Le Compromis Fordien

lettres de revendications. Mais ouvriers de l’industrie urbaine présente le plus grand danger. Belleville, 84% des insurgés = ouvriers. Plus ils sont qualifiés plus ils se révoltent. Quartiers ouvriers renforcent l’identité collective. III. Le compromis néo libérale Principaux thèmes du néo libéralisme à la française par Blanqui. RU est l’anti modèle. Pas de capitalisme sauvage. Complémentarité des activités économiques. Eviter la prolétarisation, amortir les tensions sociales. La grande industrie

entreprise : mathématiques des phénomènes d’organisation utiliser les mathématiques pour résoudre des problèmes concrets. La programmation linéaire permet par ex de maximiser les profits compte tenu d’un certain nb de contraintes. * Le compromis fordien : hausse des salaires, limitation du turn-over, trouver une parade aux conditions de travail difficiles et au poids de la hiérarchie (Robert Linhart, L’établi). Forte influence de l’Ecole des Relations Humaines. Pyramide de Maslow (hiérarchisation

inter-pays s’est alors révélée primordiale. Nous l’avons d’ailleurs vu concrètement avec l’essor de l’Union Européenne sur le plan politico-économique international. Nous pouvons expliquer la notion d’économie-monde conformément aux idées taylorienne et fordienne comme étant « un morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l'essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique » tel que l’a définit Fernand Braudel en 1967

normes et les valeurs de l’organisation 23 4. Le regroupement en unités : examiner la manière avec laquelle l’organisation regroupe ses activités en unités relativement homogènes à piloter et à contrôler. 5. La taille des unités relève d’un compromis à trouver entre : - des exigences économiques : recherche d’économies d’échelle qui pousse à l’augmentation de la taille - des exigences organisationnelles : un supérieur hiérarchique ne peut pas contrôler un trop grand nombre de subordonnés - des

dirigeants. 6. L’organisation : un système vivant en constante adaptation Gareth Morgan, dans son travail sur « les métamorphoses de l’organisation », a montré que pendant très longtemps les organisations sont restées prisonnières d’un modèle fordien ou taylorien. Inspirée par la pensée « scientiste » du début du siècle, cette conception a tendance à réduire l’organisation à une machine. L’organisation est toujours envisagée de façon descriptive et statique, sans mettre en relation le sujet avec

V : LA FIRME JAPONAISE La théorie générale de la firme japonaise a été introduite et conduite dans les travaux d'Aoki. Ce dernier a procédé en suivant une méthode comparative entre les grandes firmes japonaises contemporaines et la grande firme fordienne américaine. Il a ainsi mis en évidence 10 un ensemble de différences jugées suffisamment importantes pour lui permettre de "typer" et d'opposer une firme "J" (Japonaise) à la firme "A" (Américaine). Toutefois, pour les raisons données ci-dessous

1919 qui créé les conventions collectives. Ainsi, l'Etat par ce travail politique, législatif et réglementaire tente de répondre aux problèmes, et à l'évolution des relations sociales en s'appuyant sur des choix politiques et des tentatives de compromis avec les représentants des salariés et des entreprises. ! Ce travail va conduire à bâtir une architecture de la négociation collective (NC), cette architecture s'est progressivement transformé pour donner plus d'espace aux organisations syndicales

bipolaire”, qui a duré jusqu’à l’éclatement de l’U.R..S.S. en 1991. Une primauté américaine sur le plan technologique allant de pair avec l’extension après 1945 du modèle économique et en partie social américain, fondé sur le compromis ou la régulation de type tayloro-fordien. - L’affirmation et à l’apogée de la seconde industrialisation, marquée par une nouvelle accélération spectaculaire du progrès technique, inséparable de l’essor démographique de la planète, qui est entrée depuis 1945 dans une

l’effondrement de la norme fordiste ; puis nous analyserons les enjeux de l’éthique et plus précisément de la RSE ; avant de dresser un bilan des avancées et les perspectives en la matière. I.L’éthique en entreprise : une « reconfiguration » du compromis fordiste à l’échelle microéconomique ? Si l’on parle autant de la responsabilité des entreprises depuis quelques années, c’est parce qu’il y a eu l’impact de la mondialisation économique, ainsi que les réactions politiques et sociales qu’a engendrées

plus bureaucratique dans l´optique organisationnel du terme. La stratégie Fordiste qui correspond à ce contexte socio- économique est celle de « volume et diversité » appliquée à General Motors par Sloan dont « …le modèle fondé en définitive sur un compromis de gouvernement qui fait des dirigeants de l´entreprise et du syndicat les acteur majeurs. Il considère qu´ii est légitime que l´entreprise accroisse en permanence la productivité par le progrès technique et la rationalisation de l´organisation