règles de comportement qui serait meilleures que d’autres. Cette évolution

contrôle de gestion classique dans la standardisation des organisations, des comportements et des résultats 5 I.1 De la taylorisation de type fordisme à la néo-taylorisation 6 I.2 Les modes de contrôle 7 I.2.1 Le contrôle des comportements 8 I.2.2 Le contrôle par les résultats 9 I.2.3 Le contrôle clanique, i.e. contrôle par la culture 9 I.3 Le contrôle de gestion comme outil de gestion du risque de comportement 10 I.4 Le contrôle de gestion des résultats comme mode d'organisation

sont selon lui, inadéquates ou incomplètes. Nous verrons ainsi que M. Crozier expose et analyse la situation organisationnelle et s’en sert comme socle à son propos. Puis, il critique et réfute un certain nombre de théories antérieures à son ouvrage, ceci, avant de présenter sa propre thèse, celle d’une sociologie de l’action organisée.   1   I. La situation organisationnelle Michel Crozier expose tout au long de la première partie de son ouvrage les caractéristiques du travail

la communication interpersonnelle dans le contexte du travail » (2006 : 2). Solange Cormier, auteure de cet ouvrage, autrefois professeure au Département de communication de l’UQAM et aujourd’hui consultante en Gestion des conflits en contexte organisationnel, y aborde les habiletés de communication de base qui « constituent le fondement de toute communication sur le plan relationnel : l’écoute, le questionnement et le feedback » (2006 : 52)1. Le chapitre 5, qui est consacré au feedback, mérite une

et à la compréhension du comportement humain au sein des organisations. • Faire ressortir les interdépendances ou interrelations existantes entre cette multitude de facteurs.  CONTENU DU CHAPITRE : I- L’objet du comportement organisationnel. II- L’évolution du comportement organisationnel. III- Modèle de déterminants du comportement au sein des organisations. IV- Description des ensembles des facteurs du modèle. I- L’OBJET DU COMPORTEMENT ORGANISATIONNEL :  Parallèlement à l’avènement

ADM 1013 COMPORTEMENT ORGANISATIONNEL TRAVAIL NOTÉ 2 (SÉRIE 11) 25 POINTS PRÉSENTATION Ce second travail noté consiste, tout comme pour le travail noté 1, en une analyse de cas. Bien entendu, le cas à analyser porte cette fois-ci sur les notions vues dans les quatre premières parties du cours (« Le comportement organisationnel de nos jours », « Les caractéristiques individuelles et le comportement en milieu organisationnel », « La dynamique des groupes et le travail d’équipe » et « Le leadership

rôle du contrôle de gestion classique dans la standardisation des organisations, des comportements et des résultats 5I.1 De la taylorisation de type fordisme à la néo-taylorisation 6I.2 Les modes de contrôle 7I.2.1 Le contrôle des comportements 8I.2.2 Le contrôle par les résultats 9I.2.3 Le contrôle clanique, i.e. contrôle par la culture 9I.3 Le contrôle de gestion comme outil de gestion du risque de comportement 10I.4 Le contrôle de gestion des résultats comme mode d'organisation standardisée 11II

compris par tout le monde  Fayol → conception militaire → sanctions → régit par l’autorité, la discipline, unité de commandement Zone n°2 : 1930-1960 → école des relations humaines → crise économique de 1929 qui fait revoir certaines réalités → comportements irrationnels des ouvriers (absentéisme, sabotage…) Les théoriciens et les praticiens commencent à se poser des questions sur les effets imprévus de l’OST → nouveau courant de pensée, qui va tenter de rendre un visage plus humain à l’organisation