Le Compromis Fordien

improductifs des ouvriers et impose mécaniquement la cadence aux ouvriers. De plus, le convoyeur impose une cadence et l'ouvrier ne la contrôle plus lui même. Politique des 5$ par jour. Le fordisme: travail se faisant imposer les temps par le convoyeur + compromis salarial (restitution d'une partie des gains de productivité aux salariés par les salaires). Après la WW2: le négociation collective des salaires et des carrières. Les études sociologiques de travail taylorisé: Georges Friedmann, (A902-1977)

que tout le monde sait déjà ? En fait, il faut souligner que la publication des résultats et les débats auxquels ils ont donné lieu se situent à la fin des années 30, après presque vingt ans de triomphe de la doctrine taylorienne et de la pratique fordienne, lesquelles sont toutes tournées vers la destruction du groupe ouvrier, de ses capacités de coalition. L'expérience d'Hawthorne suggère que, malgré toutes les tentatives, une structure minimale de groupe demeure, qui fait ressembler le fonctionnement

1945 à travers le fait que nous entrions dans un contexte de croissance durable ce qui a fait que l’Etat a pu accompagner celle-ci. On est dans un affrontement droite-gauche qui empêche la légitimité de l’Etat à s’affirmer en 1981 : il n’y a pas de compromis.  Il existe une « illusion volontariste » qui a deux origines : Un stéréotype : consiste à exagérer les capacités d’intervention de l’Etat en s’appuyant sur le passé pour justifier le présent, en oubliant que ces capacités passées n’ont pu exister

symbole) Marché croissant + production de masse + hausse de la productivité (via O.S.T.) Pouvoir d’achat croissant (un ouvrier Ford est censé gagner ‘5 dollars/jour’) + consommation de masse + économie de la demande Système de régulation (compromis ‘fordien’) + Etat-Providence C’est l’équation d’un marché croissant, production de masse et hausse de la productivité. Mais il y a le coté consommation. Attention, celui qui produit peut également consommer. Une consommation de masse grâce au pouvoir

pouvoir d'achat et des salaires moyens aux Etats-Unis et un creusement profond des inégalités de salaires. De plus, les conflits sociaux durs sont saisis par les gouvernements pour montrer la fin des trente glorieuses. Les gouvernements ne font aucun compromis et cherchent à créer un rapport de force favorable aux entreprises. Les syndicats sont contraints de tout accepter afin de préserver les emplois. L'évolution salariale nouvelle est initiée par l'explosion du chômage entre 1981 et 1983. Elle est

périls majeurs, dont certains auront des conséquences irréversibles (dégradation de l'environnement, accentuation des inégalités qui menace la cohésion sociale, atteintes à la santé publique..). Les conséquences sociales de la rupture du compromis fordien (insécurité sociale, précarité croissante) alliées à d'autres facteurs (scandales financiers, catastrophes écologiques, compromissions avec des régimes dictatoriaux) ont considérablement terni l'image de marque de grands groupes d'entreprises

taylorisme et du fordisme aux Etats-Unis, une production de masse se met en place dont les débouchés sont assurés par une consommation de biens d’équipement ménager ( réfrigérateur, lave-linge, etc.) et d’automobile rendues solvables par le compromis fordien ( ouvriers biens payés, 5$ par jour et en capacité d’acheter le modèle T qu’ils ont eux-mêmes produits) et par le développement du crédit de consommation. Après la Seconde guerre mondiale, se développe la « société de consommation » (expression

critiques émises par eux quant à l'organisation proposée par le dirigeant la font ou peuvent la faire évoluer. Ainsi la « bonne organisation » n'existe que dans la tête de ceux qui la nomment ainsi. L'organisation est le fruit d'interactions et de compromis entre les acteurs composant l'entreprise (salariés et dirigeant) et et les force extérieures. Ainsi, l'organisation est un construit social. Il faut se méfier des déterminismes dans les actions de changement, tels que « qui ne change pas, meurt »

prévisionnelle des emplois et des compétences sont la tendance. 10 La mondialisation et les nouvelles technologies de l'information et de la communication. La crise économique (pétrole - les deux chocs pétroliers) met en évidence l’épuisement du système Fordien. Situation d'interdépendance liée à la mondialisation. Il faut revoir l'organisation des entreprises car cette crise s'installe. On va reconfigurer le management et la morphologie des organisations. NOUVEAU PAYSAGE DU MONDE DU TRAVAIL. Nouveaux termes

démocratique qui s’implique pleinement dans la vie du groupe, et le leader laisser-faire qui participe peu. La productivité est la meilleure avec le leader démocratique (one best way) qui permet d’augmenter la satisfaction des ouvriers. C’est le meilleur compromis rendement / qualité de production. Refus d’un leadership unique et optimal : Fiedler (1965) montre avec la théorie du leadership contingente que le leadership dépend du climat du groupe, de la nature des tâches à accomplir, et de la position