Le Concile De Paris Le Ministère Royal Commentaire

Commentaire du texte n°5 : L’exaltation du pouvoir royal par les évêques Atrium : Cour intérieure d'une maison romaine dans l'Antiquité. Clotaire II, dit le Jeune, né en mai 584, mort le 18 octobre 629, est roi de Neustrie de 584 à 613 et roi des Francs de 613 à 629, après la conquête du royaume d'Austrasie et du royaume de Bourgogne. Sa victoire de 613 sur la reine Brunehilde (Brunehaut) met fin à la longue période de guerres entre rois francs, commencée en 570, et dont deux protagonistes

relation entre l’Eglise et le pouvoir du roi a longuement été observé comme c’est le cas dans le document législatif extrait des actes du Concile de Paris rédigé en 829. L’auteur met en avant le pouvoir divin du roi dont la justice doit être appliquée, le roi a un pouvoir absolu lui apportant ainsi une idéologie. Il est nécessaire de comprendre l’idéologie royale. Le roi doit se porter garant de la justice et de la paix (I), il a de plus une mission divine, ce qui lui donne une position idéologique

COMMENTAIRE DE L’ARRET «LEMAISTRE» ou «DE LA LOI SALIQUE» «En France, le royaume ne peut tomber en quenouille», dit le juriste Antoine Loysel dès lors, la coutume de masculinité et collatéralité ne sera plus jamais contestée. L’auteur de ce texte, Jean Le Maistre (mort à Paris en 1596), est un avocat général, puis président du parlement de Paris (1591-1594), qui rend le 28 juin 1593 cet arrêt désormais célèbre portant son nom. Il contribua ainsi à faire ouvrir les portes de Paris à Henri IV, car

législative est bien fixée. Mais il existe plusieurs assemblées populaires : les comices. Ces comices sont en théorie, au nombre de 3 : comices curiates, comices centuriates, comices tributes. Les comices curiates étaient la grande assemblée sous la période royale, mais perdent de leur importance sous la République. 1) Les assemblées du populus Les comices tributes sont parfois difficiles à distinguer concrètement d’une autre assemblée, qui n’est pas populaire mais celle de la Plèbe : le concilium

législative est bien fixée. Mais il existe plusieurs assemblées populaires : les comices. Ces comices sont en théorie, au nombre de 3 : comices curiates, comices centuriates, comices tributes. Les comices curiates étaient la grande assemblée sous la période royale, mais perdent de leur importance sous la République. 1) Les assemblées du populus Les comices tributes sont parfois difficiles à distinguer concrètement d’une autre assemblée, qui n’est pas populaire mais celle de la Plèbe : le concilium plebis

SOMMAIRE Séance 1 .......................................................................................................................................................................... 6 METHODOLOGIE DU COMMENTAIRE DE TEXTE ................................................................................ 6 Séance 2 ........................................................................................................................................................................ 12

Colloque : «Edmond Michelet, un chrétien dans la vie politique » Paris, Collège des Bernardins, 10 et 11 décembre 2010 Compte rendu par Bernard Zeller Ce colloque a été organisé par la commission historique pour la béatification d’Edmond Michelet dont le président est, ou était, le professeur Yves-Marie Hilaire. Il semble que celui-ci, malade, ait été récemment remplacé par Nicole Lemaitre. Le comité scientifique du colloque comprenait les personnalités suivantes : Lucienne Sallé, Philippe

religion d’Etat, elle se dote de structures institutionnelles qui produisent du droit canonique (par les évêques et le Pape notamment). Il y a du dogme, droit liturgique, droit matrimonial (mariage). Ce qui émane des évêques = canons de concile. Les conciles sont des réunions ils peuvent être régionaux (pour l’Etat) ou généraux (disposition pour l’Eglise chrétienne). Les canons sont des règles. Ce qui émane du Pape (=évêque de Rome)= décrétales pontificales, dès 385. Ces décrétales pontificales

écrit des coutumes et ces ouvrages prennent le nom de « coutumiers ». Le plus ancien qu’on connaisse est rédigé vers la fin du 12ème siècle en Normandie = « Très ancien coutumier de Normandie ». Dans la seconde moitié du 13ème siècle, un autre commentaire de la même coutume est rédigé en latin puis français (vers 1270)= « Grand coutumier de Normandie » rédigé en français et toujours appliqué dans les îles anglo-normandes où il est encore enseigné. En Bourgogne, vers fin du 13ème siècle : « Usage

sujets qui font partis de la Cité mais ce ne sont pas des citoyens complets. Il y a une révolution car les plébéiens vont jouer un rôle économique, ils menacent de quitter Rome. Les plébéiens vont se rejoindre dans une Assemblée qu’on appelle le concile de la plaine et ils vont élis eux-mêmes des magistrats particuliers à qui la cité doit reconnaitre des droits qui doivent les protéger que l’on appelle des tribuns de la plèbe. Finalement, ils acceptent l’égalité des droits et donc les plébéiens